Pour faire face à nos émotions perturbatrices, nous pouvons avoir recours à plusieurs moyens : l'exercice physique, la relaxation, le yoga, la méditation zen... Bref, les outils ne manquent pas ! Mais, nous avons souvent besoin de réagir sur le coup d'une émotion.
Si tu ressens que tu as des difficultés à lâcher prise, c'est que tu as de la peine à accepter les choses telles qu'elles sont. Autrement dit, la situation génère chez toi des émotions désagréables que tu n'as pas envie ou que tu n'es pas en mesure d'accueillir. Ton ressenti peut t'effrayer pour plusieurs raisons.
Pour le mental, l'angoisse, le stress ou la culpabilité sont de vrais empêcheurs de tourner en rond. Pour les vaincre, on peut s'adonner à la méditation ou à la sophrologie, qui permettent de canaliser les pensées et de se détendre physiquement et mentalement.
La thérapie EMDR peut vous aider à chasser vos pensées obsessionnelles et à redéfinir vos priorités. En combinant des exercices de visualisation et des séries de mouvements oculaires avec l'encadrement de votre praticienne EMDR à Nice, vous parviendrez petit à petit à lâcher prise.
Accepter la situation, c'est d'abord conscientiser et accueillir qu'on est dans la résistance. Ensuite, on avance vers l'acceptation par l'accueil des émotions souffrante déclenchée par cette réalité.
On en oublie de vivre l'instant, et on ne profite plus de rien ! Inutile de se morfondre sur des regrets ou d'angoisser à propos du lendemain. Vivre le moment présent, c'est s'investir dans sa propre vie et s'ouvrir aux plaisirs quotidiens. Lâcher prise, c'est aussi apprendre à déléguer, à se décharger sur les autres.
La colère lèse le foie. Il est l'organe en relation avec la colère. Lorsque l'énergie du foie est faible, il y a des colères fréquentes. Lorsque l'énergie des Reins est faibles, l'énergie du foie peut s'affaiblir, il y a plus de colères, on parle de montée de l'énergie yang du foie.
«Blocage émotionnel» est un terme couramment utilisé dans l'espace du développement personnel, mais que signifie-t-il réellement ? L'expression peut être définie comme des blessures émotionnelles refoulées ou non cicatrisées subies par des expériences de vie antérieures.
La vie n'exige pas de nous des efforts permanents au maximum de nos forces. La vie nous porte naturellement vers la réalisation de nos objectifs. Pour faire et ainsi se réaliser, il suffit le plus souvent de laisser faire les choses à leur rythme et d'accompagner, avec douceur, ce flux de la vie en nous.
Arrêter de souhaiter que les choses soient comme elles étaient autrefois. Plongez-vous dans le moment présent. C'est là que la vie se passe. Vous ne pouvez pas changer le passé; vous ne pouvez prendre des décisions qu'aujourd'hui pour définir votre avenir.
S'accrocher à quelqu'un ou à une idée serait un peu notre cocon, cela procurerait un sentiment de sécurité face à l'inconnu, à la peur du nouveau.
Prenez du temps pour vous éloigner de l'autre personne.
Demandez-lui simplement de vous donner un peu de temps pour faire passer les sentiments qui vous assaillent. Si la personne se sent vraiment concernée par vous, elle vous accordera ce dont vous avez besoin, même si ce n'est pas une expérience des plus agréables.
Parce qu'on n'a pas appris à être heureux, à avoir confiance en soi, à gérer ses émotions et à gérer son stress et son anxiété. Parce qu'on n'a pas appris à se fixer et à atteindre des objectifs de coeur, à être et rester motivés.
Accrochez cette déclaration quelque part où vous pouvez la voir. « M'aimer et avoir de l'estime pour moi-même signifie lâcher prise. » Remplacez vos pensées émotionnelles par des faits. Lorsque vous pensez, « je ne me sentirai jamais à nouveau aimé ! » ne résistez pas à ce sentiment.
Pour retrouver votre bien-être, pratiquez une activité au grand air (vélo, marche…) : le soleil améliore l'humeur et dynamise. Veillez à respirer profondément quelques minutes par jour et mettez-vous à la relaxation. L'alimentation n'est pas à négliger.
Selon la psychologue clinicienne, les anxieux le deviennent à la suite d'événements traumatiques ou encore à cause d'“un environnement insécurisant, instable, violent.” C'est le cas, par exemple, des enfants témoins ou victimes de violences.