La maladie débute de façon indolore et provoque progressivement une faiblesse puis une fonte musculaire associée à des fasciculations (secousses spontanées du muscle). Il existe souvent des crampes et une perte de poids.
La maladie de Charcot peut être provoquée par une blessure nerveuse, une inflammation nerveuse ou une maladie dégénérative du cerveau ou de la moelle épinière. La maladie de Charcot, aussi appelée sclérose latérale amyotrophique (SLA) est une maladie neurodégénérative rare.
Des chercheurs américains révèlent pour la première fois que les aliments comme les fruits et légumes sont associés à une progression moins grave de la sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou maladie de Charcot. Leur importante quantité d'antioxydants serait utile pour limiter sa progression.
Cette maladie se déclare à l'âge adulte (moyenne à 59 ans en France) et va évoluer, en moyenne en 3 à 5 ans, vers la paralysie complète des muscles et conduire finalement au décès du patient, généralement par insuffisance respiratoire.
Qui peut être atteint ? C'est une maladie qui touche en majorité des personnes âgées de 40 à 60 ans, mais la SLA peut aussi apparaitre chez des patients plus jeunes ou plus âgés. De même, la maladie de Charcot touche aussi bien les hommes que les femmes, globalement à égalité (avec une très légère majorité d'hommes).
Le diagnostic est fait à l'aide de l'électromyogramme (EMG), d'une analyse génétique à partir d'une prise de sang (pour les formes de la maladie dont le gène est connu) et parfois à l'aide d'une biopsie nerveuse.
Egalement connue sous le nom de maladie de Charcot, la sclérose latérale amyotrophique (SLA) est une maladie dont on ne guérit pas aujourd'hui. Se déclarant à l'âge adulte (après 40 ans), elle évolue vers une paralysie progressive, puis complète, jusqu'au décès par arrêt des muscles de la respiration (1).
La fin de vie des patients atteints d'une SLA survient généralement en quelques années (3 à 5 ans, à partir du moment où le diagnostic est posé). Elle devient proche à partir du moment où les muscles en charge de la respiration cessent de fonctionner, entraînant une insuffisance respiratoire qui conduit au décès.
Les personnes atteintes de la SLA que ce soit sous une forme bulbaire ou spinale peuvent également souffrir de symptômes comme l'amaigrissement liée à des difficultés à se nourrir, une fatigue importante et des troubles du sommeil, des troubles de la circulation sanguine car la capacité à réaliser des mouvements est ...
Les symptômes neurologiques peuvent donc comprendre une faiblesse musculaire ou un manque de coordination, une sensibilité anormale de la peau et des troubles de la vision, du goût, de l'odeur et de l'ouïe.
Les causes de la maladie de Charcot, est-elle héréditaire ? 10% des cas de SLA sont d'origine génétique, contre 90% de cas sporadiques, c'est-à-dire sans cause identifiée.
Le problème étant que quand les patients se présentent aux cliniciens, leurs neurones moteurs sont déjà bien atteints, et ces molécules ne stoppent pas les mécanismes pathologiques conduisant à la mort des neurones.
Ces troubles de la coordination et de l'équilibre peuvent générer des chutes. Ils s'accompagnent parfois d'une fonte musculaire et d'une fatigue générale qui augmentent encore le risque d'accident.
Dans la SLA, l'atteinte des muscles inspiratoires et expiratoires retentit sur les trois phases de la toux : réduction des volumes et diminution de la force induisant l'effondrement du DEP à la toux. En cas d'atteinte bulbaire, la fermeture glottique n'est plus suffi- sante et aggrave le défaut d'efficacité de la toux.
La CMT est l'une des plus fréquentes maladies neurologiques héréditaires. Elle est aussi appelée " neuropathie périphérique héréditaire sensitive et motrice " pour la distinguer de la maladie de Charcot ou sclérose latérale amyotrophique (SLA).
1. Le stress. Le stress peut être utile ou nuisible pour le cerveau, cela dépend de son intensité et de sa durée. Il est bénéfique lorsque de courte durée et adapté, il stimule alors notre dynamisme et la prise de décision.
La maladie d'Alzheimer et autres démences sont les plus fréquentes des maladies neurodégénératives. Elles représentent une cause majeure de perte d'autonomie.
Comme la plupart des cellules, les neurones peuvent mourir de deux manières différentes : par nécrose ou par apoptose. La nécrose est produite par un traumatisme aigu, chimique ou mécanique. La cellule gonfle puis se détruit (lyse) et son contenu se disperse dans le milieu extracellulaire.
C'est l'un des pires ennemis modernes de la mémoire: la tentation de faire plusieurs choses en même temps. La mémorisation demande un effort pour lequel le cerveau doit être disponible. "Les capacités attentionnelles diminuent à partir de 50 ans, c'est physiologique, explique le Dr Boutoleau-Bretonnière.
Le syndrome de Hutchinson-Gilford, plus communément appelé progéria, est une maladie génétique rarissime, affectant une naissance sur 4 à 8 millions. Il est caractérisé par un vieillissement prématuré débutant dès la période néonatale.
Les personnes atteintes de syllogomanie (thésaurisation pathologique) ont toujours une telle difficulté à jeter ou à se séparer de leurs biens que les objets s'accumulent et encombrent les espaces de vie au point de les rendre invivables.
Maladies rhumatologiques : arthrose, hernie discale, sciatique, lombalgie, tendinite chronique, ostéoporose, scoliose… Maladies neurologiques et musculaires : sclérose en plaques, céphalées chroniques, épilepsie, maladie d'Alzheimer, démence, algie vasculaire de la face, accident vasculaire cérébral…