Selon Le Littré, la consonne finale ne doit pas être prononcée. «Plusieurs prononcent meurs', en faisant sentir l's, ce n'est pas une bonne prononciation», explique le thésaurus. Il faut dire «meur».
Dans le mot « mœurs », on ne prononce pas le « s ». En français, l'accent tonique porte sur la dernière syllabe prononcée.
Le mot mœurs , qui désigne des habitudes de vie ou des coutumes, se termine à l'écrit par un s qui fait débat.
Selon le Trésor de la langue française, l'ananas viendrait du tupi-guarani (langue amérindienne) naná, ananá signifiant «parfumé». Si l'on se fie donc à l'origine du nom du fruit, et plus précisément à sa finale, l'exacte prononciation du mot ananas est «anana».
Outre-Atlantique, la non-prononciation du -l final dans les mots comme persil, sourcil, nombril ou baril est la règle !
Si nos ancêtres les Latins n'avaient pas d'autre choix que de prononcer le «l» dans «superciLium», de nos jours, le «l», présent dans la consonne finale du mot «sourcil», ne se dit plus. Les dictionnaires sont unanimes. On dit «sourci».
l'ananas. ▶️Au pluriel : des ananas / les. ananas. Alors, on prononce le "S" final ou.
La prononciation correcte est [ ʃamoni ], où le x ne se prononce pas. C'est la prononciation locale, répandue dans une partie du Sud-Est de la France. C'est la même chose quand on dit le nom entier de la commune, Chamonix-Mont-Blanc : le x est muet.
Les trois formes yaourt, yogourt et yoghourt sont admises pour ce mot issu du turc. On prononce ou non le t final : [jaur] ou [jaurt], [jogur] ou [jogurt]. Le dérivé yaourtière, formé sur yaourt, n'a pas de variante.
Bœuf et œuf se prononcent donc [bef] et [ef] comme le chiffre neuf, et os se prononce [os] comme dans le mot brosse. Au pluriel, toutefois, on ne prononce pas la consonne finale. On dit plutôt, en fermant la voyelle, [beu] pour bœufs et [eu] pour œufs, les deux mots rimant alors avec feu.
1. Pratiques sociales, usages particuliers, communs à un groupe, un peuple, une époque : Autres temps autres mœurs. 2. Habitudes particulières aux animaux de chaque espèce : Les mœurs des abeilles.
Habitudes (d'une société, d'un individu) relatives à la pratique du bien et du mal. ➙ conduite, morale.
Les Moeurs d'une société désignent les comportements, les usages et la conduite morale codifiés par celle-ci et qui lui sont propres. Elles forment un ensemble de normes issues de coutumes, de religions, de règles de civilité ou de règles de droit. Exemple : une personne aux moeurs dissolues.
1. Quelles sont les lettres muettes ? Les lettres c, d, s, t, p sont les principales lettres qui ne se prononcent pas à la fin du mot ; mais il en est d'autres.
Le mot "femme" vient du latin "femina". En ancien français, il pouvait s'écrire "feme", "fame", "femme", "fenme" ou encore "famme" et se prononçait [fãm]. L'évolution de la langue a amené le son [ã] à s'ouvrir et à se transformer en [a] alors que la graphie avec le doublement de consonne s'est, elle, conservée.
Règle. La lettre c se prononce comme un s devant les voyelles e, i, y, mais comme un k devant les voyelles a, o, u. Cas dans lesquels la lettre c se prononce comme un s.
Aujourd'hui, dans la plus grande partie de la France et des pays francophones, on prononce poêle comme le mot poil . Mais en Bretagne, dans le Nord, dans le Pas-de-Calais et un peu aussi dans certains cantons suisses, on prononce plutôt ce mot [ pwɛl ].
Pour Joseph Hanse, dans le Nouveau Dictionnaire des difficultés du français moderne (1987), "Le mois d'août se dit [ou] mais beaucoup prononcent le t final. La prononciation [a-out] est fautive alors qu'elle est correcte dans les dérivés aoûtat, aoûté et aoûtien [aoussien]".
Le mot lait se prononce-t-il avec le son [ ɛ ] ( è ouvert) ou bien avec le son [ e ] ( é fermé) ? Autrement dit, prononce-t-on [ lɛ ] (« lè ») ou [ le ] (« lé ») ? Eh bien, tout dépend de là où on se trouve !
Comme Praz qui se prononce Pra ». Ou Avoriaz, qui se prononce donc Avoria, en savoyard comme en français.
Megève se prononce meugève et non pas mégève.
À l'office du tourisme, on indique que la prononciation correcte est [ kasi ].
Au pluriel, il faut donc faire particulièrement attention à l'absence de liaison entre le déterminant et le nom : dans des haricots , on ne prononce pas de [ z ]. On ne prononce donc pas [ dezaʁiko ] (« dé-za-ri-co »), mais bien [ deaʁiko ] (« dé-a-ri-ko ») !
Le h de «haricot» est «aspiré». En cela, il interdit la liaison et «impose que ce mot soit prononcé disjoint de celui qui le précède». Et ce, au singulier comme au pluriel. Ainsi, on prononce «le haricot» et non pas «l'haricot» ; «les/ haricots» et non «les-z-haricots»; «un beau haricot» et non «un bel haricot».
pruneaux. Un pruneau est une prune séchée.