C'est généralement un imam qui prononce le mariage. Deux témoins sont également présents. La cérémonie commence par la récitation d'une « Khoutbah », c'est-à-dire de formules de louanges à Allah et quelques versets du Coran. L'imam demande ensuite au père de la mariée s'il accepte de donner sa main.
Le Hlel est une cérémonie religieuse qui dure en moyenne une trentaine de minutes. Les cérémonies musulmanes ont lieu dans les mosquées, les mairies ou les futures demeures du couple. Elle ne se fait qu'en présence d'au moins deux témoins, des hommes, dont le père ou le frère de la mariée.
La cérémonie du mariage Nikah lie le couple et est célébrée par les membres de la famille de la mariée et du marié. Il s'agit d'une célébration festive, souvent accompagnée de nourriture ou de sucreries auxquelles tous les invités prendront part une fois la cérémonie terminée.
Q : Comment on fait ? R : Il suffit d'être la femme, l'homme concerné, un représentant de la femme : son père, son frère ou son oncle, un représentant du mec aussi, des témoins et voilà, ils se marient devant Dieu, devant l'imam. Il dit : « Est-ce que tout le monde est d'accord ? » et voilà, tout le monde est d'accord.
Le mariage religieux est appelé Hlel, Nikah ou Fatiha suivant le pays d'origine. Il s'agit d'un contrat moral entre les futurs époux. Le mariage religieux n'est pas officiel, il faudra donc un mariage civil pour officialiser l'union. Pour faire un mariage religieux, il faut avoir le consentement des deux futurs mariés.
Aujourd'hui, beaucoup de couples musulmans, pour sceller leur union, se contentent d'un mariage religieux appelé le « Hlal » ( Halal ) ou la « Fatha » ( en référence à la « Fatiha » première sourate du Coran).
Les familles des deux parties peuvent contribuer à ces dépenses, mais le marié est le principal responsable.
Ainsi, dans un registre un peu argotique, hlel désigne désigne une fille à marier, une fille respectable, qui préserve son honneur et celui de sa famille : elle est studieuse et sérieuse, chaste, elle ne sort pas le soir, elle ne fréquente pas de garçons.
Bonjour, C'est possible dans certains cas de figures. Si les parents s'opposent sans réel motif valable au mariage. Si le tuteur légal a des problèmes d'ordre psychologique, qu'il n'y a pas de grand frère ou oncle.
Les produits d'abattage halal sont halal lorsqu'ils suivent des directives strictes conformes à la loi islamique. Le processus physique d'égorgement d'un animal est également halal pour autant que l'animal ait été béni au préalable et que l'islam soit suivi dans son intégralité.
Le premier est la volonté des deux personnes à se marier, il est important que les futurs époux soient tous deux d'accord pour s'unir ensemble. Il faut également qu'il y ait des témoins : ils doivent tous deux être adultes et de confession musulmane. Traditionnellement, ce sont des hommes qui occupent ce rôle.
Ils privilégiaient plutôt les mariages en milieu de semaine, généralement le mardi ou le jeudi. Jours et mois saints des musulmanes : Pour la communauté musulmane, le vendredi est le jour saint de la prière, ce qui en faisait un choix populaire pour les mariages.
En Islam, le divorce de la femme est refusé s'il est sans raison légitime. Les raisons valables pour que la femme divorce en Islam sont l'avarice, le mauvais traitement et le mauvais comportement de son époux ; Le divorce est aussi possible en cas de refus de prier ou d'abandon de la religion par l'époux.
La demande en mariage ou Khotba
C'est quand toute la smala du marié, ses parents, frères, sœurs, tantes, cousines … débarque chez celle de sa chérie pour demander sa main (à son père).
Les fiançailles en Islam servent à annoncer publiquement l'intention de deux personnes de se marier.
Les fiançailles islamiques peuvent varier selon les cultures et les traditions régionales, mais elles impliquent généralement l'échange des anneaux de fiançailles entre le fiancé et la fiancée. Une prière spéciale (dua) peut également être récitée pour demander la bénédiction d'Allah sur le couple.
Dans l'islam, pas d'âge limite, mais les choses évoluent
Mais il rappelle que l'islam ne fixe pas d'âge légal du mariage. C'est la raison pour laquelle on parle « d'âge autorisé », « cela veut dire que celui qui peut se marier est autorisé à le faire », explique-t-il.
« L'âge de 18 ans marque le stade où une femme peut valablement exprimer sa volonté de se marier. Cela garantit qu'elle puisse jouir de ses droits fondamentaux à l'enfance, à l'éducation et à la capacité d'assumer la responsabilité du mariage », a déclaré Salah Abbas lors de son allocution.
Pour que le mariage religieux musulman soit valide, il faut suivre 4 règles : consentement, présence du tuteur, présence de témoins, et présence de la dot de mariage. De nombreux hadiths de mariage (recueil d'actes et de paroles de Mahomet et ses compagnons) encadrent les règles du mariage halal.
Le mariage civil islamique est plus une formalité administrative qu'une nécessité religieuse. Par conséquent, bien que le mariage civil islamique soit conseillé, il n'est pas nécessaire pour que le mariage soit légitime.
Plusieurs conditions doivent être remplies pour qu'il soit valide : tout d'abord, les futurs époux doivent exprimer leur volonté de se marier sans aucune contrainte. Ensuite, au moins deux témoins musulmans majeurs doivent être présents lors de la conclusion du contrat.
L'épouse peut demander que la dot lui soit versée au moment de l'établissement de l'acte de mariage, comme elle peut exiger de la percevoir avec la consommation du mariage. Elle peut également déterminer avec son époux d'une date de paiement (Exemple : après six mois de mariage, ou une année..).
Selon la tradition musulmane, il est généralement attendu que la famille de la mariée prenne en charge les dépenses liées au trousseau. Cela inclut l'achat des vêtements, des bijoux, des articles de toilette, des accessoires et des articles ménagers nécessaires à la mariée pour son nouveau foyer.
Traditionnellement, c'est la famille de la mariée qui prend en charge les frais du mariage, la famille du marié versant la dot et offrant de nombreux cadeaux. Aujourd'hui, les familles ont tendance à se partager les frais, chacune se chargeant des tenues de leur enfant.
La coutume veut que les parents des mariés participent aux dépenses liées au mariage. Des proches qui peuvent aussi faire un geste au moment de l'annonce de l'engagement sans que rien ne les y oblige pour autant.