isolement ou sentiment de solitude, absence de vie sociale et/ou affective, situation de maltraitance, sentiment d'échec pour elle ou pour un proche, antécédents d'épisodes dépres- sifs, etc.
La psychothérapie vous aide à maîtriser vos peurs, à retrouver le sommeil, à oser aller vers les autres et à mieux aborder épreuves et défis. Mouvement et respiration sont considérés comme l'expression de l'âme. Aussi tensions et douleurs physiques peuvent-elles révéler une souffrance psychique.
On parle de troubles psychiques quand un individu se retrouve dans l'incapacité de maintenir son équilibre mental. L'adolescence et le début de la vie d'adulte sont des périodes propices à ce type de troubles qui sont influencés par des facteurs individuels, socio-économiques ou environnementaux.
La souffrance psychique peut apparaître dans diverses circonstances de la vie et faire basculer l'individu dans une maladie somatique ou psychique. Elle est présente avec une intensité variable selon que la personne est en détresse psychologique ou est atteinte d'un pathologie mentale.
Les symptômes psychotiques et la maladie bipolaire sont des formes plus graves de mauvaise santé mentale. Les premiers sont caractérisés par une pensée désordonnée dans laquelle la personne n'est pas en contact avec la réalité.
Une maladie méconnue
Mais cette douleur est souvent assimilée à un besoin d'attention, un manque de confiance en soi. Les personnes présentant des troubles somatoformes sont nombreuses à avoir un jour entendu cette phrase cash de la part de médecins surchargés ou simplement démunis.
Alors, quand faut-il agir ? Signes et symptômes à repérer : Émotionnels : tristesse, peur, angoisse, irritabilité, sentiment de dépréciation de soi. Comportementaux : humeur labile, agressivité, difficultés à trouver de l'intérêt dans ses activités, à exécuter des tâches quotidiennes, abus de certaines substances.
Toutefois un consensus existe sur les conséquences sociales des troubles psychiques : perte ou diminution de l'autonomie, entrave à la vie sociale et professionnelle.
Des problèmes de santé physique chroniques (ex. : cancer); Des facteurs de stress présents dans la vie de la personne qui peuvent être liés à son environnement familial (ex. : décès d'un·e proche), social (ex. : isolement) et professionnel ou financier (ex. : perte d'emploi, faibles revenus);
Des émotions ressenties comme de véritables douleurs
Cette souffrance peut revêtir bien des aspects : elle peut te rendre hyperactif, ou au contraire hypoactif, irritable, agressif ou te démotiver, par exemple. Elle peut aussi s'exprimer en utilisant ton corps, on parle alors de somatisation.
La douleur (comme sensation), la nausée, la détresse respiratoire, et la démangeaison sont des exemples de souffrance physique. L'anxiété, le deuil, la haine, l'ennui sont des exemples de souffrance mentale.
Les personnes atteintes d'un trouble de la personnalité limite ont une peur extrême ou exagérée de perdre leurs liens avec les membres de leur entourage. Elles se sentent facilement rejetées ou abandonnées par les autres, ce qui crée des conflits dans leurs relations sociales.
Opposition Attitude verbale ou non verbale de refus d'accepter des soins, de s'alimenter, d'assurer son hygiène, de participer à toute activité. Agitation Comportement moteur ou verbal excessif et inapproprié.
Toute prise en charge doit commencer par la pose du diagnostic médical psychiatrique. Seul un médecin est habilité à poser un diagnostic. Par conséquent, le psychiatre est le seul professionnel de santé mentale habilité à poser les diagnostics médicaux (Dépression, trouble panique, trouble de personnalité etc…).
Un majeur en souffrance psychique ou trouble psychiatrique mineur peut bénéficier de ces séances s'il est dans l'une des situations suivantes : Troubles anxieux d'intensité légère ou modérée. Troubles dépressifs d'intensité légère à modérée. Mésusage de tabac, d'alcool ou de cannabis hors situation de dépendance.
D'autre part, “psychique” s'emploie comme synonyme du terme “mental”. Cet adjectif désigne tous les phénomènes mentaux. L'un – le psychisme – est donc objet d'étude de l'autre – la psychologie.
Les troubles psychotiques affectent le fonctionnement du cerveau en modifiant les pensées, les croyances ou les perceptions. Une personne présentant un trouble psychotique peut, par exemple, être convaincue d'être épiée ou suivie, entendre des voix ou avoir l'impression que d'autres personnes manipulent ses pensées.
Agressivité à l'égard de l'entourage. Une certaine agressivité est fréquente entre enfants et parents, notamment à l'adolescence, elle fait partie des processus de maturation et de développement. En cas de troubles psychiatriques (états borderline, schizophrénie, addictions…) une forte agressivité peut se faire jour.
La schizophrénie débute à la suite d'un épisode psychotique inaugural qui n'est malheureusement pas toujours identifié ou pris en charge. Elle suit ensuite une évolution fluctuante, avec des symptômes chroniques auxquels se surajoutent parfois des phases de psychose aiguës.
Les symptômes les plus connus sont le repli sur soi, l'incapacité d'agir, les sautes d'humeur, un comportement désorganisé, des problèmes de concentration, des mouvements répétitifs, des difficultés à tenir une conversation.
Il existe de nombreux soins pour lutter contre les maladies et troubles psychiques. Cela va des traitements médicamenteux à des techniques psychothérapeutiques comme l'hypnose ou la méditation. Souvent, médicaments et psychothérapies sont combinés. Les traitements médicamenteux sont prescrits par les psychiatres.