A l'aide d'une ponction à travers la peau d'une des veines du bras droit, le radiologue introduit un cathéter afin de naviguer dans les vaisseaux et atteindre les veines ovariennes et pelviennes dilatées dans le bassin. La patiente reste habillée (port d'un pyjama stérile).
Le syndrome de congestion pelvienne ou varices pelviennes est la conséquence de pesanteur ou de douleurs pelviennes qui durent depuis plus de 6 mois (souvent plusieurs années), méconnues, invalidantes. La douleur est généralement d'un côté mais peut affecter les deux côtés.
Un traitement des varices pelviennes par voie veineuse permet, sans anesthésie générale, de réaliser l'embolisation et la sclérose de la/les veine(s) alimentant les varices et de mettre fin à ses conséquences douloureuses.
La phlébographie est l'examen de référence pour le traitement des varices pelviennes. C'est un traitement non invasif endovasculaire qui se réalise sous simple sédation. Il permet une cartographie veineuses anatomique et hémodynamique.
Elles peuvent donc entraîner des symptômes très gênants, comme : Des douleurs pelviennes parfois invalidantes ; Des signes fonctionnels témoignant de l'existence d'une congestion pelvienne, par exemple un gonflement abdominal ; Des signes généraux, comme des maux de tête, des troubles de l'humeur ou une fatigue.
Les varices pelviennes sont dues à une hyperpression sanguine, au niveau des veines ovariennes ou utérines. Les varices pelviennes peuvent apparaître dans deux cas : une maladie variqueuse des membres inférieurs : insuffisance veineuse chronique, une hyperpression dans la région pelvienne.
Une consultation en gynécologie est souhaitable avant toute prise en charge de varices pelviennes. Développement de varices en dehors du pelvis : Les varices pelviennes peuvent alimenter des varices vulvaires, périnéales, fessières et aux membres inférieurs.
Qu'appelle-t-on les varices pelviennes ? Ce sont des dilatations veineuses des veines génitales (utérus, ovaires) et/ou développées à partir des veines drainant les autres viscères pelviens ou la paroi pelvienne.
En général, il repose sur la prise d'un progestatif (du médroxyprogestérone) ou d'un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS), pour soulager la douleur. Dans certains cas, une procédure peut être envisagée pour bloquer le flux sanguin qui se dirige vers les varices pelviennes.
La rupture de varice survient en particulier lorsque la varice est à fleur de peau ou qu'elle forme une dilatation fragile que l'on appelle bulle ou ampoule veineuse. Un petit choc, souvent anodin, entraîne un saignement à partir de la plaie variqueuse. Il est souvent plus impressionnante que grave.
Le syndrome de congestion pelvienne est une douleur à long terme (chronique) présente dans la partie basse du torse (pelvis), provoquée par une accumulation de sang dans les veines du pelvis, qui se sont élargies (dilatées) et qui deviennent tortueuses.
Pour ce qui concerne les varices qui touchent des veines secondaires, elles peuvent alors être supprimées : soit par sclérothérapie. soit chirurgicalement, par phlébectomie.
Où se situent les douleurs pelviennes ? Les douleurs pelviennes correspondent aux douleurs ressenties dans la région du pelvis, c'est-à-dire au niveau du bas du ventre et du haut des parties génitales. Elles peuvent être légères à très intenses. Elles sont chroniques chez 11 à 20% des femmes.
Le petit bassin est aussi connu sous le nom de pelvis. Cette partie du corps se situe entre les hanches et le périnée. Le petit bassin englobe des os comme le sacrum et le coccyx, et des organes comme le rectum, le système urinaire et les organes reproducteurs.
L'adénomyose est une maladie gynécologique fréquente et bénigne. Elle est semblable à l'endométriose : on parle même d'endométriose interne à l'utérus.
La mauvaise circulation sanguine se traduit en général par un inconfort au niveau des membres inférieurs. Les signes qui la caractérisent sont dans un premier temps des jambes lourdes, fatiguées et tendues, particulièrement en fin de journée et quand il fait chaud.
Il est recommandé de consulter votre médecin traitant si : vous avez des varices de plus de 3 millimètres de diamètre ; vous avez un œdème permanent de la jambe ; la peau de votre jambe présente une surface anormalement brune ou au contraire très pâle et fine.
lourdeurs au niveau des mollets, parfois de toutes les jambes, associées à des sensations de brûlures, de fourmillements ou de démangeaisons. Des crampes qui peuvent aussi réveiller la nuit. d'un œdème de la cheville et/ou du pied.
La varicocèle n'a aucune conséquence sur la fonction érectile et la sexualité, et chez certains hommes, elle n'entraine aucune gêne ni complication. Lorsqu'elle est de volume important, elle peut occasionner une sensation de pesanteur, voire des douleurs qui risquent de s'accentuer au fil du temps.
Varices vulvaires : symptômes et diagnostic
Les varices vulvaires sont le plus souvent asymptomatiques. Il peut cependant y avoir une sensation de vulve gonflée, des démangeaisons, une gêne durant les rapports sexuels ou encore durant la marche.
Les aliments riches en vitamine C : cette vitamine possède un effet veinotonique, c'est-à-dire qu'elle aide à renforcer la tonicité de la paroi des veines, qui sont fortement distendues en cas de varices. On en trouve dans les fraises, oranges, kiwis, citrons, choux, etc.
Est-ce que la sclérothérapie fait mal ? La sclérothérapie est une méthode indolore pouvant être effectuée dans le cabinet du médecin. Elle est bien supportée. Elle ne provoque dans la très grande majorité des situations aucun effet secondaire.
Les veinotoniques dans le traitement des varices des jambes
Les médicaments veinotoniques, tout comme certains extraits de plantes (hamamélis, mélilot, marron d'Inde, vigne rouge, etc.)
L'IRM pelvienne est un examen réalisé en complément d'une échographie. L'ensemble des organes contenus dans la cavité pelvienne sont visibles (utérus, ovaires, rectum, vessie...) ainsi que les veines et artères. Elle permet de faire un bilan anatomique complet.