Un pneu gonflé convenablement est très légèrement déformé lorsque le cycliste est assis dessus. On peut aussi analyser la pression grâce aux sensations au pédalage. Si le pneu est trop gonflé, les vibrations ressenties augmentent à chaque relief du terrain.
Pour savoir quelle est la bonne pression de vos pneus, référez-vous au manuel du conducteur ou regardez l'étiquette qui se trouve, selon les modèles, dans le montant de la portière conducteur ou au niveau de la trappe à carburant.
Il est conseillé de ne pas dépasser 8.5 bars, même pour un cycliste de 100kg. Pour les cyclistes plus légers, 50kg et moins, la limite basse de 6 bars est un minimum en-dessous duquel il n'est pas conseillé de descendre sous peine de risquer de pincer la chambre à air dans des nids de poule.
Permuter la position des mains
Les cintres de routes permettent d'alterner entre trois positions des mains. Ce changement de positions permettra d'atténuer, voire de prévenir, l'engourdissement des mains.
Si vous utilisez votre vélo dans la vie de tous les jours, vous pouvez vérifier la pression des pneus environ toutes les deux semaines. Si vous êtes un grand sportif ou une cycliste professionnelle, vérifiez la pression avant chaque sortie.
Cela se produit tout simplement parce que les molécules d'oxygène se seront progressivement échappées de celui-ci. Ce phénomène est d'ailleurs plus fort pendant l'été à cause la chaleur. L'air présent dans les chambres à air se dilate et accentue d'autant plus les pertes de pression.
Une bonne pression se situe généralement entre 2 et 3 bars. Un bar équivaut à 1 kilogramme par cm3.
Pour quelle raison je ne n'arrive pas à gonfler ma chambre à air? Dévissez l'obus de valve et appuyez un coup dessus pour ouvrir la valve (valable pour la valve Presta). Verifiez si la valve ne présente pas de dommage. La pompe est peut-être la cause du problème.
Dans le cas où votre pneu se degonfle lentement, vous pouvez comparer la pression de vos pneus à l'oreille en utilisant une jauge numérique de pression pour diagnostiquer l'état d'usure de votre pneu. Si elle est effectuée fréquemment, elle peut vous alerter en cas de dégradations rapides de vos pneumatiques.
En période estivale, ils sont le facteur principal dans près de 15 % des accidents mortels, notamment à cause de facteurs secondaires comme la surcharge et la chaleur. Il suffit d'un sous-gonflage de 0,5 bar par pneumatique pour engendrer un échauffement destructeur qui conduit généralement à l'éclatement.
Il vous suffit de re-gonfler le pneumatique et de l'enduire d'eau savonneuse. Si de petites bulles d'air se forment à certains endroits de la bande de roulement, c'est qu'il y a bien une ou plusieurs déchirure(s).
Dans 95 % des cas, le dégonflement lent de votre pneu est dû à: Un vis, clou ou tout autre corps étranger dans la bande de roulement. En général, l'objet est alors tellement bien enfoncé qu'il ne laisse échapper qu'un petit filet d'air. Une jante fissurée ou poreuse, qui a donc perdu son étanchéité
Pour un pneu classique avec une section comprise entre 2,20 et 2,40, la pression sera entre 1,8 et 2 bars en tubeless et entre 1,9 et 2,2 bars en chambre à air.
Sachant qu'en général, la section est proportionnelle au diamètre, la pression moyenne d'un pneu VTT devrait être : environ 1,8 à 2,2 bars en 26” entre 1,9 et 2,3 bars pour du 27,5” entre 2 et 2,5 bars pour du 29”.
Il suffit de gonfler la fourche avec votre pompe haute pression, puis de faire le réglage du SAG. Le premier gonflage peut se situer aux alentours de 100 PSi. Sinon, appliquez une pression moyenne qui corresponde à votre poids : 80 PSi si vous pesez 80Kg : 1kg de poids de corps = 1Psi.