Lorsqu'un avion vole, 4 forces différentes s'exercent sur l'engin en mouvement. La portance est une force liée à l'effet du vent sur l'aile qui attire l'avion vers le haut. C'est elle qui permet de faire décoller un avion et de le maintenir dans les airs. À l'inverse, le poids est une force qui attire l'avion au sol.
Comment décolle un avion? Grâce à la puissance des moteurs, nous accélérons l'appareil sur la piste en l'amenant à une vitesse préalablement calculée. Ensuite, on tire lentement sur le volant. La gouverne de profondeur se lève.
Ca accélère (fort) et ça monte, mais c'est beaucoup moins violent que les manèges à sensations, car ça ne tournicote pas dans tous les sens. Si vous êtes stressé, n'hésitez pas et parlez-en à l'équipage en arrivant dans l'avion, les agents de bord sont formés pour ce genre de situation et vous rassureront.
La raison principale qui motive le fait d'abaisser les éclairages des avions lors des décollages, des atterrissages ainsi que la nuit est la suivante : habituer les yeux des passagers et des membres du personnel à l'obscurité.
Fort heureusement, l'avion est passé en pilotage automatique et n'a pas connu d'incident majeur. Une mésaventure qui renforce les craintes sur l'épuisement des pilotes. Y a-t-il des pilotes dans l'avion ? Oui, mais ils dorment.
Où dorment les pilotes ? Dans la zone de repos de l'équipage, bien sûr. Celui-ci est situé dans le lobe supérieur à l'avant de l'avion.
Tout d'abord, cela permet à vos yeux de s'adapter à la luminosité extérieure. Si vous volez de jour, vous ne vous retrouverez pas à sortir en plein soleil d'un appareil plongé dans le noir en clignant des yeux ; si c'est un vol de nuit, vous verrez mieux !
L'avion s'élance sur la piste pour atteindre les 200 à 250 km/h. C'est la vitesse de décollage dite V1. Au-delà de cette vitesse, un pilote est obligé de décoller quoi qu'il arrive car il ne serait plus possible d'arrêter l'avion dans les limites de sécurité prévues.
Les avions, à l'atterrissage et au décollage, se placent toujours face au vent. Cette règle permet de réduire au minimum leur vitesse lorsqu'ils se posent et assure leur portance au moment de prendre leur envol. A la construction d'un aéroport, les pistes sont donc toujours installées en fonction des vents dominants !
Allongez votre siège autant que possible et restez allongé sans bouger, la tête penchée en arrière. Évitez les repas trop copieux et l'alcool. Votre médecin pourra également vous prescrire un traitement préventif contre le mal des transports.
« C'est dû aux problèmes circulatoires et donc à la rétention d'eau. » En avion, comme on reste principalement assis et qu'on ne marche pas assez, de l'eau s'accumule dans les tissus de notre organisme, en particulier dans nos membres inférieurs (chevilles et mollets).
La portance est une force liée à l'effet du vent sur l'aile qui attire l'avion vers le haut. C'est elle qui permet de faire décoller un avion et de le maintenir dans les airs.
Statistiquement, vos chances d'avoir un accident à chaque fois que vous prenez l'avion, sont de 1 sur 12 millions (un accident pour 12 millions de vols). Soit 0,00001% de risque que ça vous arrive quand vous prenez l'avion. De plus on parle là de tout type d'accidents et pas uniquement des crashs !
La première façon est d'utiliser une source externe d'énergie par le biais d'un gros câble qui provient d'une génératrice externe situé au sol qui se connecte à l'avion et qui envoie l'énergie nécessaire pour effectuer le démarrage des moteurs.
Autrement dit, la rotation de la Terre n'a aucune influence sur la vitesse d'un trajet en avion. Alors non, un avion ne prendra pas plus de temps à arriver à destination s'il vole vers l'Est, puisque l'atmosphère tourne à la même vitesse que la Terre.
Normalement, les avions commerciaux volent à une altitude qui oscille entre 17.000 et 40.000 pieds, ce qui correspond à 5.100 et 12.200 mètres au-dessus du niveau de la mer. Les jets privés peuvent, eux, aller encore plus haut, sans toutefois dépasser le plafond symbolique des 51.000 pieds, soit 15.500 mètres.
2- S'il s'agit d'un avion de ligne, la vitesse est en général de 0,7 à 0,8 Mach, c'est à dire environ 900 km/h. 3- Le concorde lui, par contre, volait à Mach 2, soit environ 2400 km/h.
Le balisage lumineux
Les pistes utilisées par les avions de ligne sont balisées et leur intensité est réglable par les contrôleurs aériens. Elles restent donc parfaitement visibles de nuit, et de loin.
Lorsqu'un avion rencontre des courants d'air ascendants et descendants, cela peut entrainer des variations d'altitude. L'avion perd subitement quelques dizaines de mètres d'altitude. Rien de très important mais la sensation de chute en cabine peut parfois impressionner les passagers. On parle parfois de « trou d'air ».
En effet, au décollage ou à l'atterrissage, le personnel de bord a besoin que les stores des hublots soient ouverts afin de pouvoir s'apercevoir le plus rapidement possible s'il y a un problème à l'extérieur de l'avion. Ainsi, il n'y a aucun angle mort ou presque.
La première n'est autre que le port d'une couche pour adulte, ce qui n'est pas franchement confortable. La seconde est tout simplement de se retenir de faire ses besoins, mais là encore, les contraintes sont peu acceptables.
Le cockpit, ou habitacle, est la partie de l'aéronef offrant une visibilité vers l'avant et sur les côtés de l'appareil, où sont installés le ou les pilotes de l'avion et éventuellement d'autres membres de l'équipage (dans les anciens avions de transport de passagers, avec un équipage à trois, ou dans certains avions ...
Dans le détail de votre vol, pour pourrez également trouver l'assignation de votre siège ou numéro de siège. Sachez que la compagnie aérienne garde le droit de modifier l'assignation des sièges à tout moment sans obligation d'en avertir le passager.