La seule façon de faire réellement la paix avec son passé, c'est de l'accueillir. C'est d'accepter qu'il fasse partie de notre histoire. Cette attitude d'ouverture envers ce qu'il nous est arrivé nous permet de poser un regard différent sur notre parcours.
Vivre constamment dans le passé, c'est sentir en soi le temps qui file, passe et trépasse, de façon particulièrement douloureuse. Si douloureuse que certains refusent de croire que ce qui a eu lieu (une histoire d'amour, une enfance identifiée comme « heureuse », une période épanouissante au travail, etc.)
Lorsque le cerveau se sent en danger, il enclenche en effet un système d'autoprotection menant à deux possibilités : prendre de plein fouet le moment présent associé au mauvais souvenir et réagir sur le coup des émotions, ou mettre de côté ces flashs anxiogènes pour continuer d'avancer.
Pour se libérer de l'emprise d'un souvenir pénible, il faut accepter de bouger, en prenant des initiatives personnelles. Cela ne se fait pas du jour au lendemain. Passer à une vision plus positive de l'existence, c'est un travail sur soi qui nécessite quelques efforts. Les expériences négatives font partie de la vie.
pratiquer la méditation de pleine conscience. lorsque des pensées du passé surgissent, les laisser simplement s'exprimer un instant avant de se concentrer à nouveau sur la respiration. Ce processus continu de retour au présent est la base de la pleine conscience.
Pour aller de l'avant, il faut se focaliser sur le présent et viser loin. Le passé, tirez-en des leçons et c'est tout. La première habitude à avoir est donc quelque chose que vous connaissez bien. Cependant, vous devez intégrer cette pratique à votre quotidien de façon plus rigoureuse à partir d'aujourd'hui.
Pour atteindre la paix intérieure, il est essentiel d'apaiser notre esprit. Pour cela l'idéal est de réaliser des exercices de méditation, qui nous aideront à mieux affronter le quotidien, avec l'esprit plus détendu. Vous devriez consacrer une partie de la journée à retrouver la tranquillité par la méditation.
Lorsque le cerveau se sent en danger, il enclenche en effet un système d'autoprotection menant à deux possibilités : prendre de plein fouet le moment présent associé au mauvais souvenir et réagir sur le coup des émotions, ou mettre de côté ces flashs anxiogènes pour continuer d'avancer.
La réponse est que notre cerveau est structuré pour répondre de cette façon. Lorsque nous sommes rejetés, abandonnés ou subissons une perte, les mêmes zones du cerveau impliquées dans la douleur physique sont activées, à savoir l'insula antérieure et le cortex cingulaire antérieur.
De retour des camps de concentration où il avait été déporté, Viktor Frankl, médecin psychiatre, s'interroge sur le sens de la vie, celui-là même qui place le courage et l'envie de poursuivre au premier plan.
Pourquoi dit-on ''être à coté de la plaque'' ? L'expression ''être à coté de la plaque'' veut dire que l'on se trompe de réponse lorsqu'une question nous est posée. Son origine reste trouble mais elle viendrait d'une plaque étant le centre d'une cible que l'on loupe en tirant et on serait alors ''à coté de la plaque''.
Comprendre ce qui nous est arrivé, identifier nos blessures, donner la parole aux différentes parties de nous qui nous appellent à l'aide, nous permet d'accepter ce que nous avons vécu, de renoncer à avoir un passé meilleur, et à vivre enfin notre présent au présent.
Un esprit calme et équilibré est absolument nécessaire pour parvenir à oublier le passé. La méditation et/ ou la prière pourront vous aider à avoir l'esprit plus stable et plus calme. La méditation consciente vous aidera à vous concentrer sur l'instant présent X Source de recherche X Source de recherche .
L'hypnose peut causer une amnésie temporaire, mais elle ne peut pas effacer les souvenirs de façon permanente. L'amnésie peut se produire spontanément (c'est-à-dire sans la suggestion de l'hypnothérapeute) pendant les états les plus profonds de l'hypnose.
Les souvenirs refoulés peuvent vous revenir de diverses façons, y compris par un déclencheur, des cauchemars, des flashbacks, des souvenirs corporels ou des symptômes somatiques. Cela peut entraîner un sentiment de déni, de honte, de culpabilité, de colère, de blessure, de tristesse, d'engourdissement, etc.
Mais pour que le cerveau efface les "bonnes informations", celles que vous ne souhaitez plus avoir en tête, il suffirait de ne penser dans la journée qu'aux choses réellement importantes pour vous, et mettre de côté les données parasites et inutiles, qui prennent de la place (pour rien) dans votre mémoire.