Le complexe d'infériorité est un sentiment qui touche de nombreuses personnes de nos jours. Il se manifeste par un sentiment de ne jamais être à la hauteur, quelle que soit la situation. Cette manifestation est souvent liée à de mauvaises expériences vécues par le passé. La société elle-même peut être en case.
En psychologie et psychiatrie, le complexe de supériorité est un trouble de la personnalité qui masque en en fait un complexe d'infériorité, et se manifeste par le mépris des autres, la recherche de la domination, et une agressivité exacerbée.
Souvent, il est difficile de trouver exactement les causes du complexe d'infériorité ; elles peuvent inclure le sexe, l'ethnie, l'orientation sexuelle, les cas familiaux, le statut social, la santé mentale, l'apparence physique, ou autres traits de caractère dont l'individu croit manquer dans sa vie.
On utilise les signes > et <, pour comparer des chiffres ou des nombres. Le signe > signifie que le nombre situé à gauche de > est plus grand (ou supérieur) que celui situé à droite de >. Le signe < signifie que le nombre situé à gauche de < est plus petit (ou inférieur) que celui situé à droite de <.
Le complexe d'infériorité, c'est le fait de se focaliser sur un point de sa personnalité ou de son corps que l'on considère comme un défaut et qui nous fait nous sentir inférieur aux autres. Ce défaut peut être réel mais il peut aussi être le fruit de votre interprétation voire même totalement imaginé.
Pourquoi suis-je anxieuse ? L'origine de l'anxiété peut être très difficile à cerner. Chaque personne est bien sûr différente et ce qui peut provoquer ce sentiment dépressif chez l'une ne va pas forcément être la raison pour laquelle une autre personne se sent anxieuse.
Certains se sentent décalés parce qu'ils ont du mal à écouter et à comprendre ce que l'autre ressent. Ce manque d'empathie peut avoir une double origine. « Il peut venir du fait que, enfants, leurs émotions n'ont pas été écoutées, si bien qu'ils n'ont pas appris à le faire à leur tour, explique le psychiatre.
On dit d'une personne qu'elle est complexée lorsqu'elle est focalisée sur certains de ses défauts, réels ou imaginaires, et que cela entraîne un sentiment d'infériorité. La personne complexée a donc une perception déformée d'elle-même.
Comme souligné par l'équipe belge, la thèse de l'orgueil est la comparaison favorable et explicite de soi par rapport aux autres. Cela amène les autres à croire que l'on a une attitude désobligeante à leur égard, car on les laisse penser qu'on se sent supérieur.
Certaines personnes utilisent l'ironie et la moquerie pour se créer un cercle relationnel basé sur la crainte, se donnant une image de force. Souvent cette attitude de « persécuteur » devient pathologique se traduisant par de la manipulation relationnelle.
L'axe de la thérapie va consister à dire à ces personnes qu'elles ont de la valeur même quand elles n'affichent pas leur supériorité. "On leur apprend à ne pas faire dépendre leur valeur du fait d'être supérieur aux autres et on leur fait comprendre que chaque individu a sa valeur propre" explique le Dr Fanget.
Certains se sentent décalés parce qu'ils ont du mal à écouter et à comprendre ce que l'autre ressent. Ce manque d'empathie peut avoir une double origine. « Il peut venir du fait que, enfants, leurs émotions n'ont pas été écoutées, si bien qu'ils n'ont pas appris à le faire à leur tour, explique le psychiatre.
Et parfois, ce manque d'estime peut être inconscient. Le manque d'estime de soi trouve généralement sa source dans l'enfance. Vous pourriez avoir été rabaissé par un de vos parents pendant votre enfance. Vous pourriez avoir ressenti un manque d'estime de leur part, alors même qu'ils vous aimaient.
Les complexes sont liés à des pressions et des erreurs de la part de l'environnement familial qui a plus ou moins consciemment imposé un modèle de perfection à l'enfant. Les complexes sont fortement associés à l'estime de soi. D'autre part, ils naissent des comparaisons.
Aurore Issartel : il y aurait beaucoup à dire, mais en quelques mots : cette idée que personne ne nous aime vient tout droit d'une estime de soi malmenée, et aussi d'une trop grande dépendance vis-à-vis du regard des autres.
Se sentir en permanence en colère peut également être le signe d'un mal être que l'on ne reconnait pas ou que l'on ne veut pas reconnaitre. Comme il faut bien que cela s'exprime à un moment, cela passe par une émotion vive et forte.
Causes. Le trouble de dépersonnalisation/déréalisation apparaît souvent chez des personnes qui ont connu un stress sévère, notamment : Une maltraitance affective ou une négligence au cours de l'enfance. Une maltraitance physique.
le complexe de culpabilité : il se manifeste par le sentiment d'être en permanence fautif, de n'être pas en règle, le complexe d'infériorité : il s'agit d'une peur exagérée d'être ridicule, d'être l'objet de dérision, de ne pas se sentir à la hauteur avec une forte tendance à l'auto dévalorisation.
Les complexes proviennent très souvent d'un sentiment d'infériorité par rapport à tel ou tel défaut ou manque, qu'il soit réel ou imaginaire. On a tendance alors à se focaliser sur ce complexe qu'il soit un défaut physique ou intellectuel ou lié à l'argent… et à ne plus pouvoir penser à autre chose.
Il ne faut pas se replier sur soi, mais regarder les autres, leur parler, pour comprendre comment ils fonctionnent avec leurs imperfections. Une personne complexée est orgueilleuse : elle ne croit pas les avis extérieurs, est persuadée qu'elle a raison. Il faut changer d'attitude et écouter ce qu'on nous dit.