Pour rebondir après un échec, il faut aussi en comprendre la raison. Une étape indispensable avant de penser à l'après est donc d'évaluer ce qui n'a pas fonctionné. Prendre du recul permet de voir les choses plus clairement, et d'identifier les différentes étapes ou mauvaises décisions qui ont conduit à votre échec.
Pour relativiser, dites-vous qu'il y aura toujours quelqu'un qui pensera que vous avez échoué ! Vous décidez de poursuivre votre rêve de devenir indépendant et d'être votre propre patron ? Certains penseront que c'est un échec parce que vous avez quitté la stabilité et la paie garantie d'un emploi de salarié.
Reconnaître l'erreur et communiquer
N'essayez pas de minimiser, de cacher ou de rejeter la faute sur les autres. Faites preuve d'honnêteté et de transparence. Lorsque vous reconnaissez votre erreur, faites-le de manière constructive, tout en évitant l'autocritique excessive, mais soyez sincère.
Un grave échec passé, une image de soi biaisée et dégradée ou encore un traumatisme, peuvent être à l'origine de la peur de l'échec. Cette dernière entraîne alors de nouveaux troubles. La plupart du temps, la crainte est l'expression de nombreuses névroses qui s'imbriquent de manière complexe.
Un exemple d'échec professionnel pourrait être:
«Dans le cadre d'un projet, nous n'avons pas réussi à finir le travail à la date fixée, ce qui a provoqué un grand mécontentement de la part du client. La confiance bâtie depuis des années était brisée, mais nous devions poursuivre notre collaboration.
Il vaut toujours mieux essayer que de ne jamais échouer. Dans la vie, il faut réfléchir, décider et agir pour échouer ou réussir. Mieux vaut essayer et échouer plutôt que de ne rien tenter et regretter. Mieux vaut essayer pour échouer, que d'avoir honte et de ne jamais essayer.
Les raisons de rater un examen sont nombreuses. Manque de compréhension des cours, pas assez de révisions, méthodes d'apprentissage insuffisantes… Mais il ne faut pas oublier que le stress peut aussi provoquer une perte de concentration et affecter vos résultats, même si vous maîtrisez votre sujet !
Il ne faut pas avoir peur d'échouer, c'est là la clé de cette spirale. Pour éviter l'échec, il faut arrêter d'écouter cette petite voix intérieure qui vous répétera sans cesse : «je vais échouer, je vais échouer, je vais échouer, je vais échouer…», vous finirez par le croire et l'appliquer.
Comment encourager une personne qui a échoué à un examen ? Lui dire que ce n'est pas grave et qu'elle fera mieux la prochaine fois. Lui dire que son échec n'est qu'une occasion pour s'améliorer et surtout lui dire que l'échec,c'est humain mais se relever est divin.
Les conséquences d'une telle dévalorisation sont nettes au niveau affectif : cela provoque des sentiments de menace et d'insécurité. L'échec est également source de comportements significatifs. Il favorise les comportements de tricherie, ou antisocial.
Les personnes ayant peur de l'échec pensent souvent qu'elles ne peuvent pas bien appliquer leur matière et craignent d'échouer. La peur de l'échec cognitive découle principalement de l'anxiété devant la réception d'une appréciation ou critique négative par rapport à ce qu'ils ont appris ou fait.
Alors la première raison qui peut pousser à l'échec un zèbre, c'est tout simplement lorsque il n'est pas au courant de son potentiel. En fait, on vu qu'on a un fonctionnement atypique et complètement différent, il est primordial d'être au courant de sa douance pour mieux la vivre.
L'échec n'est en rien définitif, il est simplement une étape de notre parcours. D'ailleurs, dans le domaine scientifique, l'échec est même valorisé ! En effet, il permet d'invalider une hypothèse, d'augmenter notre savoir et de réorienter les recherches dans une autre direction.
Assumer ses erreurs, c'est commencer à prendre conscience que l'on maîtrise sa vie. C'est admettre que l'on a une prise sur les événements, et que l'on peut agir sur les victoires, comme sur les défaites. Et même, que l'on peut transformer ces défaites en victoires.
L'erreur est une étape primordiale et nécessaire pour tout apprentissage et à tout âge de la vie. Elle permet de favoriser l'autonomie ainsi que la confiance en soi. « Un enfant qui se trompe deviendra un adulte qui se fait confiance ».