Pour trouver sa place de belle-mère ou de beau-père, le conjoint est un allié. Il connaît ses enfants et surtout les éventuelles difficultés à l'origine de la séparation. Il peut donc aider les différents membres de la famille recomposée à s'apprécier mais aussi à vivre ensemble.
La belle-mère est une matriarche : elle peut être celle qui réunit tous les membres de la famille et endosser un rôle de gardienne de clan quand ça se passe bien, mais parfois elle n'est pas autorisée à rassembler, à se mêler, ça dépend des cas", explique l'experte. "Elle peut aussi les désunir si ça se passe mal."
On recommande parfois aux belles-mères de respecter avec leurs belles-filles la règle des trois C: des Cadeaux des Compliments et pas de Conseils. Avec les belles-mères, c'est un peu pareil. En remplaçant peut être le dernier item: des Cadeaux, des Compliments et pas de Critiques.
L'enfant passera toujours en premier et vous devrez respecter et soutenir cela. En fixant des limites claires et en faisant preuve d'empathie envers votre partenaire, vous n'aurez pourtant aucun problème à vivre une relation avec une personne qui a déjà un enfant.
Mère du conjoint ou de la conjointe. 2. Conjointe du père ou de la mère, pour les enfants issus d'un autre mariage, d'une autre union de l'un ou de l'autre.
1. Une belle-fille toxique ne fait jamais preuve de sympathie envers sa belle-mère. Peu importe ce que la belle-mère traverse, elle ne montre jamais de compassion ou d'empathie pour elle et se présente rarement pour aider. Les seules personnes qui la soutiennent sont son mari, des amis proches et peut-être son fils.
Une belle-mère manipulatrice narcissique utilise essentiellement la violence psychologique pour contrôler sa belle-fille qui est une victime. Elle va donc vous contrôler, vous rabaisser publiquement et littéralement vous casser mais jamais en présence de son fils et donc votre mari.
Montrez-lui qu'elle est le chef chez elle et complimentez-la. En revanche, n'acceptez pas qu'elle critique votre façon de faire devant les enfants. Il faut que ça soit bien clair : si elle a quelque chose à dire, ce ne doit être en aucun cas en leur présence.
Ne pas critiquer les beaux-enfants
Mieux vaut donc avoir une conversation avec le conjoint quand la belle-mère se sent mise de côté, non soutenue ou entendue, plutôt que critiquer les enfants. De plus, il est possible de faire le point entre ce qui est agaçant et ce qui est problématique chez les beaux-enfants.
Une des premières causes des difficultés à vivre dans les familles recomposées est le nombre exponentiel de variables par rapport à une famille « traditionnelle ». Cela ne veut pas dire que cela ne peut pas bien fonctionner, ou que les membres d'un foyer recomposé ne peuvent pas être heureux.
Passer du temps seul avec votre enfant l'aide à s'adapter à la famille recomposée. Faire des activités amusantes avec les enfants, créer des rituels propres à la nouvelle famille et établir des règles familiales avec son nouveau partenaire favorisent la bonne entente.
Pour qu'un enfant accepte la présence du nouveau conjoint, il faut que celui-ci lui montre de l'attention. Trouver des intérêts communs peut également aider pour que la relation s'améliore : « Il y a des enfants qui vont trouver quelque chose que leur parent biologique n'a pas.
« Dès le début, il est important de fixer des limites à sa belle-famille, nous avertit Élisabeth Couzon, psychologue clinicienne. Il ne faut pas avoir peur de mettre un cadre autour de ces relations qui peuvent rapidement devenir toxiques : osez affirmer vos besoins, ne vous sacrifiez pas.
C'est quoi une "famille toxique" ? Une famille peut être toxique lorsqu'il existe des comportements qui provoquent des problèmes émotionnels chez un ou plusieurs membres du système ou lorsque les rôles familiaux sont différents de ceux qu'ils devraient être.
Si vous êtes dans cette situation, la première chose à faire est de discuter ouvertement avec votre conjoint. Même s'il est incapable de faire face frontalement à sa famille, il faut qu'il comprenne que cela met en péril votre couple, que vous avez besoin qu'il soit là pour vous et qu'il vous faut agir.
Utilisez le principe du « merci positif ». « Face aux remarques désobligeantes, répondez quelque chose comme "tiens, c'est une bonne idée, je vais essayer", quitte à faire exactement le contraire dès qu'elle sera partie. Pour la belle-mère, c'est souvent une manière (certes maladroite) de vouloir se rendre utile.
Si votre belle-fille fait des remarques sarcastiques et méchantes sur un autre membre de la famille (votre autre belle-fille par exemple), dites : « Bon, elle n'a peut-être pas du gout en matière de mode, mais c'est l'une des personnes les plus gentilles que je connaisse et je l'aime beaucoup. » Cela l'amène à savoir ...
Expliquez votre point de vue et vos limites à votre belle-famille. Faites savoir à vos beaux-parents que vous cessez tout contact avec eux et donnez les raisons de votre décision. Gardez la conversation courte et tenez-vous-en aux faits. Évitez de vous quereller.
Ne pas supporter sa belle-fille ou son gendre est souvent dû au fait qu'on les considère inconsciemment comme des rivaux ou des concurrents alors qu'en matière de relations beaux-parents/beaux-enfants, il ne s'agit pas du tout de ce registre là.
Le plus souvent se met en place une habitude. Pour nommer ses beaux-parents, il existe six possibilités : appeller sa belle-mère par son nom de famille, par son prénom, par « belle-maman », par « maman », par « mamie » ou « mémé », ou éviter.
Belle-mère : nom d'alliance entre un mari et la mère de sa femme, ou entre une femme et la mère de son mari, ou entre des enfants et la seconde femme de leur père. Benjamin : dernier né des enfants. Bisaïeul(e) : deux fois aïeul, père ou mère du grand-père ou de la grand-mère. Bisaïeul(e) paternel(le).
Définition de belle-mère nom féminin
Mère du conjoint, pour l'autre conjoint. Des belles-mères. Femme de l'un des parents, pour les enfants d'une autre union. déf.