La rumination mentale se déclenche souvent au moment du coucher. Comment se débarrasser de la rumination mentale ? En détournant son attention sur des tâches distrayantes mais prenantes, en se recentrant sur l'instant présent grâce à la méditation ou encore en écrivant ses ruminations, il est possible de les contrer.
Ruminer est donc normal quand on est face à des situations compliquées et imprévues, comme une personne en retard, un bulletin de note désastreux de votre enfant ou une remarque désobligeante d'un(e) collègue. Pour le psychologue Boris Charpentier, le fait de cogiter en permanence permet également d'éviter les dangers.
Les principaux médicaments utilisés sont l'alprazolam (Xanax®), le bromazépam (Lexomil®), l'oxazépam (Seresta®) ou encore le prazépam (Lysanxia®). Une autre famille de médicament est utilisée : il s'agit de certains antidépresseurs qui ont une action sur l'angoisse, en dehors de leur action antidépressive.
Pour débrancher le cerveau, on commence donc par se déconnecter littéralement. Ou, du moins, par se discipliner un peu. On apprend donc à se fixer des plages consacrées à la consultation de nos messages, textos et autres notifications et l'on cesse de bondir à chaque alerte.
On les appelle des “pensées automatiques”. Elles ne sont pas le fruit d'une réflexion, mais d'un automatisme acquis le plus souvent dans l'enfance. Ces pensées sont à la limite de la conscience, et il faut souvent faire un effort mental pour les identifier.
Occupez plutôt votre cerveau à autre chose. Les jeux vidéo et les jeux de société sont très utiles pour cela. Vous pouvez également lire un livre, regarder la télévision ou téléphoner à un ami. Trouvez-vous quoi que ce soit qui requiert assez de concentration pour détourner votre pensée de ce que vous ruminez.
En fait, il ne s'agit pas que de penser. Tout est dans le « trop ». Trop d'émotions, trop de pensées qui partent dans tous les sens, trop de questions, trop de sensibilité, trop d'énergie, trop d'activités. On ne vous arrête jamais, même la nuit.
Réglez un chronomètre ou une minuterie sur trois minutes. Concentrez-vous ensuite sur la pensée indésirable. Lorsque le chronomètre ou la minuterie arrive à trois minutes, criez « stop » ! Cela va vous aider à vider votre esprit.
Ce phénomène, nommé en anglais "overthinking", bloque notre esprit en le remplissant d'angoisses, de peurs et d'inquiétudes inutiles. Les pensées sont normales et impossible à arrêter, mais c'est la manière de gérer ses pensées qui va faire la différence.
La réflexion excessive vous donne l'impression de stagner, de faire du sur-place. Sans une réaction immédiate, ce sentiment de rester coincé au même niveau est capable de mettre en danger votre bien-être et votre santé. Les dangers les plus redoutés sont la vulnérabilité, l'anxiété et la dépression.
Posez votre main sur votre cœur, sous le nombril, ou sur n'importe quelle autre partie du corps où vous ressentez l'inquiétude. C'est une façon d'apporter un signal de bienveillance au cerveau. Le toucher est également un sens qui aide à réduire la rumination mentale et les pensées négatives.
Pour retrouver votre bien-être, pratiquez une activité au grand air (vélo, marche…) : le soleil améliore l'humeur et dynamise. Veillez à respirer profondément quelques minutes par jour et mettez-vous à la relaxation. L'alimentation n'est pas à négliger.
Pour améliorer notre humeur, il est essentiel de confronter et de modifier nos pensées et croyances négatives. Premièrement, il faut les examiner en profondeur. Imaginez que vous menez une enquête ou que vous contestez vos pensées et vos croyances négatives en cour.
Pour ramener votre esprit dans le moment présent, prenez une grande inspiration et placez vos deux mains sur votre cœur, jusqu'à ce que les tensions s'apaisent. Fermez les yeux et respirez profondément, jusqu'à ce que vous ne puissiez plus respirer, puis relâchez l'air lentement, en détendant la mâchoire.
PSYCHO - Prendre de la distance avec ses pensées négatives, se remettre dans l'action et favoriser les émotions positives sont autant de conseils qui peuvent aider à arrêter de ruminer.
Anxiolytique naturel, doux et efficace, le CBD est de plus en plus privilégié pour réduire l'anxiété passagère ou chronique. C'est d'ailleurs plus de 260 millions de personnes qui souffrent de troubles anxieux, selon les dernières études de l'Organisation mondiale de la Santé.
Un surdosage de Lexomil® n'engage pas le pronostic vital du sujet s'il est pris seul. Néanmoins, il peut provoquer des signes de confusion mentale, une apnée, des troubles de l'élocution, une hypotension, une hypotonie, une dépression cardio-respiratoire, un coma et de façon exceptionnelle un décès.