Punir mon enfant TDA/H ne l'aide pas dans ce trouble. Au contraire la punition risque de lui faire perdre confiance en lui. Et donc il n'aura plus envie de faire d'efforts. Pour aider mon enfant TDA/H, je dirais à l'équipe éducative, qu'il faut appuyer sur les points positifs et oublier les négatifs.
Mettez en place des horaires réguliers pour les repas, le coucher, les tâches ménagères, ses activités de détente ou son temps de jeu d'ordinateur. Assurez-vous qu'il fasse du sport. Mettez à vue l'horaire de votre jeune et faites le lire à quelques reprises avant son coucher.
Placer l'enfant en classe de façon à limiter les distracteurs : près d'un élève calme, loin d'une fenêtre, d'une porte, de la poubelle. Segmenter les tâches en éléments successifs. Donner des consignes une à une et fragmenter lorsqu'elles sont longues. Faire reformuler la consigne.
LE TROUBLE DU SPECTRE DE L'AUTISME ET LE TDAH. Contrairement au DSM-IV-TR, la cinquième édition du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5) indique que le TSA et le TDAH ne sont pas des affections mutuellement exclusives, mais qu'elles coexistent souvent chez la même personne.
En fonction de l'âge, les symptômes vont évoluer. L'impulsivité et la dangerosité vont souvent de pair. Les activités physiques dangereuses qu'affectionnent les hyperactifs engendrent, pour leur part, de l'agressivité. Les enfants hyperactifs imposent leur présence, interrompent, « n'attendent pas leur tour ».
Ce trouble est caractérisé par des difficultés à se concentrer « je suis très facilement distrait », une impulsivité marquée « j'agis avant de réfléchir », et une agitation incessante. « je bouge trop et je ne peux pas m'en empêcher ».
T : Trouble, le TDAH n'est pas une maladie mais un trouble qui se caractérise par un ensemble de symptômes, donc plus dans le sens d'un syndrome. DA : Déficit de l'Attention.
On ne connaît pas les causes exactes du TDAH, mais il semble être attribuable surtout à des facteurs génétiques. Les enfants nés dans des familles ayant des antécédents de TDAH sont plus susceptibles de recevoir un diagnostic de TDAH que les enfants qui n'en ont pas.
Or, deux études publiées mercredi dans la revue scientifique JAMA Psychiatry – une publication de l'Association médicale américaine - indiquent que le TDAH peut non seulement se développer à l'âge adulte, mais les symptômes d'une personne atteinte, qu'on croyait diminuer avec le temps, peuvent s'aggraver avec le temps.
Le TDAH est héréditaire : les gènes influent fortement sur le développement de ce trouble. Si un parent est atteint de TDAH, il est probable qu'un ou plusieurs de ses enfants développent aussi un TDAH. Si un enfant est atteint de TDAH, il est probable qu'un de ses frères ou sœurs développe aussi un TDAH.
Quelles sont les règles de base pour vivre avec un enfant atteint de TDAH ? - Un milieu de vie stable calme et structuré et créer une routine de vie. - Donnez des règles de vie réalistes, constantes, et cohérentes. - Formulez à l'enfant des demandes claires et courtes.
Il conteste votre autorité : le responsabiliser
Un enfant, en règle générale rejette en bloc toute forme d'autorité arbitraire. Il y a donc un bon moyen de lui faire accepter certaines de vos décisions : lui expliquer votre point de vue mais aussi le responsabiliser par rapport à votre propre personne.
Les réactions agressives de votre ado expriment des frustrations, des malaises, des souffrances et des blessures qui doivent être traités en fonction de leurs origines, afin que cela soit approprié et efficace. L'agression peut aussi être un masque de l'insécurité que ressent l'adolescent.
Il faut s'expliquer et écouter, bref il faut qu'il y ait un échange. Pour se faire obéir des adolescents, il faut parfois punir. Le choix de la punition est important. L'ado doit comprendre ses erreurs mais il ne doit pas se sentir humilié ou encore infantilisé.
Le trouble de déficit de l'attention/hyperactivité (TDAH) n'est pas rare à l'âge adulte. Il reste pourtant sous-diagnostiqué et sous-traité, compromettant en grande partie l'avenir des jeunes qui en sont affectés.
L'exercice : L'exercice contribue à l'attention et à l'humeur. Les enfants qui ont un TDAH profitent de pauses pour bouger pendant la journée scolaire et d'exercices quotidiens. Le sommeil : Un sommeil insuffisant ou de mauvaise qualité peut nuire à l'attention et favoriser l'irritabilité et les sautes d'humeur.
Les difficultés liées au TDAH trouvent leur origine principalement dans les lobes frontaux où l'activité cérébrale se trouve diminuée (dopamine, noradrénaline), mais aussi dans certaines régions plus profondes et connectées du cerveau, dont le striatum qui semblerait fonctionner de manière inefficace.
Or, par définition, le diagnostic de TDAH exclut la déficience intellectuelle. Si l'on ne considère, dans l'étude de Williams et al., que les enfants souffrant du TDAH seul, l'écart de prévalence (12 % versus 7,5 %) est tout de même très modeste même s'il est significatif (p = 0,008).
Les médicaments prescrits en cas de TDAH sont des psychostimulants, qui ont pour rôle de stimuler le système nerveux central (cerveau). Un seul de ces produits est disponible en France : le méthylphénidate. Sa prise nécessite une surveillance médicale étroite.
Alors vous connaissez le stimming ! Ce terme signifie en anglais « Self Stimulatory Behavior » et correspond à l'autostimulation en français. Si l'autostimulation concerne l'ensemble de la population, elle peut s'avérer plus importante et envahissante chez d'autres personnes, notamment pour les personnes avec autisme.