Père de quatre enfants, Yannick Noah arrive en première position dans le classement du père idéal (cité par 27% des Français). Ce dernier est aussi bien plébiscité par les plus jeunes (27% des moins de 35 ans) que par les plus âgés (26% des plus de 35 ans) et aussi bien par les femmes (28%) que par les hommes (26%).
Le désir d'enfant nait en général chez un homme lorsque celui-ci voit en sa compagne la maman "idéale". Le désir d'enfant nait chez un homme également du désir d'enfant de sa compagne. Son désir d'enfant se mêle alors au désir de rendre sa femme heureuse si le bonheur de celle-ci passe par le fait d'avoir des enfants.
En France, l'âge moyen pour un premier enfant chez les hommes est de 31 ans, contre 28/29 ans pour les femmes. Mais selon les derniers chiffres de l'INED, 5% des hommes font un enfant après 45 ans, soit presque trois fois plus qu'en 1980.
D'où vient le désir d'enfant chez la femme ? L'envie d'avoir un bébé prend sa source dans l'inconscient. Tout commence à la naissance. Le lien maternel noué dès les premiers instants entre la mère est l'enfant, prédispose la majorité des petites filles à développer une envie de grossesse une fois adulte.
Une petite fille a besoin de voir ses parents qui s'aiment et se désirent, indispensable pour qu'elle puisse à son tour devenir aimée et aimante. Grâce à son père qui lui aura montré la voie, elle souhaitera, elle aussi vivre une relation remplie d'amour et de désir, à l'instar de celle vécue par ses parents.
L'aliénation parentale se décrit comme un phénomène dans lequel un des parents se livre à des comportements aliénants, influançant l'esprit de l'enfant afin de favoriser chez lui le rejet injustifié et la désaffection à l'égard de l'autre parent.
De nombreuses raisons poussent un père à rejeter ses enfants. Les principaux sont : Problèmes psychologiques tels que l'alcoolisme, la dépression ou un trouble mental. Mauvaise relation avec la mère de l'enfant ou divorce.
Selon le dictionnaire Larousse, le géniteur est « le père physiologique » (par opposition au père légal). C'est la « personne qui engendre quelqu'un ». Selon ce même dictionnaire, le père est « l'homme qui a engendré ou qui a adopté un ou plusieurs enfants ».
Le père incarne et transmet à l'enfant les règles qui lui permettront d'acquérir force de caractère, pouvoir de contrôle, sens moral et désir d'affirmation positive de soi. La figure traditionnelle du père se situe donc du côté de l'autorité et il joue un rôle dans la socialisation.
Qui est le plus important des deux ? Selon une nouvelle étude (en anglais) menée par des chercheurs de l'Université de l'Iowa, être attaché à son père est tout aussi utile qu'être proche de sa mère.
Remplacer le père absent par une autre figure masculine
Cependant, il est en partie possible de remplacer le père absent par une autre figure : grand-père, oncle, beau-père… ». Ces personnes permettent de donner un contre-poids à la figure maternelle et donne à l'enfant un repère masculin dont il a besoin pour grandir.
Être un bon papa c'est savoir adapter sa manière de communiquer avec un tout petit, consacrer des moments exclusifs et de qualité à son enfant, en veillant d'abord, à être disposé soi-même, à vivre ce moment de partage.
le parent chez lequel demeurent l'enfant doit fournir, pour l'exercice du droit de visite et d'hébergement tout le nécessaire à l'enfant à savoir, vêtements et chaussures adaptés, propres, en bon état et en nombre suffisant, trousse de toilette, matériels pour les activités habituelles, médicaments…
En cas de séparation des parents, le droit de visite et d'hébergement peut être fixé par un accord entre les parents ou par le juge aux affaires familiales. Le plus souvent, ce droit consiste à recevoir chez soi les enfants en fin de semaine et pendant une partie des vacances scolaires.
Bien qu'une complicité persiste, un lien de pudeur et de réserve se crée alors. C'est un fait, le père a un impact du point de vue professionnel, personnel et amoureux sur sa fille. Et c'est grâce à ses encouragements, son soutien, qu'il sera un véritable guide vers le monde extérieur pour elle.
Début du complexe d'Oedipe
Le complexe d'Oedipe apparaît généralement vers l'âge de 3 ans. C'est à cet âge que l'enfant commence à prendre plaisir à remarquer la différence entre lui et les autres, comme la particularité des cheveux, des yeux et de la peau.
Quand l'enfant se fait trop attendre, les femmes se sentent coupables, invalides. L'obsession devient une spirale infernale : plus elles ont envie d'un bébé qui ne vient pas, plus elles se sentent mal. Elles ont un besoin urgent de se prouver qu'elles peuvent être enceintes.
Le désir d'enfant est un sentiment ambivalent lié à l'histoire de chacun, au passé familial, à l'enfant qu'on a été, au lien à la mère, au contexte professionnel. On peut avoir l'impression de désirer un enfant, mais on ne le fait pas car un autre sentiment prend le pas : « Je veux et je ne veux pas à la fois ».
Cette envie peut être un moyen de se prouver quelque chose à soi-même, par exemple : vérifier sa fertilité, exprimer une volonté de changement, maîtriser sa vie lorsque l'on a l'impression que tout nous échappe, d'autant plus à cette période adolescente où les bouleversements sont très présents.
The Sun rappelle que le plus jeune père connu est Sean Stewart, devenu en 1998 papa à l'âge de 12 ans avec Emma Webster, une adolescente de 15 ans.