— Quel type de stage avez-vous fait ? — Depuis vos études, quels sont les choix que vous avez faits ? — Pourquoi avoir choisi tel cabinet plutôt que tel autre ? — Pourquoi avoir choisi l'audit ?
La première étape consiste donc à déterminer un objectif. De manière générale, l'audit interne s'appuie sur quatre objectifs principaux : vérifier la conformité à un référentiel et détecter les non-conformités ; analyser l'efficacité du système ; identifier les points d'amélioration ; capitaliser sur les points forts.
Toute réponse doit contenir 200 mots au maximum. Si l'entité accepte la recommandation, elle doit décrire les mesures qu'elle prévoit mettre en œuvre pour y donner suite. Si l'entité refuse la recommandation, elle doit préciser les raisons de son refus dans sa réponse, qui seront également intégrées au rapport d'audit.
Évitez le jargon technique, qui ne fait qu'engendrer confusion et occasions manquées. En tant qu'auditeur, vous êtes probablement très à l'aise avec tous les acronymes et le jargon qui se rapportent à votre métier, mais ne supposez pas que vos clients comprennent et apprécient un tel langage.
Globalement il existe 6 assertions : exhaustivité, réalité, propriété, correcte évaluation, séparation des exercices, correcte imputation. Pour valider ces assertions, l'auditeur va mettre en œuvre des procédures d'audit.
és (mais aussi par les auditeurs), notamment : l'incomplétude du système de management (par exemple : absence d'un mode opératoire utile au bon fonctionnement du système de management, absence de procédure dite « documentée » exigée par la norme de référence du système de management en place).
L'entretien commence donc généralement par une présentation de l'audit et de l'auditeur. La présentation de l'audit doit situer au minimum la raison pour laquelle l'audit a été demandé et l'objectif qui est fixé. Il n'est pas nécessaire de réciter toute la lettre de mission !
Les qualités du bon auditeur interne résident dans sa curiosité intellectuelle, sa diplomatie, sa pédagogie, son autonomie, sa flexibilité, son aisance relationnelle et rédactionnelle sa capacité à gérer les priorités, sa forte implication ainsi que le respect de principes d'éthique et de confidentialité.
Le contrôle interne désigne un ensemble de dispositifs : ➢ mis en place par une organisation pour maîtriser ses activités ; ➢ mis en œuvre par l'ensemble des agents de cette organisation ; ➢ en vue de fournir une assurance raisonnable (et non une garantie absolue) que les objectifs de l'organisme seront atteints.
L'audit est généralement limité par les frontières de l'organisation. Cependant, l'auditeur ne peut faire l'économie d'une réflexion sur la conformité des éléments acquis par l'entreprise.
En temps de désorganisation, l'audit interne doit être en alerte sur les risques de blanchiment de capitaux, de corruption et de contournement d'embargos. Les équipes doivent s'interroger sur la conformité de la connaissance des clients, la pertinence de leur évaluation et l'efficacité du suivi de leurs transactions.
Un objectif d'audit est l'hypothèse qui sera vérifiée par la collecte et l'analyse des éléments probants. Il doit être formulé de manière à ce que la conclusion soit claire et univoque, c'est-à-dire indiquant si c'est une réussite ou un échec (l'entité satisfait ou pas à la norme de performance établie).
Pour identifier et évaluer le risque, l'équipe d'audit doit aussi comprendre les contrôles internes pertinents pour l'objet considéré. Cette compréhension aide l'auditeur à identifier les facteurs qui peuvent atténuer le risque et à concevoir des procédures.
Concept 2 pour la maîtrise de l'audit comptable : Elément probant ou preuve d'audit. Les éléments probants correspondent à des « informations utilisées par l'auditeur pour aboutir aux conclusions sur lesquelles il fonde son opinion d'audit.
Formuler des questions efficaces
Usage de questions en lien direct avec le point d'audit. Usage de formulations brèves, simples et précises. Usage de termes justes, dépourvus d'ambiguïté et facilement compréhensibles par l'audité
Salaire Auditeur finance
En début de carrière, un auditeur financier touche un salaire brut annuel minimum situé entre 24 000 euros et 36 000 euros, soit entre 2 000 et 3 000 euros bruts mensuels.