On peut utiliser toutes les parties de notre corps pour frapper : le coude, les genoux, la paume de la main ou son tranchant, notre front également.
Se défendre par devant. Attaquez aux yeux et au nez. Si vous devez mettre un terme à la confrontation le plus rapidement possible en frappant en premier, frappez fort et autant de fois que possible, puis courez chercher de l'aide.
Les yeux, le nez et la gorge
En cas d'agression, le premier réflexe que vous devez avoir est de tenter de vous enfuir afin d'éviter les dommages physiques. Mais si cela n'est pas possible et que vous n'avez pas d'autre choix, privilégiez les frappes au niveau des yeux, du nez et de la gorge.
Visez des points faibles comme la mâchoire ou le menton.
Les points sensibles comme le nez, le visage, les reins, le ventre et les tempes sont des cibles de choix à frapper pour immobiliser temporairement votre adversaire.
Traiter directement la peur
La seule façon de faire face à la peur est de l'aborder de front. Le déni est une tendance naturelle de la nature humaine. Se forcez à faire face à une situation de peur dans la vie renforcent l'estime et la confiance en soi.
La première chose à faire quand vous sentez que quelqu'un est menaçant ou insistant, c'est de ne surtout pas laisser vos bras ballants le long de votre corps, car si cette personne décide de passer à l'acte vous allez perdre de précieuses fractions de secondes pour contrer l'attaque.
Les quatre zones les plus sensibles
Yeux, gorge, genoux ou encore parties génitales, Franck Ropers vous dévoile les points les plus sensibles du corps humain. Un doigt dans l'œil entraîne une douleur importante, une difficulté de l'adversaire à se concentrer, et obstrue temporairement le champ visuel.
Voici comment vous y prendre. Fléchissez votre coude à un angle de 30 à 45 degrés devant votre visage. Lancez votre poing, votre coude et votre épaule, en étendant votre bras. Envoyez votre poids, à travers votre épaule, dans votre bras, puis dans votre poing lorsque vous frappez, afin de frapper le plus fort possible.
Il peut être très difficile de se défendre si vous êtes habitué à laisser les autres faire ou à faire tout votre possible pour plaire à tout le monde. Lorsque vous vous rabaissez pour vous adapter à quelqu'un d'autre, il est beaucoup plus facile d'en sortir diminué.
Travaillez votre force mentale.
Dans un combat, le mental est aussi important que la force physique, l'adresse, la technique ou la vitesse. Des sportifs talentueux peuvent perdre un combat par manque de préparation mentale et de concentration. Comme la puissance physique, la force mentale peut s'acquérir.
Lorsque vous vous battez contre plusieurs adversaires, ne soyez pas au milieu ! Il est plus difficile de lutter contre 2 personnes en même temps que contre une seule. Restez hors du groupe des attaquants et essayez de les obliger à se battre contre vous un par un. Utilisez une arme si vous la maitrisez.
La peur est comme l'excitation, mais sans la respiration. Le fait de bien respirer va donc atténuer les sensations et sentiments qui nous font perdre le contrôle. Le plus : Faire un pas de côté pour prendre de la distance est un petit rituel, une démarche psycho-corporelle très forte.
Le bout des doigts de la main arrive largement en tête ! C'est un médecin allemand nommé Ernst Weber qui l'a montré dès 1834, en mesurant la plus petite distance perçue entre deux points de stimulation sur différentes parties du corps à l'aide d'une sorte de compas. A cet endroit, la sensibilité est de seulement 2mm.
Les points de pressions sont des pressions effectuées sur une petite zone, généralement sensible, pour diminuer la douleur locale, relâcher les tensions et augmenter la souplesse régionale. Ces petites zones sensibles sont parfois ressenties comme des nœuds, nodules rigides.
Ces zones sont d'ailleurs dispersées sur tout le corps, par exemple au niveau de la partie supérieure (visage, cou, nuque, crâne). Citons également la partie moyenne (poitrine, plexus, ventre, reins, dos, côtes) ainsi que le bas (jambes, bas-ventre).
Votre bras et votre poing doivent être détendus jusqu'au moment précédent l'impact. Au moment où vous ressentez le contact et de votre adversaire, resserrez votre poing. Un poing détendu se déplace plus facilement alors qu'un poing bien serré donne un coup plus puissant.
Contrairement au KO à la tête, où le boxeur est out, parfois sans avoir mal, le KO au foie est uniquement dû à la douleur. L'onde de choc irradie sur les plexus nerveux des régions hépatiques. La douleur remonte les filets nerveux jusqu'au cerveau en deux ou trois secondes.