Parlez avec douceur à votre animal pour mieux vous faire comprendre : "viens", "assis", "calme", "vas chercher", "on joue ?", etc. En revanche, s'il se montre désobéissant, dites-lui "non" fermement, mais sans violence. Un index menaçant peut suffire à le faire obéir ou à souligner qu'il a mal agi.
Montrez-lui qu'il peut compter sur votre jugement et donnez-lui des ordres clairs dans chaque situation. Inutile d'être un « dictateur strict », mais soyez confiant, sûr de vous et surtout cohérent pour montrer à votre chien la bonne voie.
Elles sont d'ailleurs associées à l'animal de compagnie. Pour montrer votre affection à votre chien, il faut prendre le temps de le caresser et de le câliner chaque jour. Mais pour vraiment lui montrer que vous l'aimez et qu'il s'en rende compte, attardez-vous sur la zone des oreilles.
dire un “non” incisif à votre chien. Dès que votre chien détourne le regard, félicitez-le d'un ton joyeux avec un “ouiii !” et donnez-lui la friandise. Le but est que votre chien comprenne que renoncer c'est gagner. Cet exercice est à répéter, et surtout à compliquer petit à petit.
Ne vous imposez pas pour vous imposer mais observez votre chien et agissez aussi en fonction de lui et de son caractère. Vous devez en effet vous adapter l'un à l'autre pour une entente parfaite basée sur le respect. Mais encore une fois c'est à vous de prendre cette éducation en charge et de ne jamais laisser tomber !
Accompagnez vos ordres de mimiques faciales et de gestes adaptés. Le visuel est également essentiel pour le chien ! Ne criez pas inutilement pour lui donner un ordre simple. S'il s'agit de lui demander seulement de s'asseoir, dites-lui "assis" sans agressivité, mais avec une voix posée et ferme.
Pour débuter l'entraînement du rappel, le plus simple est de choisir un mot. Ce mot va vouloir dire à votre chien « Viens ici, près de moi ». Un mot est préférable à un geste, car votre chien ne vous aura pas tout le temps à vue. Utilisez toujours le même mot pour ne pas confondre votre chien : viens, ici, devant…
Marchez à côté de votre chien attaché et immobilisez-vous en disant "stop" ou "halte". Faites en sorte de donner l'ordre juste avant qu'il ne soit freiné par la laisse ; Votre chien ne comprendra peut-être pas immédiatement ce qui est attendu de lui et continuera à marcher.
Lorsque vous parlez à votre chien, vous êtes persuadés qu'il a tout compris ? Vous avez bien raison ! Une étude hongroise publiée dans la revue américaine Science (29/08/2016) démontre que le cerveau des chiens prête attention à la fois à ce que nous disons et à la manière dont nous le disons.
Nous témoignons notre tendresse envers un autre humain de cette façon, alors nous agissons de même avec notre animal de compagnie. Il est vrai que beaucoup de chiens apprécient les câlins et adorent recevoir des bisous sur le museau ou sur la tête.
Les spécialistes sont catégoriques : oui, les chiens peuvent ressentir la peur de leur maître. Mais pas seulement ! Ils sont capables de reconnaître nombre d'émotions comme le stress ou la tristesse.
Les règles d'or d'une punition juste et intelligente
La première règle à respecter repose sur un principe simple et indiscutable : le chien doit être puni dans le moment présent, c'est-à-dire si et seulement si vous le prenez en flagrant délit !
D'autres races sont réputées pour leur calme et leur aptitude à affronter la solitude telles que l'épagneul tibétain, le Pékinois, le Spitz japonais, le Welsh Corgi, le Chihuahua ou encore le Yorkshire terrier.
Ne vous dites pas « si mon chien n'obéit pas et ignore chaque « assis », « reste » et « au pied », c'est simplement parce qu'il est têtu ». Même si c'est difficile à entendre, sachez que le manque d'obéissance du chien vient uniquement du comportement du maître et d'une mauvaise éducation.
En utilisant le "non" en punition positive, ce mot devient "pourri", brûlé, annonçant une très mauvaise conséquence. En plus, ce "non" fait en sorte que notre chien n'apprend rien quand il l'entend, sauf avoir peur de ce que son humain va faire. Cela ne lui donne aucun indice sur ce que l'humain veut qu'il fasse.
Également, pensez à associer l'endroit à un mot, par exemple le mot « terrain » et renforcez-le chaque fois qu'il y est et que vous dites le mot. Si votre chien vient vers vous, assurez-vous de le récompenser avant que ses pattes ne sortent du terrain. De cette façon, il sera « encouragé » de rester dans les limites.
Dites-lui un « non » ferme ou encore « arrête ! », « pas sauter », « stop ! », etc. Le terme doit être court et précis ; choisissez-le une bonne fois pour toutes et n'en changez plus afin que votre chien ne soit pas perdu. Prononcez cet ordre de manière claire avec un geste de l'index.
Vous pouvez donc utiliser les mots que vous voulez et la langue que vous préférez. Il est vrai néanmoins que les langues à sonorités courtes ou dites gutturales (allemand, russe, danois) sont plus efficaces que les langues chantantes et longues telles que l'italien ou l'espagnol.
Si vous dites son nom, en attendant son retour, il se contentera d'attendre un signe ou un ordre de votre part. Donc le mieux, pour que votre chien comprenne qu'il doit revenir est de dire son nom suivi d'un ordre court et précis : “Max, viens !” ou “Max, ici !”.
Au total, dix mots ou phrases ont été reconnus spécifiquement par plus de 90 % des chiens. Ces derniers comprennent le nom du chien, ainsi que « assis », « bonne fille/bon garçon », « viens », « couché », « attends », « non », « oui », « reste » ou encore « laisse ».
Les excréments de ses animaux, considérés comme des « déchets putrescibles » peuvent être éliminés avec les ordures ménagères. Bien évidemment, ces déchets doivent être mis dans un sac poubelle étanche et résistant pour faciliter le travail du collecteur.
Astuce pour apprendre à être ferme sans crier
Plus vous serez vous-même convaincu du résultat de l'ordre que vous donnez (en anticipant ce résultat de façon positive), mieux votre chien captera votre intention et fera ce que vous lui demandez. Bien souvent crier signifie une perte de ses propres moyens.