Vous parlez d'anxiété, de stress, de ruminations (les pensées qui tournent en boucle dans la tête sans trouver de réponse). Ce sont des éléments qui sont très souvent associés à une perte de motivation, avec un "pas envie". La question est donc de savoir quelles sont ces pensées, ainsi que les émotions associées.
De la fatigue accumulée, le changement de saison, des périodes stressantes, des changements qui demandent beaucoup d'adaptation ou de flexibilité… Les raisons peuvent être aussi variées que nombreuses. On se sent dépassée, désintéressée et on ressasse souvent les mêmes idées négatives ou dévalorisantes.
Il peut s'agir d'une déprime ou bien d'une dépression. La première est un mal-être passager ; la seconde est une maladie qui nécessite une prise en charge médicale et psychothérapeutique.
En effet, si l'ennui s'accompagne de tristesse, d'envie de pleurer, de dormir, de fuir les autres et qu'en plus il a tendance à occuper la majeure partie de vos journées, c'est peut-être le signe qu'un mal être plus important s'installe de façon insidieuse.
Axes à privilégier. Faites le point sur ce qui est vraiment important pour vous ; ce qui vous fait vraiment plaisir. A la vue de la situation, quel est votre objectif final, quels sont les éventuels objectifs intermédiaires, les chemins qui peuvent être pris ? Sur quoi pouvez-vous agir, qui dépend de vous ?
La motivation est, dans un organisme vivant, la composante ou le processus qui règle son engagement pour une activité précise. Elle en détermine le déclenchement dans une certaine direction avec l'intensité souhaitée et en assure la prolongation jusqu'à l'aboutissement ou l'interruption.
Parce qu'on n'a pas appris à être heureux, à avoir confiance en soi, à gérer ses émotions et à gérer son stress et son anxiété. Parce qu'on n'a pas appris à se fixer et à atteindre des objectifs de coeur, à être et rester motivés.
adjectif. Qui persévère ; qui a de la persévérance. ➙ obstiné, opiniâtre, patient.
la consommation de drogues ou d'alcool ; l'isolement social et la solitude ; l'inactivité ou la procrastination ; ou encore une diminution de l'appétit.
Pour retrouver votre bien-être, pratiquez une activité au grand air (vélo, marche…) : le soleil améliore l'humeur et dynamise. Veillez à respirer profondément quelques minutes par jour et mettez-vous à la relaxation. L'alimentation n'est pas à négliger.
Si vous ressentez un vide lorsque vous êtes seul, c'est un signe que vous perdez votre individualité et que vous dépendez des autres pour faire et ressentir. Cela peut nuire à votre estime de soi et à votre sécurité personnelle.
Proposez-lui de faire des activités seul (e) ensemble, sans insister. Écoutez-le, même si son discours est toujours le même. Offrez-lui de petites attentions. Valorisez ses efforts même si cela vous paraît minime et soulignez les améliorations de son état.
Mais rester enfermé entre quatre murs 24h/24 risque d'augmenter les niveaux d'anxiété et les troubles du sommeil, rappellent les spécialistes. En cause, le manque de lumière naturelle, essentielle pour réguler notre horloge biologique responsable, entre autres, de l'appétit, de l'humeur et du sommeil.
Causes. L'aboulie est un trouble le plus souvent associé à des maladies psychiatriques : dépression, schizophrénie... La toxicomanie peut également être une cause d'aboulie, tout comme des maladies : un syndrome de fatigue chronique, un burn-out ou la narcolepsie.
Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
Qu'est-ce que la dépression souriante ? Une dépression souriante, par définition, est une dépression qui est imperceptible pour votre entourage parce que vous semblez heureux. Toutefois, elle peut être très douloureuse car vous souffrez intérieurement en luttant pour cacher vos symptômes dépressifs.