"Lorsqu'une personne va manifester une forte émotion, les personnes empathiques vont montrer qu'elles comprennent et faire comprendre à la personne qu'elle n'est pas toute seule. Elles vont manifester leur intérêt par le regard ou le geste et interagir avec l'autre. Elle ont aussi besoin de s'engager".
Une personne qui a de l'empathie est parfois appelée "empathe". Il s'agit d'une personne très sensible aux émotions des autres. Les personnes empathiques sont en effet capables de se mettre à la place des autres et de ressentir leurs besoins. Les empathes sont donc des individus dotés du don d'empathie.
Pourquoi cet intérêt pour l'empathie ? L'empathie est très étudiée car elle est source de bien-être et de progrès personnels et sociaux. En effet, de nombreuses études montrent que l'empathie favorise des comportements prosociaux, c'est-à-dire les compétences d'entraide, de partage, de réconfort, de coopération…
L'empathie est une qualité humaine, ce n'est pas une technique. Être empathique, c'est avant tout aimer les autres, avoir de la considération pour autrui. S'intéresser à l'autre, chercher à le comprendre : c'est pénétrer ses schémas de pensée et ses modes de fonctionnement.
Coach, infirmier, médecin, psychothérapeute, enseignant, professeur de yoga, vétérinaire sont des métiers qui répondent à leur sens de l'empathie », selon l'auteur.
Un empathe est très sensible aux émotions des gens et à leur énergie. Cette sensibilité ressentie vaut autant pour les proches de l'empathe que de parfaits inconnus. Les empathes ressentent le monde qui les entoure et sentent ce que les autres éprouvent par leur sens très développés et leur intuition qu'ils utilisent.
La réponse est oui, l'empathie est importante, peut vous aider à réussir à la fois personnellement et professionnellement, et, comme toute compétence, elle peut s'apprendre avec un peu d'entraînement. Tout d'abord, l'empathie vous aide à établir des connexions sociales avec les autres.
Le principal antonyme de empathie est insensibilité , qui désigne l'état de quelqu'un qui n'a pas de sensibilité morale, qui ne ressent pas ou peu d'émotions. Le mot froideur exprime également cette idée.
Le trouble de la personnalité antisociale se définit par une incapacité à ressentir de l'empathie et plus précisément à percevoir et à comprendre les émotions des autres. Les personnes présentant ce trouble réagissent également de manière impulsive, sans se soucier des conséquences de leurs actions.
L'empathie est certes un don, mais elle peut aussi devenir un fardeau. Ce genre de personne peut très facilement reconnaître les menteurs et les gens qui ne sont pas sincères. Mais, avec ce don, il peut être difficile d'entretenir des relations amicales ou amoureuses.
Les empathes auront d'abord besoin de connaître (véritablement) leur partenaire, de saisir sa manière de pensée et de se penser au monde. Mais ils se sentent aussi obligés de vous aider, soit à guérir, soit à simplement évoluer. Ils seront prêts à s'asseoir à côté de vous et à écouter votre histoire.
Un niveau élevé d'empathie et une abondance de comportements prosociaux sont parfois associés à l'anxiété et à la dépression. Dès le plus jeune âge, une préoccupation excessive pour les autres peut être un signe de ces troubles d'internalisation.
Quand Empathique rencontre Narcissique, la relation peut vite devenir toxique : Chaque fois que surgit un conflit, Narcissique impose son point de vue et n'hésite pas à accabler Empathique, qui n'ose pas répondre de peur d'aggraver la situation.
Être empathe c'est avoir un niveau supérieur d'empathie par rapport à la moyenne. Un empathe est très sensible aux émotions des autres et à leur énergie. De manière intuitive, il ressent le monde qui l'entoure et sent ce que les autres éprouvent.
Pratiquement, elle se traduit par des comportements d'écoute active, d'observation, de questionnement de découverte et de validation. Son but est de mieux : Connaître, comprendre l'autre dans ses pensées, sa vision du monde, ses attentes/besoins, ses intentions et ses projets (on parle alors "d'empathie cognitive").
Être empathique, c'est simplement être ouvert et s'intéresser à l'autre : écouter et entendre, regarder et voir, se placer dans la peau et l'esprit de l'autre pour abandonner sa propre perception d'une situation ou d'un évènement et l'aborder avec la légitimité de l'autre.
L'empathie implique à la fois des composants émotionnels et cognitifs : l'empathie émotionnelle désignant les réponses affectives de l'observateur (sa propre émotion) face à l'émotion d'autrui ; l'empathie cognitive référant à la capacité d'adopter la perspective d'autrui ainsi qu'à des processus de régulation [6].
Le mot empathique peut être remplacé par compatissant , compréhensif ou encore bienveillant . Aussi, puisque l'empathie est une faculté que l'on associe particulièrement aux êtres humains, on peut tout simplement utiliser l'adjectif humain à la place.
Les confondre revient à mélanger un moyen et un résultat.
Au sein d'une organisation humaine, quelle qu'elle soit, la bienveillance n'est qu'un des nombreux effets d'une attitude empathique envers autrui. Toutes deux ont cependant un point commun. À l'instar de la bienveillance, l'empathie ne se décrète pas.
La règle d'or de cette écoute est « J'accepte l'autre tel qu'il est. » Dans les faits, cela se traduit par une reformulation sans jugement, une verbalisation émotionnelle, etc. « D'après toi,… » « Je vois que… » « Tu dis que tu ressens de la peine… » »D'après toi… »
L'empathie, cette capacité à ressentir une émotion qui est appropriée, en réponse à celle qui est exprimée par autrui. En plus de ce ressenti de l'émotion de l'autre, il faut être capable de dissocier soi de l'autre, et de réguler ses propres réponses émotionnelles.
Une femme empathe ne veut pas être prisonnière de sa relation amoureuse. Un homme qui veut protéger sa compagne, c'est beau et chevaleresque.
Le cerveau des hypersensibles est en suractivité et ces personnes sont très observatrices. Elles font attention aux détails tout le temps, réfléchissent et cogitent en permanence. L'hypersensibilité n'est pas une maladie mais une nature qui concerne autant les hommes que les femmes.