La taille du pommier se fait en général en début d'hiver mais courre jusqu'en février (hors période de gel), dans le but de favoriser la fructification. Plus vous taillerez tard, mieux vous reconnaitrez les bourgeons qui donneront des fleurs car ils gonflent déjà.
Supprimez les branches qui se croisent pour ne garder que les principales et les plus vigoureuses. Vous formerez ainsi la silhouette de l'arbre. Coupez au dessus d'un oeil (un bourgeon) tourné vers l'extérieur, à environ 60 cm du haut du du tronc. Cette opération favorisera le développement de votre fruitier.
C'est en hiver et en été que se taillent les pommiers, lorsque la Lune est descendante. La taille d'hiver est une taille qui permet d'aérer le sujet, de le structurer et de le former. La taille d'été, elle, a surtout pour but d'inciter le pommier à former le plus de boutons à fleurs au printemps suivant.
Si vous le jugez trop grand, réduisez les branches les plus hautes, en coupant au niveau d'une ramification vigoureuse, tout en préservant la forme et l'équilibre naturel du fruitier. Les branches trop basses seront également supprimées, afin que la base du houppier soit régulière.
Quand tailler les pommiers ? La taille du pommier se fait en général en début d'hiver mais courre jusqu'en février (hors période de gel), dans le but de favoriser la fructification. Plus vous taillerez tard, mieux vous reconnaitrez les bourgeons qui donneront des fleurs car ils gonflent déjà.
Pour étêter un arbre, taillez avec un sécateur bien affûté et désinfecté le tronc de l'arbre en pratiquant une coupe en biais pour faciliter l'écoulement de l'eau de pluie : à 0,5-1 cm au-dessus d'un bourgeon ; ou bien au ras d'une ramification.
Il faut attendre au moins 5 ans avant d'obtenir les premiers fruits. Mais l'inconvénient majeur vient de la hauteur de l'arbre : comptez 8 mètres pour un pommier, 10 à 15 m pour un poirier ou un cerisier.
Il convient tout d'abord de réaliser une coupe oblique à 45° du côté où il doit tomber, approximativement sur le tiers de la section du tronc, à 30 cm de hauteur. Puis tronçonner l'arbre à l'horizontale, former le pivot de chute de l'arbre, effectuer le trait d'abattage et abattre l'arbre.
La deuxième règle d'Hubert le Jardinier : lorsque l'on coupe les branches de son pommier, il est préférable de s'y prendre à deux fois afin d'éviter les déchirures. Tailler une première fois à 20 cm et puis couper plus près du tronc de la charpentière. Il est préférable de couper les branches descendantes du pommier.
Tout au long de la belle saison, les pommiers émettent des gourmands, des pousses verticales, trop vigoureuses pour être fructifères. Sectionnez-les à leur base, peu après l'éclaircissage. Cette taille en vert, qui cicatrise rapidement, sert à faire pénétrer l'air et la lumière au cœur du pommier.
Afin de stimuler l'apparition de belles et nombreuses pommes, il est important de faire une taille de fructification avant la reprise de la végétation. La taille de votre pommier aura donc lieu à la fin de l'hiver, mais hors période de gel. L'apport d'engrais pour fruitier au printemps améliore la productivité.
La période idéale pour la taille d'un pommier s'étend de février à mars. Commencez par tailler les branches qui s'entrecroisent et notamment au cœur de l'arbre afin de l'aérer. Ensuite, coupez les branches descendantes.
Pour rajeunir un vieil arbre fruitier, vous aurez besoin de deux outils de jardinage. La scie à main permet de retirer les vieilles branches charpentières et particulièrement robustes. Le sécateur, quant à lui, sert à retirer le bois mort et les éléments fanés faciles à supprimer.
Vous pouvez tailler vos pommiers, poiriers et même cognassiers tout l'hiver, en dehors des périodes de gelées : - Les tailles de formation et de rajeunissement peuvent se pratiquer de novembre à mars, - Les tailles fruitières, permettant d'optimiser la production de fruits, s'opèrent plus souvent en février-mars.
Certains jardiniers préconisent de procéder à une taille juste avant le printemps, entre février et mars, pour les arbres à pépins. Procédez après la chute des feuilles et avant l'apparition des bourgeons floraux. Pour les fruitiers à noyaux, mieux vaut procéder en automne, entre fin octobre et début novembre.
Quand on coupe la tête d'un arbre, on supprime la dominance apicale, autrement dit l'acheminement de la sève en priorité vers le bourgeon terminal. Ce dernier détermine l'architecture et la hauteur de l'arbre. L'arbre a une hauteur et un volume déterminé propre à sa station de plantation.
Vous couperez la branche juste avant un bourgeon situé vers l'extérieur, de manière à guider correctement sa future pousse. Pensez à dégager le centre de l'arbre de manière à laisser pénétrer la lumière. Coupez essentiellement les branches dangereuses ou mal-orientées, et toutes celles qui peuvent vous déranger.
Raccourcissez la longueur des branches charpentières à 25 cm (prenez en repère la longueur du sécateur). Taillez alors au-dessus d'un œil pointant vers l'extérieur, pour privilégier une croissance bien droite de la branche principale. Taillez les branches latérales au-dessus du 3e bourgeon ou œil.
Parmi les meilleures variétés de pommiers vous trouverez le pommier Gala ! Il s'agit de la deuxième variété la plus cultivée en France. Ses fruits très sucrés arborent une couleur rouge vif ponctuée de points orangés. La variété gala est une valeur sûre.
Qu'est-ce qu'une demi-tige ? Chez les arbres fruitiers, la demi-tige désigne un arbre de 3-4 ans minimum de culture qui a été taillé, parfois greffé deux fois, pour lui donner sa forme. C'est un peu le grand adolescent dont l'enfance est passée mais qui n'est pas tout à fait adulte.
Paillage : pour protéger les arbres fruitiers toute l'année, en particulier l'hiver (contre le gel) et l'été (contre la sécheresse), on utilise des paillages faciles comme le chanvre, le mulch ou les feuilles mortes. On le renouvelle tous les ans pour qu'il garde son efficacité.
Lorsque la hauteur de la plantation est inférieure ou égale à 2 mètres, la distance minimum à respecter en limite de propriété voisine est de 0,5 mètre. Lorsque la hauteur de la plantation est supérieure à 2 mètres, la distance minimum à respecter en limite de propriété voisine est de 2 mètres.
Le prix d'un élagage est de 150€ en moyenne, avec une fourchette comprise entre 70€ et 350€. Plus spécifiquement, on estime que le tarif d'un élagage va de 70€ à 115€ pour un arbre de moins de 5m, de 115€ à 150€ pour un végétal de 10 à 15m et de 275€ à 350€ pour une hauteur de 15 à 20m.