La prime doit être versée entre le 1er juillet 2022 et 31 décembre 2023. Elle peut faire l'objet d'une avance, mais le solde doit être payé au plus tard à cette date. La prime peut être versée en une ou plusieurs fois, avec un maximum d'un versement par trimestre.
La mise en place de la prime doit faire l'objet d'un accord d'entreprise ou de groupe conclu selon l'une des modalités suivantes : par convention ou accord collectif. par accord entre l'employeur et les représentants d'organisations syndicales représentatives dans l'entreprise.
Qui peut toucher la prime Macron? La prime de partage de la valeur peut être versée aux salariés des entreprises : de droit privé, y compris les travailleurs indépendants (artisans, commerçants, exploitants agricoles, professions libérales), les mutuelles, les associations ou les fondations, les syndicats, etc.
Le montant de 3 000 euros est le montant maximal ouvrant droit à une exonération fiscale et sociale totale en 2023. Tous les salariés peuvent donc avoir droit à ce montant, si leur employeur décide de leur verser.
La prime Macron peut être versée en une ou plusieurs fois (dans la limite d'une fois par trimestre) et ne doit pas se substituer à un autre élément de rémunération comme le 13e mois, la prime de Noël, ou une augmentation de salaire.
Mon employeur refuse de me verser la prime Macron car il part du fait qu'il a proratisé cette prime ,à savoir,le personnel ayant moins de 970h ne sont pas éligibles à la prime (nouvellement embauché je n'ai que 500h environ ).
A condition que toutes ces conditions soient respectées, la prime « Macron » versée par l'employeur est exonérée de cotisations sociales, de CSG/CRDS et d'impôt sur le revenu.
Le versement de la prime exceptionnelle doit donc obligatoirement apparaître sur une ligne - si possible spécifique en raison des exonérations associées - du bulletin de paie du mois du versement et le total net versé (salaire + prime) doit correspondre au total de la rémunération figurant sur le bulletin de paie.
Elle permet aux employeurs de verser à leurs salariés une prime, tout en bénéficiant de conditions avantageuses. En effet, cette prime est exonérée - sous conditions - de cotisations et contributions sociales. Cette prime remplace la prime exceptionnelle de pouvoir d'achat, dite également « prime Macron ».
Depuis le 1er juillet 2022, les employeurs peuvent verser à leurs salariés une prime de partage de la valeur exonérée de cotisations et contributions sociales dans la limite de 3 000 €, et jusqu'à 6 000 € pour les entreprises ayant mis en place un dispositif d'intéressement ou de participation. Pour en savoir plus.
Les agents de la fonction publique percevant un salaire inférieur à 3 250 euros brut par mois peuvent toucher une prime de pouvoir d'achat avant la fin de l'année 2023. Le décret relatif à la création de coup de pouce a été publié au Journal officiel du 1er août 2023.
A l'opposé, le montant de 300 euros sera attribué à une personne ayant un revenu brut compris entre 2 800 et 3 250 euros bruts par mois. Si certains agents de la fonction publique n'ont pas travaillé sur l'ensemble de la période, la prime leur sera versée au prorata du nombre de mois sous contrat.
Le traitement social et fiscal de la prime Macron en 2023
Le seuil passe de 3.000 euros à 6.000 euros pour les entreprises ayant mis en place un dispositif d'intéressement ou de participation. Il peut s'agir d'entreprises qui sont tenues ou non de mettre en place un tel dispositif.
le versement de la prime doit être effectué entre le 1/07/2022 et le 31 décembre 2023 ; comme les primes d'épargne salariale (participation, intéressement), cette prime respecte le principe de non substitution et ne remplace donc aucun élément de rémunération.
la rémunération annuelle brute du salarié est au moins égale à 3 fois la valeur du Smic annuel et la prime est versée entre le 1er juillet 2022 et le 31 décembre 2023 : elle est exonérée de cotisations et contributions sociales patronales et salariales (hors CSG et CRDS).
Verser une prime aux salariés permet de les encourager et de les motiver. La prime peut ainsi se faire de façon individuelle à condition de respecter le principe « à travail égal, salaire égal ». Il faut donc pour qu'elle soit bien comprise qu'elle soit basée sur des objectifs précis, définis en amont et mesurables.
Versée aux salariés par leurs employeurs, la nouvelle version de la prime Macron, appelée la prime de partage de la valeur, est exonérée de l'impôt sur le revenu, des cotisations sociales et des contributions sociales pour les salariés gagnant moins de 3 fois le Smic.
Vous devez en premier lieu être salarié, titulaire d'un CDI ou d'un CDD, à temps plein ou à temps partiel. Notez que différents types de contrats entrent dans le cadre de cette prime exceptionnelle, y compris les stages d'apprentissage. Mais surtout, vos revenus ne doivent pas dépasser le SMIC.
La loi n'impose pas le versement d'une prime de fin d'année ou de 13e mois. Toutefois, cela peut être prévu par la convention collective ou un accord collectif. Cette prime peut également s'imposer lorsqu'elle est inscrite au contrat de travail ou résulte d'un engagement unilatéral ou d'un usage.
Le plafond d'attribution de la prime est fixé à 3 Smic, soit un peu plus de 3.987 euros de salaire net par personne par mois sur la base du montant du Smic en vigueur depuis le 1er août 2022. Attention cependant, le texte de loi prévoit un critère d'octroi sur la base de la rémunération annuelle perçue en brut.
Primes relatives au rattrapage du coût de la vie (primes de vie chère, primes de productivité, etc.) Primes liées à la personne (prime d'assiduité, de ponctualité, d'ancienneté, etc.) Primes relatives à certaines conditions de travail (pénibilité, travaux dangereux et insalubres, astreinte, etc.)
Avoir une activité professionnelle ou être indemnisé au titre du chômage partiel ou technique. Un autre critère pour l'éligibilité à la prime de 185 € est lié à la situation professionnelle. Il faut soit avoir une activité professionnelle, soit être indemnisé au titre du chômage partiel ou technique.
L'usage se met en place sans procédure particulière dans l'entreprise et ne fait pas l'objet d'un écrit. Exemple : Une prime de fin d'année d'un montant ou d'un mode de calcul fixe, accordée à tout le personnel tous les ans depuis 5 ans, est un usage d'entreprise.
Les employeurs devaient verser l'indemnité inflation sur le bulletin des salariés, puis se faire rembourser par l'Etat, via une aide au paiement des cotisations et contributions sociales.