Un cheval qui « tombe à droite » boite donc de l'antérieur gauche. En cas de boiterie postérieure, le plus évident est souvent de se placer sur le côté et de regarder quel postérieur s'avance le moins. C'est en général celui qui fait boiter le cheval.
L'ostéopathie est la méthode la mieux adaptée pour gérer les boiteries du cheval. La médecine vétérinaire propose de gérer la douleur et permet des imageries très utiles pour poser un diagnostique en cas de lésion.
Le plus souvent les boiteries ont pour origine la partie basse d'un membre : le pied ou le boulet. Commencez par les membres mais n'oubliez pas qu'un problème au niveau du dos par exemple peut être la cause d'une boiterie.
Il est important de consulter un vétérinaire pour essayer d'identifier l'origine de la boiterie et tenter de soulager le cheval pour éviter d'aggraver la boiterie. Le vétérinaire va procéder à différents tests pour examiner le pied du cheval.
Une boiterie désigne une difficulté à marcher. Il peut s'agir : D'une boiterie (médicale). D'une boiterie (cheval) dans le cas de l'élevage équin et de l'équitation.
La claudication peut être causée par une douleur ou une faiblesse n'importe où dans la jambe, particulièrement au niveau des articulations. La claudication est souvent causée par une blessure mineure ou par un trouble mécanique de la jambe ou des articulations. D'autres affections graves peuvent également faire boiter.
Les deux principales causes des boiteries ont une origine coxo-fémorale et sont la synovite aiguë transitoire et l'ostéochondrite primitive. 3.2.1. LA SYNOVITE AIGUË TRANSITOIRE DE HANCHE (RHUME DE HANCHE). L'âge moyen de ce syndrome est d'environ 6 ans.
Il est important de prendre rendez vous avec le vétérinaire. Cependant, il n'y a aucun caractère d'urgence. Gardez le cheval au box en attendant le rendez vous, sortez le au pas en main uniquement, et pensez à lui faire faire quelques foulées de trot la veille du rendez vous, pour vérifier qu'il boite toujours.
Les traitements administrés ne sont que palliatifs. Ils visent à limiter l'évolution de la maladie et à offrir un meilleur confort de locomotion au cheval. Selon les cas et d'après le stade de la maladie, on aura recours à différents traitements : repos, administration d'anti-inflammatoires, ferrure correctrice.
Les chevaux avec des douleurs localisées à l'os naviculaire présentent en général une boiterie intermittente, plus marquée sur sol dur, pouvant être présente sur les deux antérieurs. La boiterie est généralement aggravée en début de travail et le lendemain d'un travail important.
Les symptômes de fourbure sont relativement caractéristiques avec une démarche raide, une attitude campée, des difficultés à tourner court en particulier sur sol dur, une chaleur des pieds et une augmentation du pouls digital (pulsations palpables à la base du boulet).
On considère qu'un cheval est en bon état de forme lorsque celui-ci est capable de monter progressivement sa fréquence cardiaque lorsque l'effort s'intensifie et de la redescendre très rapidement une fois que l'intensité de l'effort diminue.
Pour les entorses légères, le repos et la glace peuvent suffire. Les entorses plus graves peuvent nécessiter une immobilisation, soit avec une attelle, soit avec un plâtre, et/ou des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) pour réduire la douleur et le gonflement.
Il est responsable de la viscosité et de l'élasticité du liquide synovial. L'injection du produit dans une articulation pathologique permet de réduire les phénomènes inflammatoires susceptibles d'aggraver l'agression du cartilage. L'idée, c'est de “huiler” l'articulation !
La plupart du temps, la bleime ne requiert pas de traitement particulier et le cheval doit simplement être placé au repos sur un sol souple jusqu'à la résolution du problème.
Le cheval au pré broute toute la journée. L'herbe étant riche en eau, il absorbe une bonne partie du liquide dont il a besoin en mangeant. De fait, les chevaux sauvages ne boivent pas souvent. Ils se rendent au point d'eau deux à trois fois par jour, (voire une seule fois) et s'abreuvent alors largement.
Présence d'un pouls digité frappé : c'est un très bon indicateur de l'inflammation du pied chez le cheval. En temps normal, celui-ci est absent. Il apparaît lorsqu'une inflammation est présente. Le pied concerné est chaud et douloureux : ce sont les signes d'une inflammation.
La cause principale de fourbure est une alimentation trop riche en glucides solubles. La prévention de la fourbure passe notamment par la mise en place d'un régime alimentaire hypocalorique pour les animaux prédisposés à l'obésité et le traitement des chevaux atteints du syndrome de Cushing.
Traitement de la desmite chez les chevaux
Elle implique généralement du repos, une thérapie par le froid et des médicaments anti-inflammatoires voir même un ferrage adapté. Si le cheval présente un cas grave de desmite, une intervention chirurgicale peut être nécessaire.
Le traitement passe par un débridement (on retire la corne abîmée) lors du parage pour mettre la zone de décollement à l'air. On applique ensuite des soins locaux et antiseptiques. Seule la pousse d'une corne saine permet de faire disparaître la fourmilière, la guérison est donc très longue.
Troubles de l'appareil locomoteur : arthrite ou arthrose, blessure ou pathologie des membres inférieurs, déformations des pieds, troubles musculaires ou neuromusculaires. Troubles de l'équilibre, souvent causés par des maladies de l'oreille interne, ou par certaines des affections neurologiques citées plus haut.
Le plus souvent, elles se remarquent sur la face externe des hanches. Les causes peuvent aussi survenir dans les vertèbres lombaires, le genou et l'articulation sacro-iliaque et irradier jusque dans la hanche.
Le rhume de hanche se traite uniquement avec des antalgiques, l'immobilisation chez un jeune enfant étant difficile. « La prise de Doliprane (paracétamol) ou d'Advil (ibuprofène) pendant deux à trois jours permet de résoudre le problème, informe le pédiatre.