il manque d'énergie ou est perpétuellement fatigué ; il a des problèmes de sommeil (difficultés à dormir, réveils nocturnes, cauchemars, terreurs nocturnes, cauchemars…) ; il présente un tic nerveux comme se ronger les ongles, jouer avec ses cheveux ou sucer son pouce.
La tristesse : votre enfant peut s'isoler, se replier sur lui-même ou avoir des crises de larmes. Le plus souvent la tristesse est difficile à repérer chez l'enfant. Les enfants expriment leur tristesse par une certaine passivité, un désintérêt pour les activités du quotidien, un manque d'entrain.
préoccupation exagérée au sujet de la mort ; expression de mal-être via le corps (douleurs, maux de tête, maux de ventre) ; évocation d'idées suicidaires.
Comportement : observez-vous des comportements nouveaux, bizarres, répétitifs ou inquiétants ? Alimentation : votre enfant manifeste-t-il des changements alimentaires ? qu'en est-il de son appétit ? de sa prise de poids ? de sa relation à la nourriture ? Sommeil : votre enfant s'endort-il seul ?
Un enfant épanoui a un visage souriant, il rit beaucoup et spontanément. Son sommeil est calme et paisible, il mange bien.
Enfant heureux : gardez en mémoire les bons moments !
La psychologie positive est un état d'esprit qui se transmet ! Ainsi, vous pouvez amener votre enfant à prendre du recul sur son quotidien mais aussi à en apprécier les bons côtés en lui demandant par exemple chaque jour quels ont été les bons moments de la journée.
Être un bon parent, c'est la capacité de se remettre en question, de remettre en question nos interventions. De s'adapter aux nouvelles situations en allant chercher de l'information, en demandant conseil à nos parents, à nos amis, de faire tout ce qu'on peut pour être simplement meilleur la prochaine fois.
la fièvre dure depuis plus de 48 à 72 heures. votre enfant est excessivement capricieux, difficile ou irritable. votre enfant est très somnolent, manque d'énergie ou ne répond pas. votre enfant a constamment une respiration sifflante ou difficile.
Plusieurs signes permettent d'identifier un enfant hypersensible. La plupart du temps, il sera très sensible aux bruits, aux odeurs, à la lumière ou encore aux textures. C'est une attitude que l'on peut observer dès la naissance d'un bébé.
une diminution de la capacité à penser, à se concentrer,à décider, à être attentif et à mémoriser ; une vision du futur et de la vie très négative avec des perspectives pessimistes et des pensées autour de la mort en général, et parfois autour du suicide.
La dépression est un trouble de l'humeur qui touche environ 3 % des enfants de 3 à 17 ans. Elle apparaît le plus souvent vers l'âge de 10 à 12 ans. Elle peut toutefois se manifester avant cette période, et même durant la petite enfance dans de rares cas.
Accueillez son émotion sans jugement.
Par exemple, s'il fait une crise, restez calme à côté de lui. S'il est très en colère, très agité ou s'il pleure beaucoup, ce n'est pas le moment de parler. Vous pouvez le réconforter, lui faire un câlin et attendre qu'il se calme avant de lui demander ce qui se passe.
Un enfant anxieux ou stressé appréciera toujours une routine de vie stable. Aussi, respectez des heures de sommeil régulières, des temps de repas réguliers et des petites routines qui participeront à le rassurer au quotidien.
Un enfant heureux est forcément joyeux
Certes, un enfant épanoui, équilibré, qui va bien dans sa tête, qui est confiant dans la vie, sourit et rit beaucoup avec ses parents et avec ses copains.
Qui est facile à vivre, accommodant, sans façons.
Il est aussi possible de faire appel à un médiateur ou une médiatrice familiale, via des associations comme l'APMF ou l'UDAF. En général, on y recourt pour trouver une solution amiable à un litige familial, mais cela peut être plus large. La médiation se met en place avec l'accord de toutes les parties.
Ce phénomène est tout à fait normal et fait partie du développement typique de l'adolescence où les enfants partent à la découverte de leur identité, cherchant à devenir plus autonomes et à socialiser avec leurs pairs. C'est pourquoi votre jeune discutera peut-être davantage de ses préoccupations avec ses ami·e·s.
On n'arrête jamais de s'inquiéter pour eux. "Il est normal de se faire du souci, de se sentir émotionnellement concerné par ce que vivent nos grands enfants", souligne Emmanuel Ballet de Coquereaumont, auteur de Vos parents ne sont plus vos parents.
Et les meilleurs parents sont : 1 – Des parents autoritaires. Définis comme impliqués et réceptifs, ces parents fixent des objectifs ambitieux tout en respectant l'autonomie de leurs enfants. Cette éducation implique souvent une réussite sur le plan social, académique et psychologique.
Les parents sont responsables car ils sont parents, et non parce qu'ils ont commis une faute. La présomption de responsabilité des parents du fait de leur enfant ne peut être écartée qu'en cas de force majeure ou de faute de la victime. Ce sont eux qui devront payer les dommages et intérêts à la victime.
La Bible décrit le parent idéal comme un chef, un protecteur, un guide spirituel et un motivateur. Les parents doivent représenter un modèle pour leurs enfants. Un chef de famille ne doit être ni rigide ni inflexible, il doit s'adapter aux situations qui se présentent.