Encore peu développée en France, la thérapie EMDR aide le cerveau à mieux digérer les traumatismes psychiques en associant des techniques de visualisations mentales et des stimuli sensoriels bi-alternés.
Première étape quand on subit une blessure émotionnelle ? Recollez rapidement les morceaux. Si on attend, “que l'on cache les morceaux” dans un tiroir, on risque de les abimer ou d'en perdre un : pour ne pas se laisser aller dans la torpeur et la douleur, il faut tout recoller, le plus tôt possible.
Aller mieux grâce à l'hypnose de régression
observer et à analyser votre comportement avec les autres, ce qui vous permet de fuir les relations toxiques ; vous comprendre: vous devenez honnête avec vous-même et à l'écoute de vos envies ou besoins ; vous affirmer, grâce à une confiance en soi retrouvée.
Les blessures de l'enfance ont le goût du rejet, de l'abandon, de l'humiliation, de l'abus, de la trahison, de l'injustice, de la détresse, de la non-reconnaissance, de la carence affective, de la maltraitance physique, verbale ou par défaut de soins.
Détoxifier son corps
Ainsi, faire du sport permet de sécréter des endorphines, nous procurant un sentiment de bien-être, avoir une alimentation riche en fruits et légumes permet de réguler l'humeur et dormir suffisamment réduit les risques de dépression.
La cause la plus fréquente de blessure est un entraînement inadéquat – par exemple, ne pas accorder aux muscles assez de temps pour récupérer après une séance d'exercice (ils ont besoin de 48 heures de repos), augmenter l'intensité trop rapidement et ne pas s'arrêter lorsque la douleur s'accroît pendant l'exercice.
"Sans prise en charge, cet état peut devenir chronique et se compliquer par l'apparition d'autres pathologies comme des troubles de l'humeur, une dépression, des modifications de la personnalité, l'alcoolisme ou la toxicomanie", précise le spécialiste.
La colère lèse le foie. Il est l'organe en relation avec la colère. Lorsque l'énergie du foie est faible, il y a des colères fréquentes. Lorsque l'énergie des Reins est faibles, l'énergie du foie peut s'affaiblir, il y a plus de colères, on parle de montée de l'énergie yang du foie.
Le stress émotionnel, comme celui provoqué par les émotions bloquées, n'est pas seulement lié aux troubles mentaux, mais aussi à des problèmes physiques comme les maladies cardiaques, les troubles intestinaux, les maux de tête, l'insomnie et les troubles auto-immunes.
Le rejet peut correspondre à une opposition, un mépris, une exclusion, une mise à l'écart, un refus, un déni, un dédain, un licenciement, une rupture amicale ou amoureuse... "Il s'agit souvent d'une blessure refoulée et donc inconsciente qui se réactive dans le présent, en écho avec le passé.
Refouler, s'en accommoder ou faire comme si elles n'avaient jamais existé... Lorsqu'elles sont ignorées, les blessures du passé peuvent réapparaitre sans prévenir. Brian a perdu son emploi il y a peu de temps et les souvenirs de maltraitance durant son enfance refont surface.
Si vous êtes sensible à la colère ou au comportement des autres, comme boire trop, exprimez-le et dites-lui ce dont vous avez besoin, fixez des limites. Encore une fois, en s'affirmant, vous faites maintenant en tant qu'adulte ce que vous ne pourriez pas pu faire en tant qu'enfant.
C'est pourquoi une blessure = un masque. Ce masque est finalement le produit de notre égo et de ses mécanismes de défense. Ainsi, la personne qui souffre de la blessure de l'abandon porte le masque du dépendant. Elle a du mal à fonctionner seule et a besoin qu'on s'occupe d'elle…
A chaque blessure correspond un masque : Ainsi, le rejet adopte le masque du fuyant : il peut fuir les relations, il peut fuir dans l'imaginaire, les conduites à risques. Il peut même se fuir lui-même.
Signe 1 : les comportements évitants
Dans la vie adulte, un signe manifeste de la blessure de rejet est la mise en place de comportements évitants ou fuyants par la personne. Elle a en effet tellement peur d'être rejetée qu'elle refuse de rentrer en relation et de s'attacher à quelqu'un.
Les expériences traumatiques de l'enfance (ACEs) – qui incluent : maltraitances émotionnelle et physiques ; humiliation verbale ; abus sexuels; présence d'un membre de la famille sous addiction ou malade mental ; abandon parental, divorce, perte, décès, emprisonnement - peuvent endommager le cerveau en cours de ...
avoir le sentiment de ne plus vouloir ou de ne plus pouvoir vivre. épisodes répétés de violence physique ou sexuelle. sentiment de haine envers soi-même ou faible estime de soi. craindre les gens et les relations avec les autres.
L'idée est d'amener la personne à prendre conscience qu'elle est une victime, pour mieux apaiser ses sentiments de culpabilité et de honte. "Le rôle du thérapeute est d'aider à prendre du recul sur ce qui s'est passé et de montrer que c'est au parent, et non, à l'enfant d'endosser la responsabilité de la maltraitance."