Trois voies d'abord peuvent être utilisées : en ouvrant l'abdomen (« laparotomie ») par cœlioscopie et par le vagin (« voie vaginale »). Les voies les plus utilisées sont la voie vaginale et la voie cœlioscopique. On peut utiliser dans certains cas des prothèses.
Même si elle peut paraître impressionnante, la descente d'organes n'est pas dangereuse pour la santé de la femme. Cependant, il est évident que cette problématique peut avoir un impact important sur la qualité de vie. En effet, les symptômes du prolapsus (incontinence, constipation, sensation de lourdeur, etc.)
La rééducation périnéale, par un kinésithérapeute rééducateur, après un accouchement est une règle de base pour éviter une descente de vessie. En effet, cela permet de renforcer, grâce à des exercices, les muscles du plancher pelvien qui soutiennent la vessie et les autres organes.
L'intervention a lieu sous anesthésie générale ou sous rachianesthésie. Cette chirurgie consiste à renforcer le plancher pelvien et à fixer le fond du vagin sur les ligaments pelviens. "On ne peut désormais plus utiliser de prothèses par les voies naturelles en France.
La durée de vie de la bandelette est en effet illimitée mais il peut survenir dans de rares cas des récidives à distance. Cette réponse ne remplace pas le diagnostic de votre médecin.
Il s'agit d'une descente de la vessie dans le vagin, la paroi du vagin s'étire pour laisser la place à la vessie. Les principaux symptômes sont : impression de masse ou de pression dans le vagin, sensation d'irritation dans le vagin, impression de ne pas bien vider sa vessie.
Pour protéger votre périnée, vous pouvez également pratiquer des sports exerçant peu de pression sur le plancher pelvien comme la marche nordique, la natation, le vélo, le golf ou le pilates.
Heureusement, le port du pessaire et la rééducation permettent d'atténuer ou de faire disparaître les symptômes liés au prolapsus qui affectent la vie intime. Certains modèles de pessaires permettent d'avoir des rapports sexuels tout en les gardant en place, sans gêne.
Commencez par chercher à contrôler vos besoins. Un petit exercice peut vous aider : À chaque fois qu'une envie d'uriner se fait ressentir, détendez-vous afin de calmer votre vessie. La première semaine, essayez d'attendre une minute avant d'aller aux toilettes.
Pour les prolapsus débutants
Si la descente d'organes n'est pas apparente, un traitement associant rééducation du périnée, médication par oestrogènes et hygiène de vie sera souvent suffisant.
L'utilisation d'un pessaire
Il existe différentes tailles et formes de pessaires (pessaires en forme de cubes ou plus généralement en forme d'anneau). Le pessaire est inséré au fond du vagin. Une fois placé dans le vagin, il permet de maintenir les organes et de limiter ainsi la gêne fonctionnelle du prolapsus.
La première, appelée rectopexie, consiste à remonter le rectum et à le fixer sur le sacrum (os du bassin) à l'aide de bandelettes synthétiques. Cette intervention est réalisée le plus souvent, par cœlioscopie à l'aide de 4 petits incisions sans grande ouverture du ventre. Cette intervention dure 1 heure.
Les urologues, les gynécologues et les colo-proctologues sont tous amené à prendre en charge des femmes qui ont des problème de prolapsus génital. La chirurgie est le mode de traitement le plus courant des prolapsus génitaux.
Une sensation de lourdeur ou de douleur dans le bas ventre ; Une boule au niveau de la vulve, en position debout, à l'effort ou accroupie ; Une gêne ou une douleur pendant les rapports sexuels, des saignements après les rapports ; Des troubles de la défécation ou une incontinence anale.
Pour confirmer le diagnostic de prolapsus et mesurer son importance, le médecin procède à un examen gynécologique. Il met en place un spéculum , visualise le col utérin, fait un frottis cervical de dépistage, si nécessaire.
Le symptôme principal quasi constant est la sensation d'une boule vaginale ou d'une pesanteur apparaissant en position debout, augmentée par les efforts et disparaissant en position allongée. La boule devient palpable lors des toilettes puis visible lorsqu'elle s'extériorise au-delà de l'orifice vulvaire.
On appelle « prolapsus » la descente d'un ou de plusieurs organes du bassin vers l'entrée vaginale. Ces organes peuvent être la vessie, le vagin, l'utérus ou encore le rectum. Ce phénomène est dû au relâchement ou à l'endommagement des structures (ligament, muscles du plancher pelvien, etc.)
Sport le plus simple à réaliser, la marche est particulièrement recommandée dans la rééducation du périnée. En effet, à chaque pas, les muscles des jambes, du dos, et du bassin sont sollicités.
Au moment de l'expiration, contracter votre anus comme si vous souhaitiez retenir votre urine et/ou un gaz. Si vous contractez les trois sphincters (anus, muscles du vagin, méat urinaire) ensemble, c'est encore mieux. Maintenez la contraction pendant 3 secondes pour commencer. Puis relacher 5 secondes.
Le pessaire est un dispositif médical de plus en plus proposé par les médecins, sages-femmes ou kinésithérapeutes pour soulager les troubles liés à la descente d'organe. Le pessaire est fabriqué en silicone et existe sous plusieurs formes : cube, anneau, anneau épais, etc.
Trois voies d'abord peuvent être utilisées : en ouvrant l'abdomen (« laparotomie ») par cœlioscopie et par le vagin (« voie vaginale »). Les voies les plus utilisées sont la voie vaginale et la voie cœlioscopique. On peut utiliser dans certains cas des prothèses.
C'est le chirurgien qui, en fonction de la pathologie de la patiente et de ses habitudes de pose, posera la bandelette la mieux adaptée. Il faut savoir que la pose de bandelette n'est pas une solution standard qui convient à toutes les femmes souffrant d'incontinence urinaire.
le surpoids et l'obésité ; la constipation chronique ; la toux chronique ; la prise de certains médicaments, surtout si la personne en prend plusieurs (par exemple des diurétiques , des sédatifs ...)