Pareillement, si une chose à faire peut vous paraître facile, c'est peut-être une montagne pour un soumis. Inutile de lui dire : «mais si, tu en es capable…». Ce n'est pas un problème de compétences mais bien de vécu interne. À éviter également, dominer ou dramatiser, ce qui ne ferait que renforcer la soumission.
Le premier principe est de rester neutre et calme, ce qui est souvent une gageure. Evitez la colère, il la retournera contre vous en soulignant votre agressivité. Le calme lui donne moins de prise. Soyez factuel, technique sur des limites dont vous n'êtes pas responsable et qui ne peuvent être franchies.
Le soumis dévoile facilement ses complexes et ses points faibles, le dominant peut exercer des formes d'intimidation, de chantage, de prédation (symbolique ou réelle), et isoler sa proie. Le soumis peut avoir tendance à se soucier davantage des autres que de lui-même, à céder sa place à autrui ou à s'en croire indigne.
Ce terme désigne l'action d'obéir à quelqu'un, d'accepter sa domination, son autorité ou ses ordres.
Peut-être en vous faisant aider : des techniques d'affirmation de soi, pratiquées dans un cadre psychothérapique (mais vous pouvez aussi les « tester » dans des stages de formation professionnelle ou de développement personnel) seraient la méthode le plus utile pour vous dans un premier temps.
Tout en restant à la fois factuel et bienveillant, faites-le parler de son ressenti avec des questions du type: «je comprends que ce que tu penses te pose de vrais problèmes.»; «Je ne connais pas toute la situation, pourrais-tu m'expliquer?»; «Qu'est-ce qui te fait dire cela?»; «Qu'est-ce qui se passe?».
En 1886, le psychiatre allemand Richard von Krafft-Ebing invente le terme « masochisme » pour décrire une perversion sexuelle typique : un sujet éprouve du plaisir à se soumettre et à se faire humilier et brutaliser par un autre individu, souvent du sexe opposé.
adjectif et nom. Docile, obéissant. nom Les affranchis et les soumis.
Le besoin de domination : les origines
La domination peut être comprise comme une déviation du besoin d'affirmation de soi et de reconnaissance. Cette déviation peut avoir une origine psychologique comme par exemple le mécanisme de compensation.
Ainsi, la femme soumise serait celle qui sait prendre soin de son homme, la femme douce qui, par son attitude évite des disputes inutiles au sein de son foyer. C'est cette femme qui parle avec humilité, avec amour.
Contraire : désobéissant, dissident, frondeur, indépendant, indiscipliné, indocile, insoumis, insubordonné, rebelle, récalcitrant, rétif, révolté.
Locution nominale
(Désuet) Prostituée inscrite officiellement dans les registres de police.
Pour sortir d'une relation dominant dominé, il est crucial de fixer de nouvelles limites. Ces limites doivent concerner à la fois le dominant, mais aussi le dominé. Ainsi, aucun des deux ne se sentira ciblé et des actions concrètes sont mises en place.
Pour déstabiliser un homme accordez-lui de l'attention !
N'hésitez donc pas à prendre les devants à certains moments pour l'appeler, lui envoyer des messages, lui poser des questions sur lui, prendre des nouvelles de ses projets professionnels ou personnels, le conseiller, parler de votre intimité…
En général, un homme troublé par une femme cherchera toujours à se rendre utile et serviable. Mais le signe le plus révélateur ce sera surtout l'écoute ! En effet, si cet homme éprouve bel et bien de l'attirance à votre égard, il essayera de capter votre attention par tous les moyens.
Menton carré, regard direct, voix grave et corps musclé : les mâles dominants se reconnaissent à leur physique, mais pas seulement. D'autres signes plus discrets reflètent la capacité d'un homme à occuper des positions hiérarchiques élevées.