A la fin de sa vie, le plastique peut prendre différentes directions : l'incinération, le recyclage ou la mise en décharge. Or, aujourd'hui en France, seuls 21% des plastiques mis sur le marché sont recyclés. Mais c'est sans compter les nombreux déchets qui finissent leur route dans la nature ou dans les océans.
Sa production consomme beaucoup d'énergie. Beaucoup d'objets en plastique ne servent qu'une seule fois et ne sont pas assez recyclés. Rejeté dans la nature, il met beaucoup de temps à se dégrader et il pollue les rivières, les sols et les océans.
Mes déchets annuels tiennent dans un bocal d'1L depuis 5 ans. Alors est-il possible de vivre sans plastique ? Oui bien sûr ! Et même sans déchet, ni gâchis.
Son système, nommé Ocean Cleanup, consiste à déployer des barrières flottantes faites de boudins de plusieurs centaines de mètres sur trois mètres de profondeur près des vortex de déchets. Le but ? Recueillir, au gré des courants, les plastiques qui flottent à la surface des océans.
Au cours des six prochains mois, une trentaine de barrières flottantes en forme de fer à cheval seront mises à l'eau pour nettoyer le « septième continent », cet amas de déchets plastiques, grand comme la province de Québec (1,6 million de kilomètres carrés), qui flotte à mi-chemin entre la Californie et Hawaï.
Et cette pollution plastique menace directement 1 400 espèces marines (baleines, tortues, requins, etc.) ainsi que de nombreux oiseaux. Effectivement, souvent confondu avec des animaux, le risque principal est l'ingurgitation du plastique causant l'étouffement, l'étranglement ou bien l'ingestion.
Gardez votre poubelle aussi vide que possible
Une fois que vous avez composté vos déchets alimentaires, il n'est plus nécessaire d'utiliser un sac en plastique pour recouvrir votre poubelle et la garder propre et sans jus de poubelle. Nous jetons les petits déchets que nous créons encore directement dans le bac.
Tissus enduits ou « bee-wraps » : à faire soi-même ou à acheter, il s'agit d'un tissu enduit avec de la cire d'abeille et de la résine d'arbres. Utilisé comme une seconde peau sur les aliments, comme couvercle sur les récipients et même comme sachet !
Éviter donc la communication de type : « Merci de recycler vos déchets de bureau ici », mais plutôt : « Ici, j'économise de l'énergie ». « Cela permet aussi d'associer l'action au résultat, ce qui est plus valorisant, tout en ne parlant pas de déchets mais de ressources ».
En triant quotidiennement nos déchets, nous favorisons leur recyclage, nous préservons les ressources naturelles, économisons l'énergie, évitons le gaspillage de matières réutilisables, réduisons le volume de déchets à traiter et l'émission de gaz à effet de serre.
Les poissons, mollusques et crustacés sont victimes de nos déchets plastiques qui finissent dans les océans. Et en particulier, ils ingèrent beaucoup de plastique surtout les animaux filtrants comme les huîtres,, les moules et les coquillages en général. De cette manière, le plastique entre dans la chaîne alimentaires.
C'est ce qu'indique le docteur Max Plitt au New York Post. "Manger du plastique peut être dangereux, précise le médecin. Le bisphénol A est connu pour influencer les hormones. Les substances chimiques contenues dans le PVC, comme le chlorure de vinyle, ont été associées à des cancers."
Dr Gérald Kierzek : "Tout dépend de l'objet. Si on avale son chewing-gum, pas grand chose à faire. En revanche si on avale autre chose comme un os, des arêtes, des morceaux de verre ou de plastique, il faut consulter et réaliser une radiographie.
le chauffage (au bois, au fioul, etc.) responsable de plus de 90 % des émissions de particules fines du secteur résidentiel ; le brulage des déchets verts.
Le vélo ne pollue pas, et, en ville, il permet de se déplacer plus vite qu'en voiture sur une distance de moins de cinq kilomètres. Un voyage en avion ruine tous les efforts que vous accomplissez par ailleurs pour vivre de façon écologique.
Le pétrole
On estime à six millions de tonnes par an la quantité d'hydrocarbures introduite dans les océans par l'activité humaine, ce qui constitue une cause fondamentale de la pollution des océans.