C'est alors une forme du verbe « être », qui s'écrit « sont » : Les bureaux sont fermés = Les bureaux seront fermés. Dans le cas contraire, il s'agit de l'adjectif possessif « son » : Il n'éteint jamais son téléphone portable.
'son' est un adjectif possessif et peut être remplacé par le pluriel 'ses'. 'sont' est le verbe 'être' (conjugué au présent et à la 3e personne du pluriel) et peut être remplacé par l'imparfait 'étaient'.
- sont provient du verbe être conjugué au présent de l'indicatif : ils sont. - son est un adjectif possessif tout comme mon, ma, ton, ta, sa etc. La façon la plus simple pour les distinguer est de mettre la phrase dans un autre temps comme l'imparfait. À l'imparfait, sont devient étaient tandis que son ne change pas.
- "son" : Adjectif possessif. Il peut se remplacer par le pluriel "ses" et la phrase reste correcte. - "sont" : Verbe ou auxiliaire. "être" peut se remplacer par l'imparfait "étaient" et la phrase reste correcte.
Attention : Devant les noms féminins commençant par une voyelle, on mettra "son" et non "sa". Exemple : une arbalète => son arbalète. ➡️ ses va toujours avec un nom au pluriel : ses (= les siens ou les siennes).
C'est : Cette expression est formée de c' un pronom démonstratif et du verbe être à la troisième personne du singulier est. S'est : Cette expression se forme de s', la forme contractée de se, le pronom personnel réfléchi et de est, troisième personne du singulier du verbe être.
Règle pour écrire « ses » : « ses » est un possessif, il est utilisé pour exprimer la possession de quelque chose par quelqu'un. Là encore, « ses » est la forme plurielle de « son » ou « sa. » Il suffit donc d'essayer de le remplacer par sa forme au singulier pour savoir s'il faut écrire « ses » avec un « s. »
Dans le groupe verbal « ce sont », ce est un pronom démonstratif neutre qui représente quelque chose de précis qui vient d'être dit ou mentionné ou qui va l'être. Ce est le sujet apparent du verbe être, le sujet réel est un mot ou un groupe de mots placé après le verbe, suivi ou non d'une proposition relative.
Le déterminant possessif son
Il détermine un nom masculin devant lequel il se place. La commission devra étudier son rapport. S'il est immédiatement suivi d'un mot commençant par une voyelle ou par un h muet, son peut déterminer un nom féminin.
Quelle (ou quelles au pluriel) est l'adjectif interrogatif ou exclamatif. Il s'accorde avec le nom qu'il accompagne (quel, quelle, quels, quelles). Par contre, on écrit qu'elle (ou qu'elles au pluriel) quand il s'agit de la conjonction que + le pronom sujet elle(s) PRONOMS SUJETS.
« On » est un pronom indéfini. « Ont » est le verbe « avoir » conjugué. Si vous pouvez remplacer le terme qui pose problème par « avaient » (imparfait de l'indicatif), alors il s'agit du verbe « avoir » conjugué à la 3e personne du pluriel du présent de l'indicatif (« ont », avec un t) : Ces clémentines ont des pépins.
On écrit "qu'elle(s)" quand on peut remplacer par "qu'il(s)" : Il faut qu'elle rentre tôt. / Il faut qu'il rentre tôt. Dans tous les autres, cas on écrit quel(s) au masculin ou quelle(s) au féminin : Quelle bonne idée ! / Quelles bonnes idées !
Il s'accorde avec le nom auquel il se rapporte en genre (féminin, masculin) et en nombre (singulier ou pluriel). Quels sont ces pouvoirs ? Quelles sont vos disponibilités ?
Ses est un adjectif possessif ADJECTIFS POSSESSIFS, qui marque l'appartenance. Il aime ses chiens. Ces est un adjectif démonstratif ADJECTIFS DEMONSTRATIFS, qui sert à designer quelqu'un ou quelque chose. Tu as vu ces gens ?
Il ne faut pas confondre les homophones mes, mais et m'est. Mes est un déterminant possessif. Mais est une conjonction de coordination qui marque l'opposition.
Règle 6 : On met toujours un accent grave pour delà, deçà, déjà, voilà… mais jamais pour le pronom cela. Exemples : S'il réussit au-delà de nos espoirs, il pourra alors s'occuper de cela.
Il représente l'être ou la chose qui reçoit directement l'action que fait le sujet. Je conduis la voiture. Maman fait les gâteaux. Pour reconnaître le complément d'objet direct, on pose la question "qui ?" ou "quoi ?" après le verbe.
1. Raison d'être, au sing. et au plur., peut être compris de deux manières : a) raison de vivre (cf. supra) et dans ce cas concerne plus particulièrement l'homme; b) raison d'exister, d'être là, à cet endroit, à ce moment-là et dans ce cas concerne la fonction, la définition même d'une chose.
Si la substitution est impossible, alors il faut écrire se sont et non ce sont. S'il s'agit du pronom personnel réfléchi se, alors on peut le remplacer par un autre pronom personnel réfléchi : je me suis / tu t'es / elle s'est / nous nous sommes / vous vous êtes.
Une astuce pour savoir s'il s'agit bien du pronom et non du démonstratif « ce » est d'ajouter lui-même, elle-même, soi-même, eux-mêmes ou elles-mêmes après le verbe pronominal. Si la phrase garde son sens, alors il faut bien écrire « se » avec un -s.
Pour bien faire la différence entre tout et tous, que l'on parle d'un adverbe, d'un adjectif ou d'un nom, une règle simple permet de ne jamais se tromper. Il faut identifier dans quel cas suivant on se trouve : Tout : masculin singulier. - Tout le vin a été bu.
Quand on écrit "s'est" devant un verbe, on conjugue un verbe pronominal à un temps composé. ➡️ On peut alors remplacer s' par me, te ou m', t'. Exemple : Je me suis cogné, tu t'es cogné, l'enfant s'est cogné. ➡️ On écrit "c'est", quand on peut le remplacer par "cela".
On écrit « s'est » avec un -s quand... : On écrit « s'est » lorsque celui-ci est suivi d'un participe passé. Alors, « s'est » fait partie de la conjugaison d'un verbe pronominal.