Dans le catholicisme, les actes du sacrement comprennent les phases suivantes : L'examen de conscience préalable par lequel on recherche ses péchés ; La contrition, ou repentir ; qui implique de regretter ses fautes et de prendre la résolution de ne plus les commettre.
La première démarche dans la préparation à la confession est donc de se recentrer sur Dieu : ce n'est qu'en mettant son amour au centre de notre démarche que nous pouvons être éclairés sur nos péchés.
C'est pourquoi le baptême est pour les fidèles le sacrement le plus important. L'eau utilisée doit purifier l'âme du péché originel et permet au baptisé de faire son entrée dans la communauté des chrétiens.
La formule d'absolution en usage dans l'Église latine exprime les éléments essentiels de ce sacrement : « Que Dieu notre Père vous montre sa miséricorde ; par la mort et la résurrection de son Fils, il a réconcilié le monde avec lui et il a envoyé l'Esprit Saint pour la rémission des péchés : par le ministère de l' ...
La croix est le signe de la réconciliation.
L'important, c'est d'amorcer un échange dans le but de résoudre un conflit. En restant calme et posé, on est dans le dialogue et on évite de se laisser déborder par les émotions.
C'est tenir une offense, une faute, pour nulle (ou l'excuser) et renoncer soit – au plan personnel – à en tirer vengeance, soit – au plan institutionnel – à poursuivre et à punir les responsables. Le pardon ne doit pas cependant être confondu avec l'amnistie qui est une simple dispense de peine.
« Les sacrements sont des signes sensibles et efficaces de la grâce, institués par le Christ et confiés à l'Église, par lesquels nous est donnée la vie divine ». Il s'agit d'une grâce actuelle de service, dite charismatique et ordonnée à la sanctification des fidèles.
Les derniers sacrements sont les différents gestes et prières qu'un homme d'Eglise effectue auprès d'une personne sur son lit de mort. Ils sont composés de l'eucharistie, de la pénitence et de l'extrême-onction.
Le baptême, la confirmation, la confession, la communion ou eucharistie, l'ordination, le mariage et l'onction des malades. C'étaient-là les principaux rites de passages dans la vie des croyants catholiques au Moyen Âge.
Le protestantisme est l'une des principales branches du christianisme, avec le catholicisme et l'orthodoxie. Entendu largement, le protestantisme est l'ensemble des Églises qui sont issues de la Réforme.
Les sept donsdu Saint-Esprit sont la sagesse, l'intelligence, le conseil, la force, la science, la piété et la crainte de Dieu.
Dans le catholicisme, les actes du sacrement comprennent les phases suivantes : L'examen de conscience préalable par lequel on recherche ses péchés ; La contrition, ou repentir ; qui implique de regretter ses fautes et de prendre la résolution de ne plus les commettre. La confession des péchés à un prêtre.
le péché mortel, dont la matière est grave (ex. violence, adultère, vol important...) et qui est commis en pleine conscience et de propos délibéré. Cet acte coupe totalement celui qui le commet de la grâce divine, plaçant ainsi l'âme en état de mort (c'est-à-dire séparée de Dieu) jusqu'à son absolution.
« La confession comprend deux choses : d'abord, on doit avouer ses péchés ; ensuite on doit de la bouche du confesseur recevoir l'absolution ou rémission des péchés comme si elle venait de Dieu lui-même, et croire sans aucun doute qu'ainsi les péchés sont réellement pardonnés devant Dieu. »
Les trois sacrements de l'initiation chrétienne (baptême, confirmation, eucharistie) sont étudiés successivement, en prenant en compte notamment les dimensions biblique, liturgique et historique.
Dans les Églises orthodoxes et protestantes
Il est d'usage d'administrer le Mercredi saint le sacrement de l'onction des malades à tous les fidèles, pour la guérison de leurs maux et de leurs péchés.
Seigneur Jésus, me voici devant toi. Tu es présent dans le Saint Sacrement. Puisque je ne peux te recevoir lors de la célébration de l'eucharistie, je viens vivre avec toi une communion spirituelle.
Un bouquet de roses pour s'excuser
Dans le langage des roses, c'est le chiffre 15 qui est associé au pardon. Il peut s'agir d'un bouquet de 15 roses ou 15 fleurs offertes à l'unité. Pour les petits budgets, le chiffre 2, qui symbolise la dualité, peut lui aussi être choisi pour présenter ses plus plates excuses.
Un autre obstacle au pardon est l'imputation de certains motifs aux autres. Nous nous disons : « cette personne est étourdie ou négligente » ou « cette personne ne m'apprécie pas » ou « elle l'a fait exprès ». Nous jugeons durement les méfaits des autres.
Faire un geste tendre. Parfois, un geste peut suffire à désamorcer la situation. "Lui prendre la main, lui faire un bisou dans le cou ou même un simple regard doux sont autant de gestes qui signent le désir de réconciliation", conseille Virginie Ferrara.
Conflits en famille : les reproches et les non-dits
Cela peut être vécu comme une contestation, ou une négation du ressenti. Dans ce contexte, des reproches peuvent jaillir envers les frères et sœurs ou les parents par exemple. Les exprimer est souvent une nécessité, de l'ordre de la libération.