Le parent pervers narcissique est « le champion » du flou, de la confusion mentale. Avec lui, rien n'est sûr, les règles sont fluctuantes et incompréhensibles. De plus, lorsqu'à l'adolescence, il aura l'outrecuidance de demander des explications, il sera sévèrement rabroué.
Un parent narcissique est un parent affecté d'un fort narcissisme ou d'un trouble de la personnalité narcissique. Typiquement, les parents narcissiques sont exclusivement proches de leurs enfants et de façon possessive, et ils peuvent être particulièrement envieux, et se sentir menacés par leur indépendance croissante.
Les pervers narcissiques donnent à l'extérieur une image irréprochable de leur famille. La première chose qu'ils exigent d'un enfant sera de correspondre à l'image figée de leur décorum social. Difficile donc pour l'enfant de se construire.
Ils ne ressentent aucune empathie. Ils exigent toujours de l'attention. Ils ne sont jamais satisfaits, en veulent de plus en plus. Comme ce sont des gens assez compliqués, vivre avec un narcissique est souvent épuisant, surtout pour ceux qui sont émotionnellement dépendants ou qui ont des problèmes d'estime de soi.
Les narcissiques n'ont pas de vrais sentiments comme la tristesse, le désir, le regret, mais plutôt la colère, l'indignation, la vengeance quand ils n'obtiennent pas quelque chose qui leur tient à cœur. Ainsi, la mort de sa mère est perçue, par le pn, comme un abandon.
En d'autres termes, le PN s'en prend à vous en tant que cible de substitution, pensant qu'il a été attaqué à tort et répliquera donc toujours avec excès. La vengeance du PN est une guerre totalement irrationnelle qui ne vous concerne pas directement et ne pourra que vous causer du tort.
Même s'il l'est en apparence. Ce n'est que pour mieux le manipuler et le rendre redevable et dépendant. Le parent PN considère son enfant comme un objet qui peut servir ses intérêts et son image sociale. Il est incapable de considérer que son enfant a des désirs, des émotions et des besoins qui lui sont propres.
Il arrive par exemple qu'il décide de dormir sur le canapé pour vous isoler davantage, vous « faire comprendre » à quel point vous n'êtes plus désirable et plus digne d'intérêt. C'est une technique de manipulation que le pn utilise sur vous afin de vous faire sentir coupable de la situation.
Le pervers narcissique se nourrit des émotions de ses victimes. La peur, la joie, les émotions positives comme négatives et réactions de toute nature. C'est grâce aux émotions qu'il manipule, culpabilise, détruit. L'indifférence est donc quelque chose qu'il déteste par-dessus tout !
Face aux phrases ou comportements manipulatoires, faites le silence ! Retenez ce que vous alliez dire ou faire. Cela laisse le temps à l'impact émotionnel de s'atténuer. Il se peut alors que le manipulateur soit déstabilisé par votre silence et arrête sa manipulation.
Quand le manipulateur part définitivement, c'est, le plus souvent, lorsque sa proie n'est plus suffisamment docile et qu'elle ne devient plus manipulable. Cela se produit quand elle sort de l'emprise et commence à ouvrir les yeux sur la vraie nature de ce compagnon. Le manipulateur s'en va alors, mais pourquoi ?
. Oui, le pervers narcissique « souffre ». Oui, le pervers narcissique pleure…, sur lui-même. Oui, le pervers narcissique peut en arriver à se suicider pour éviter son morcellement psychique.
Oui, Le pn sait qu'il fait du mal, qu'il fait souffrir ses victimes et pourtant cela ne l'empêche pas de prendre plaisir à les anéantir. Il s'est construit avec deux modes de fonctionnement : le clivage et l'identification projective qui sont aux fondements de sa perversion.
Des cadeaux pour maintenir le contrôle
Pour finalement les rendre de plus en plus petits et insignifiants. En effet, l'étude démontre aussi que les narcissiques font des "cadeaux" dont le but n'est pas tant de faire plaisir à l'autre, mais plutôt de maintenir le lien et le contrôle qu'ils exercent sur autrui.
Procédez à cela en répondant avec des phrases toutes faites. Par exemple : « Personne n'est parfait », « Tu as le droit de croire en ton avis », « Pourquoi tu me viens me dire cela ? ». Ce que déteste un manipulateur, c'est aussi le fait de répéter en boucle les mêmes phrases.
Il sera nécessaire outre de partir, de couper tout contact et de ne pas céder à la prise de contact du manipulateur affectif. Vous pouvez par exemple, bloquer le numéro de la personne manipulatrice, ne pas donner d'adresse ou encore, avoir recours à la loi si le pervers narcissique entrave la prise de distance.
Il est dans l'obligation de se replier sur lui même, car il ne peut plus prendre de sources narcissiques extérieures sinon il implose... le PN vit bien son isolement pour un moment, il repense à tous ses actions sadiques faites, et jouit de sa grandeur, de sa perfection et d'être si unique d'avoir eu une grande chasse.
Quand il sent que vous êtes sur le point de craquer, il redevient gentil et affectueux, il lâche un peu la bride. Mais dès que vous reprenez un peu confiance, il la resserre.
Quand un manipulateur se rend compte que la victime prend conscience, commence à se révolter ou menace de le quitter, il est dans la phase "rendors-toi", c'est-à-dire qu'il redevient gentil et adorable par calcul.
Elle doit être facile. On peut ainsi définir globalement la proie standard du PN comme un sujet qui sera souvent débordant de vitalité mais qui porte en lui ou en elle une blessure qui permet de l'affaiblir. Et c'est la présence de cette blessure qui intéresse le pervers au départ.
Cela se produit lorsque sa vengeance échoue, soit quand il lui devient impossible de « toucher » sa proie d'une quelconque façon. Il est possible aussi, que dans le même temps, sa réputation l'ait « rattrapé », ce qui fait tomber socialement son masque. Cela devient alors dangereux pour lui.
Ils sapent votre foi en votre compréhension de la réalité.
Les manipulateurs émotionnels sont des menteurs incroyablement habiles. Ils insistent sur le fait qu'un incident ne s'est pas produit quand il s'est produit, et ils insistent sur le fait qu'ils l'ont fait ou ont dit quelque chose quand ils ne l'ont pas fait.
Dites-lui quelque chose comme : « J'ai l'impression que tu as des problèmes de compréhension » « Ce n'est pas ce que je dis », Choisissez un mode de communication non-violente pour lui prouver et prouver aux autres qu'il ne répond pas à ce que vous dites mais ne cherche qu'à vous discréditer.