Le prédateur sexuel commet éventuellement des enlèvements concrets et des séquestrations. S'il entretient déjà une relation régulière avec sa proie, il lui paraît impossible de la poursuivre clandestinement et de la dissimuler aux yeux du monde. Alors il l'enlève et l'enferme, comme dans le cas Fritzl (cf. chapitre 6).
Agresseur sexuel qui planifie ses actions, qui agit de sang-froid et qui fait de nombreuses victimes les unes à la suite des autres. Agresseur sexuel qui planifie ses actions, qui agit de sang-froid et qui fait de nombreuses victimes les unes à la suite des autres.
Homme qui vit de rapines, de butins.
· Il peut porter un intérêt soudain aux parties génitales des gens ou des animaux (questions, dessins, envie de donner des baisers, etc.…) ·Alors que jusque là tout allait bien, il peut avoir un sommeil agité, faire des cauchemars, mouiller son lit, avoir peur de dormir seul ou encore sans lumière.
Selon Dutton (2003), il existe différents antécédents par rapport aux expériences familiales des agresseurs et aux séquelles psychologiques et psychiques qui en résultent : Rejet et humiliation : faible estime de soi, colère/rage, culpabilité, manque de régulation affective…
Le prédateur agit certes de manière brutale et sans égard envers sa victime ; cela joue un rôle incontestable sur la psychologie de celle-ci, la blessant.
Certains agresseurs vont jusqu'à accuser leurs victimes d'être elles-mêmes négligentes, voire carrément maltraitantes. Il s'agit d'un jeu psychologique, utilisant l'influence et la perte de repères pour parvenir à des fins de domination.
Les symptômes physiques fortement suspects
– La présence de sperme sur le corps de l'enfant ou sur ses vêtements. – Des lésions au niveau génital, périnéal et anal, des saignements vaginaux et rectaux ainsi que des douleurs pelviennes, génitales ou anales.
Une “vraie” victime peut très bien se mettre en colère tandis qu'un “vrai” agresseur peut ne jamais crier (et se donner à voir à l'extérieur comme facile à vivre). L'agresseur peut être un homme ou une femme, tout comme la victime.
Il est narcissique car il semble ne penser qu'à lui, se servant d'autrui pour obtenir satisfaction de ses propres besoins, transformant l'autre en objet devant se comporter selon son bon vouloir, dans une absence totale de reconnaissance et d'empathie pour ce qu'il lui fait vivre.
herbivore - omnivore - entomophage, insectivore[Ant.]
Nom commun. Animal qui capture un autre animal, sa proie, pour s'en nourrir ou pour alimenter sa progéniture. (Figuré) Personne qui abuse d'une autre, plus vulnérable qu'elle.
d'outrage sexiste où aucun contact n'existe entre l'auteur et la victime. considérées comme sexuelles : la poitrine, les fesses, les parties génitales. sexuelles commises sans le consentement de la victime. contacts sexuels sont proscrits par la loi.
L'amnésie peut ne pas apparaître immédiatement après un événement traumatique ou stressant. Elle peut prendre des heures, des jours, voire plus avant d'apparaître. Peu après la perte de mémoire, certaines personnes semblent confuses. Certaines sont très angoissées.
L'abus et la négligence envers les personnes aînées peuvent être d'ordre physique, psychologique, financier, sexuel et spirituel. L'abus physique suppose le rudoiement ou la violence, même si ces manifestations ne causent pas de blessures. L'abus physique peut aussi se manifester par la menace de l'usage de la force.
Ils ne ressentent aucune empathie. Ils exigent toujours de l'attention. Ils ne sont jamais satisfaits, en veulent de plus en plus. Comme ce sont des gens assez compliqués, vivre avec un narcissique est souvent épuisant, surtout pour ceux qui sont émotionnellement dépendants ou qui ont des problèmes d'estime de soi.
Ils sapent votre foi en votre compréhension de la réalité. Les manipulateurs émotionnels sont des menteurs incroyablement habiles. Ils insistent sur le fait qu'un incident ne s'est pas produit quand il s'est produit, et ils insistent sur le fait qu'ils l'ont fait ou ont dit quelque chose quand ils ne l'ont pas fait.
La séduction : le manipulateur commence toujours par séduire sa victime pour mieux la manipuler ensuite. Au départ, il fait tout pour plaire à sa proie pour que celle-ci baisse la garde et se sente en parfaite confiance. Plus on se sent à l'aise avec une personne, moins on s'en méfie.
Justifier ses actions.
Celui qui joue la victime n'est jamais coupable de rien. Ensuite, théoriquement, il peut faire ce qu'il veut. Même dans des situations où il n'a pas raison, il change la réalité en sa faveur en blâmant une autre personne ou les circonstances de ce qui lui arrive.
“Le plus souvent, c'est dans l'après-coup que les victimes réalisent ce qui leur est arrivé: le goût que ça laisse. On ne se sent pas bien et tout à coup, on fait une crise d'angoisse… Un viol, c'est un château de cartes qui s'effondre”, analyse Pascal Lapeyre.
Les prédateurs ont besoin pour se développer de consommer plusieurs proies qu'ils poursuivent ou chassent à l'affût, édifiant des édifices plus ou moins complexes (toiles, entonnoirs). La morphologie des prédateurs est adaptée à cette capture des proies (pattes longues et habiles ; pièces buccales broyeuses ; ...)
Ce que capture un animal. Synonyme : capture, prise. 2.