Conseils pratiques pour aider une personne à communiquer Adapter la manière de communiquer : il faut laisser à la personne le temps de s'exprimer et savoir respecter les moments de silence, pour lui permettre de réunir ses pensées et de réfléchir à ce qu'elle va dire.
Toucher doucement la main, l'épaule ou la tête de la personne mourante est une tendre manière de lui dire « Je suis là. Tu n'es pas seule. » Continuez de parler à la personne mourante même lorsqu'elle n'est plus en mesure de vous répondre. Elle sentira votre présence et entendra votre voix.
Écouter attentivement; Aider à réaliser les désirs ou les projets qui sont réalistes; Souligner les qualités et les réalisations de la personne en fin de vie; Échanger, si la personne le souhaite, au sujet du sens de sa vie et de la vie.
La personne peut devenir plus ou moins indifférente à ce qui l'entoure. Elle perd de l'intérêt pour les activités qu'elle avait l'habitude d'apprécier, et n'a pas envie de parler ou d'être sociable. Elle peut aussi devenir irritable ou agitée.
Aborder les craintes, les angoisses, les limites du patient. « Qu'est-ce qui vous fait le plus peur dans la maladie ? » « Qu'est-ce que vous n'accepteriez pas ? » Parler de ses convictions personnelles, ses croyances, sa conception de la vie, ses critères de qualité de vie, etc.
En d'autres termes, tout patient a droit à une sédation profonde et continue jusqu'au décès, associé à une analgésie. Cela permet ainsi de soulager une personne en situation de souffrance extrême, alors même que son décès est à la fois inévitable et imminent.
Plusieurs signes peuvent indiquer que la mort approche. Les fonctions du corps diminuent et se préparent à arrêter : le patient n'a plus faim ni soif, se fatigue rapidement, dort de plus en plus et s'isole. Il est difficile de prévoir le moment exact du décès, car chacun est différent.
La conscience faiblit, les membres refroidissent, voire bleuissent ou se marbrent, et la respiration devient irrégulière. La confusion et la somnolence peuvent survenir dans les dernières heures.
La définition des soins palliatifs personne âgée
Quoi qu'il en soit, les 4 piliers des soins palliatifs doivent être respectés à savoir : le principe d'autonomie, d'humanité, de proportion et de futilité (source : mediformation.com).
Il faut être patient et endurant. Et ne pas hésiter à consulter un psychothérapeute ou à rejoindre un groupe de parole, voire les deux. Trouver un espace où l'on peut exprimer toute sa souffrance et se sentir véritablement accompagné, étayé, apporte un soutien considérable. »
L'anxiété et l'angoisse chez les personnes en fin de vie
Il est fréquent que la personne malade n'ait pas conscience de son état anxieux ; même en cas de prise de conscience, l'expression des ressentis peut se trouver bloquée par le déni, la honte (d'être faible par exemple) ou la volonté de protéger ses proches.
Cher ami, je pense affectueusement à vous dans cette épreuve et te souhaite un bon rétablissement. Reçois toute ma sympathie dans ces moments difficiles, Rétablis toi bien et prends soin de toi ! Ce petit mot pour vous dire toute mon amitié et vous souhaiter un prompt rétablissement. Affectueusement.
Quelques mots suffisent “je pense à toi, tu es dans mon cœur…” ou partager simplement une photo qui réconforte. Privilégiez les sms aux appels pour ne pas fatiguer la personne malade. N'hésitez pas à lui proposer de faire une petite balade, ça permet de passer du temps avec elle et d'en plus lui faire du bien.
La perfusion sous cutanée, si elle est mieux tolérée, peut aussi susciter des hématomes, des douleurs au point de ponction, des œdèmes, ou un encombrement. Le maintien de l'hydratation artificielle (même par voie sous cutanée) après arrêt de l'alimentation, risque de prolonger la phase agonique.
La moyenne d'âge des patients est de 60 ans et la durée moyenne de séjour de 11 jours. Si 40% des patients admis en soins palliatifs décèdent, 60% d'entre eux rejoignent leur service d'origine, retrouvent leur domicile ou intègrent un établissement de SSR ou un EHPAD.
Mauvaise hygiène de vie
Cet état est provoqué par une mauvaise circulation sanguine. Pour y remédier, pensez à bouger, à changer de position, faire de la marche et surélever les pieds au sommeil. L'apport alimentaire trop riche en sodium induit une rétention d'eau et entraîne des mains et des pieds enflés.
Les êtres chers décédés nous entendent-ils ou nous voient-ils ? Non. Quand on est mort, on entend et on ne voit rien.
Les opiacés sont les médicaments de choix de la dyspnée en fin de vie. De faibles doses de morphine 2 à 10 mg par voie sublinguale ou 2 à 4 mg en sous-cutané toutes les 2 heures selon les besoins a réduit la dyspnée chez les patients qui n'ont jamais reçu d'opiacés.
Peut-on sortir des soins palliatifs ? Oui, environ 10 % des des personnes gravement malades sont en mesure de quitter les soins palliatifs et d'être réintégrés dans un établissement de santé ou de rentrer au domicile. Leur temps est précieux.
Quand commencent les soins palliatifs et qui décide ? Les soins palliatifs peuvent commencer à tout stade de la maladie. Ils peuvent être administrés parallèlement aux traitements curatifs, mais peuvent également avoir lieu en lieu et place des traitements curatifs si la maladie est considérée comme incurable.
Les soins palliatifs ont pour objectif d'aider à préserver la qualité de vie des patients atteints d'une maladie grave, potentiellement mortelle, par la prévention et le soulagement de toute souffrance, qu'elle soit physique, psychologique , existentielle ou spirituelle.