Comment prendre une décision quand on est indécis ?
Assumez vos décisions.
Une fois une décision prise, ne regardez plus en arrière et foncez. Commencez par des situations simples, comme le choix d'un menu, puis augmentez la difficulté graduellement. «Le danger quand on est indécis, c'est de n'être que dans sa tête et jamais dans le mouvement», rappelle Josée Jacques.
Les causes de l'indécision sont variées et propres à chaque personne. Il y a d'abord les pressions sociales, économiques et culturelles (Ex. : vous pouvez être influencé par l'opinion de vos amis ou par votre situation financière).
Face à un choix à faire, la personne souffrant de décidophobie (ou le décidophobe) éprouve des symptômes d'anxiété tels qu'une augmentation du rythme cardiaque, un essoufflement, ou encore des vertiges. Des ressentis souvent très (trop) intenses comparé à l'importance de la décision à prendre.
Se choisir, c'est d'abord s'accueillir, s'accepter, s'aimer, se respecter, c'est prendre des décisions et passer à l'action pour soi et à partir de soi, pas parfaitement, mais comme nous le pouvons aujourd'hui, à notre rythme, avec tous les hauts et les bas que ça comporte.
Accepter et se pardonner. La première étape pour se libérer des regrets est d'accepter que nous n'avons plus aucun contrôle sur la situation afin de pouvoir tourner la page et aller de l'avant. ...
Comment peser le pour et le contre d'une situation ?
Elle consiste à peser le pour et le contre, à bien évaluer les conséquences. Ça, c'est quand on a un peu de temps (pas au café devant la face médusée du serveur, en somme). On fait deux colonnes, où on met les arguments positifs et négatifs, on regarde de quel côté pèse notre balance et le tour est joué.
Conscience, libre arbitre, valeurs, éthique et imagination sont, selon Covey, les fondements de la capacité de se comporter librement et de manière responsable en tant que personne. Face à un stimulus, les choix de réponses de la personne ne sont pas limités mais aussi multiples qu'elle peut imaginer des solutions.
Un homme a toujours le choix. Parfois, il faut juste choisir les bons. Tout choix est un art difficile. Le choix entre deux items dont on ignore la portée est hasardeux.
La principale raison pour laquelle la prise de décision peut être difficile est que chaque décision nous oblige à subir un processus, quelque chose de souvent difficile et complexe, et que la difficulté avec toutes les étapes de celui-ci peut interférer avec l'ensemble du processus de la performance du manager.
La décidophobie, ou la peur panique de prendre une décision. La phobie de prendre une décision, appelée également "décidophobie", peut pousser les personnes qui en souffrent à s'isoler et à négliger leur vie par peur de faire des mauvais choix.
Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
Vivre en plénitude n'est pas un état, c'est un processus où nous comprenons que nous sommes plus que ce que nous avons fait ou réalisé. C'est ce que nous apportons avec nous, c'est apprécier notre essence magique et comprendre que nous sommes un bien très précieux. Rédigé et vérifié par Psychologue Valeria Sabater.
C'est un fait, plus il y a de choix, plus on hésite. Et, parfois, plus on souffre. Un terme existe pour qualifier cette frustration des temps modernes : le FOBO ('Fear Of Better Options" en anglais, "Peur d'une Meilleure Option" en Français).
Afin de connaître votre poids, le meilleur moment est de vous peser le matin, à jeun, de préférence après être allé aux toilettes, et complètement nu. Aussi, il vous faut déterminer le bon jour de de la semaine pour votre pesée en fonction de votre mode de vie.