bouffées de chaleur, fièvre. sensations de malaise, maux de tête, maux de ventre, nausées, vomissements. tête qui tourne, vertiges, pertes d'équilibre. trous noirs, troubles de la mémoire, hallucinations, amnésie.
Avec l'usage du GHB à des fins criminelles dans les boîtes de nuit, c'est le phénomène des piqûres mystérieuses qui prend de l'ampleur dans ces mêmes établissements. Et un peu partout en France.
Pour le moment, la raison de ces piqûres reste inconnue. Aucun cas de suspicion d'agression sexuelle n'a été signalé, que ce soit à Nantes, Grenoble, ni dans les autres villes qui ont relevé ces faits.
Parmi les facteurs mis en avant par les nombreuses études scientifiques qui expliquent ce phénomène : la température corporelle (en gros au plus on dégage de chaleur au plus on se fait piquer), l'humidité (si on est tout moite, on a plus de chance d'être attaqué) et le dioxyde de carbone que nous expirons.
de la difficulté à parler; des vomissements; des battements de cœur lents, irréguliers ou rapides; une perte de conscience.
Le GHB, qui inquiète le plus les victimes, disparaît dans le sang au bout de huit heures, et dans l'urine au bout de douze heures.
Les personnes recevant une injection de drogue évoquent également des maux de tête, de la fièvre, des bouffées de chaleur, des maux de ventre ou des nausées. "Les effets se font ressentir 15 à 30 minutes après absorption et durent environ une heure", indique le site Drogues Info service.
Effets : quels sont les symptômes d'alerte ? Sensations de malaise, tête qui tourne, bouffées de chaleur, "trous noirs", nausées, amnésie ou encore trouble du comportement sont rapportés par les victimes.
En France, du GHB - aussi appelé la drogue du violeur - a été retrouvé dans le sang de quelques victimes début mai à Roanne (Loire). Plusieurs femmes avaient subi des piqûres dans une boîte de nuit de la ville.
Le dioxyde de carbone
Les moustiques sont d'autre part sensibles au dioxyde de carbone (CO2), que l'on dégage en respirant. Pour cette raison, ils mettent souvent leur grappin sur les femmes enceintes, qui ont un métabolisme plus élevé et en produisent davantage que le reste de la population (environ 20% de plus).
Après la crise liée au covid-19, les salles de concert de Lyon doivent faire face à un nouvel enjeu sanitaire : des personnes disent avoir été piquées à la seringue lors de soirées. La réduction des risques, liée aux drogues et aux agressions en milieu festif est un enjeu habituel pour les salles de concert.
Une autre drogue, la phencyclidine (PCP), appelée « angel dust » ou « poudre d'ange », puissante substance hallucinogène, a aussi la réputation de conduire à des actes auto ou hétéro-agressifs qui peuvent être d'une extrême violence.
Concentration et mémoire
C'est le cas du cannabis et de l'ecstasy. En effet, la molécule de THC (tétra-hydro-cannabinol) contenue dans le cannabis diminue considérablement les performances de mémorisation et de concentration d'une personne.
Le GHB est un sédatif puissant, entraînant un sommeil très profond qui peut durer plusieurs heures et durant lequel la personne peut vomir et s'étouffer.
Le groupe sanguin
Une étude a constaté que les personnes de type O et A étaient plus susceptibles d'attirer les moustiques que ceux de type B. 85 % des gens sécrètent un signal chimique à travers leur peau qui indique leur type de groupe sanguin.
Le groupe sanguin
Des recherches datant de 2004 ont montré que les personnes appartenant aux groupes sanguins A et O étaient plus susceptibles de se faire piquer par les moustiques que celles du groupe B.
Une étude japonaise réalisée en 2004 a montré que le moustique tigre était plus attiré par les individus de groupe sanguin O. Les personnes de ce groupe sanguin auraient 85% de risque supplémentaire d'attirer les moustiques, contre seulement 45 % de risque pour les autres groupes sanguins.
Il se peut qu'il soit très évasif par rapport à ses allées et venues, ou à ses activités. L'adolescent qui se drogue aura souvent un comportement fuyant; il évitera de vous regarder dans les yeux, il passera le plus de temps possible isolé dans sa chambre, il sera peut-être bourru et arrogant en votre présence.
Les symptômes d'arrêt brutal de la substance correspondront alors à une exacerbation des effets liés aux neurotransmetteurs endogènes « noyant » le système nerveux central. À ces effets seront associés les symptômes du manque.
Une autre drogue comme la cocaïne peut provoquer une augmentation des risques d'abcès ou d'éruption dont les boutons sont proches des boutons rouges à points blancs de l'acné (pustules) mais plus étendus sur le corps.