Si vous avez un cycle menstruel naturel spontané et que vous ne prenez aucun traitement contraceptif hormonal, le seul moyen de décaler la période de vos règles est de prendre un progestatif. Vous devez commencer le premier jour des règles précédant celles que vous voulez décaler.
L'un des traitements les plus appréciés pour retarder les règles est le Noréthistérone. Il se présente sous la forme de comprimés et contient des hormones synthétiques. Le traitement est à débuter trois jours avant le début supposé des règles et doit être pris trois fois par jour, pendant une durée spécifique.
Les plantes : la bourse à pasteur, la menthe, les feuilles de framboisier, la racine d'angélique et la sauge consommées sous forme de tisane ont la réputation de réduire le flux menstruel, voire de le stopper le temps de quelques heures.
La réponse de l'expert
A priori, ce n'est pas le Doliprane qui a retardé vos règles. Si vous avez un doute sur le risque de grossesse, n'hésitez pas à faire un test.
La prise régulière d'un anti-inflammatoire non stéroïdien comme l'ibuprofène peut diminuer la production de prostaglandines, des composés chimiques qui jouent un rôle dans les douleurs et le flux des règles, explique le site Health.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens tels que l'ibuprofène (Advil®, Motrin®, Nurofen®) réduisent le flux menstruel et atténuent les douleurs abdominales.
Faire du sport
Une activité sportive régulière, y compris durant la période des règles, permet de réguler le cycle menstruel, d'atténuer les douleurs menstruelles voire de réduire la durée des saignements.
Lorsqu'il est appliqué localement (par voie cutanée), le jus de citron permet d'arrêter les petits saignements. Le calcium qu'il contient aide le sang à coaguler. Lorsqu'il est ingéré (par voie orale), le jus de citron est un fluidifiant du sang. Il ne permet donc pas de réduire le flux menstruel.
Leur couleur est souvent décrite comme étant marron ou rose, mais celle-ci peut aussi être, plus rarement, rouge vif. Il peut parfois y avoir des caillots de sang dans ces saignements.
La perte de sang dure de 3 à 7 jours. Quelques jours avant les règles, des traces d'écoulements vaginaux sont visibles dans le slip ou sur le papier toilette. La majeure partie de ce qui doit être éliminé s'en va au cours des 3 premiers jours. Mais la quantité de sang varie d'une fille à l'autre et d'un jour à l'autre.
"Le Spasfon ne sert à rien contre le mal des règles", "c'est un bonbon", "je ne suis pas folle à répéter que ça ne sert à rien depuis toujours", c'est ce qu'ont signalé des internautes sur la plateforme. D'après eux, ce médicament serait inutile mais aurait également un effet placebo.
Les traitements utérotoniques disponibles comprennent l'oxytocine, la carbétocine, l'ergométrine, le misoprostol, les prostaglandines injectables et des combinaisons de ces médicaments, qui diffèrent en termes d'efficacité et d'effets secondaires.
surélever légèrement, si possible, la zone blessée, comprimer manuellement l'hémorragie, à l'aide de compresses ou de linge sec et non souillé : drap, torchon propre, serviette de toilette. Il faut exercer une compression suffisante pour arrêter le saignement.
Pour arrêter le spotting, tu peux prendre de l'ibuprofène. Si cette solution n'est pas efficace, il est aussi recommandé de prendre des œstrogènes (grâce à une pilule contraceptive).
Dans le cas d'un surdosage il vaut mieux téléphoner à votre médecin, et s'il n'est pas joignable, à un service d'urgence hospitalier ou éventuellement à un centre antipoison. Ceci dit il y a peu de risques, éventuellement réactions cutanées, hypotension possible.
Pas de risque, dafalgan agissant sur la douleur et spasfon agissant sur les spasmes à l'origine des douleurs.
Le mode d'administration diffère selon les cas et l'intensité des troubles : la solution injectable agit en quelques minutes mais son effet est de courte durée ; les comprimés sont destinés à prendre le relais de la solution injectable, leur action dure plus longtemps ; les suppositoires peuvent être utilisés en cas de ...
La ménopause, qui correspond à l'arrêt des règles, survient généralement entre 45 et 55 ans.
Les femmes qui souhaitent éviter une grossesse doivent s'abstenir de rapports sexuels non protégés pendant une période de 12 jours, à savoir du jour 8 au jour 19.
Les règles anniversaires ou, plutôt, métrorragies de leur vrai nom, sont des petits saignements, souvent bénins, qui surviennent au début d'une grossesse.
Les “fausses” règles, quant à elles, ne sont pas liées à l'ovulation mais simplement à la prise d'hormones, souvent dans le cadre d'une contraception ou lors de la ménopause. En gros, la prise d'hormones supprime l'ovulation et donc les vraies règles.
Au terme de chaque cycle d'ovulation, si l'ovule n'a pas été fécondé, l'utérus expulse la muqueuse destinée à accueillir l'embryon. Cette muqueuse, appelée endomètre, est donc évacuée par le vagin sous forme d'écoulement sanguin : ce sont les règles. Cet écoulement dure en général de 3 à 7 jours selon les individus.
En résumé, il n'y a rien de sale ou de toxique comme on peut malheureusement parfois l'entendre dire. Non, les femmes ayant leurs règles ne font pas pourrir le jambon en le touchant !
Tout d'abord, un peu d'histoire des menstrues…
Dans le jargon médical, le sang des règles est également appelé “sang cataménial”, du grec katamênia, qui signifie « menstrues ».