Première étape quand on subit une blessure émotionnelle ? Recollez rapidement les morceaux. Si on attend, “que l'on cache les morceaux” dans un tiroir, on risque de les abimer ou d'en perdre un : pour ne pas se laisser aller dans la torpeur et la douleur, il faut tout recoller, le plus tôt possible.
Savoir reconnaître ses blessures
« Prendre conscience de ses blessures peut être désagréable, mais cela est nécessaire pour guérir». Par ailleurs, rappelons qu'accepter une blessure ne signifie pas être d'accord avec elle mais la regarder, l'observer et se dire qu'elle va nous enseigner.
Il s'agit du rejet, de l'abandon, de l'humiliation, de la trahison et de l'injustice. “Ce sont les blessures qui nous viennent d'expériences passées non acceptées. Elles peuvent s'étendre du simple souvenir marqué par une émotion désagréable ou une absence de sens, aux traumatismes.
► En prendre conscience et l'accepter pour lever le mécanisme de défense, de déni et de refoulement de la blessure. Pour cela, il faut oser en parler avec un ou plusieurs proches si on a la force et l'impulsion de le faire.
La réponse est que notre cerveau est structuré pour répondre de cette façon. Lorsque nous sommes rejetés, abandonnés ou subissons une perte, les mêmes zones du cerveau impliquées dans la douleur physique sont activées, à savoir l'insula antérieure et le cortex cingulaire antérieur.
Pour réussir à oublier un souvenir, notre premier réflexe pourrait être de ne plus y porter attention. Or, une nouvelle étude suggère plutôt l'inverse : pour oublier quelque chose, il faudrait y repenser. L'oubli serait un processus actif qui demanderait un plus grand effort mental que la création du souvenir lui-même.
pratiquer la méditation de pleine conscience. lorsque des pensées du passé surgissent, les laisser simplement s'exprimer un instant avant de se concentrer à nouveau sur la respiration. Ce processus continu de retour au présent est la base de la pleine conscience.
Le rejet, l'abandon, l'humiliation, la trahison et l'injustice : cinq blessures fondamentales à l'origine de nos maux, qu'ils soient physiques, émotionnels ou mentaux.
Les blessures de l'enfance ont le goût du rejet, de l'abandon, de l'humiliation, de l'abus, de la trahison, de l'injustice, de la détresse, de la non-reconnaissance, de la carence affective, de la maltraitance physique, verbale ou par défaut de soins.
"Sans prise en charge, cet état peut devenir chronique et se compliquer par l'apparition d'autres pathologies comme des troubles de l'humeur, une dépression, des modifications de la personnalité, l'alcoolisme ou la toxicomanie", précise le spécialiste.
La cause la plus fréquente de blessure est un entraînement inadéquat – par exemple, ne pas accorder aux muscles assez de temps pour récupérer après une séance d'exercice (ils ont besoin de 48 heures de repos), augmenter l'intensité trop rapidement et ne pas s'arrêter lorsque la douleur s'accroît pendant l'exercice.
1. La puissance verbale. C'est dans ces moments-là qu'on décèle l'importance des mots, car la conversation est l'un des critères primordiaux dans la communion entre deux entités. Les dialogues s'enchainent naturellement, au point de ne plus voir l'heure tourner.
Elle vous fait souvent des cadeaux
Les cadeaux et les surprises sont des petits plus qui montrent qu'une personne pense à vous. Même sans occasion spéciale, une personne qui pense à vous sera heureuse de vous faire plaisir. Chaque fois qu'elle verra quelque chose, elle se demandera si cela vous plaira.
Comprendre ce qui nous est arrivé, identifier nos blessures, donner la parole aux différentes parties de nous qui nous appellent à l'aide, nous permet d'accepter ce que nous avons vécu, de renoncer à avoir un passé meilleur, et à vivre enfin notre présent au présent.
Donc, voici les bonnes raisons de revenir sur votre passé : Avoir une compréhension d'adulte face aux évènements vécus. Apprivoiser ce qui a été, pour vous, source de survie. Commencer à composer votre vie en tenant compte des blessures que vous avez subies.
A chaque blessure correspond un masque : Ainsi, le rejet adopte le masque du fuyant : il peut fuir les relations, il peut fuir dans l'imaginaire, les conduites à risques. Il peut même se fuir lui-même.
C'est pourquoi une blessure = un masque. Ce masque est finalement le produit de notre égo et de ses mécanismes de défense. Ainsi, la personne qui souffre de la blessure de l'abandon porte le masque du dépendant. Elle a du mal à fonctionner seule et a besoin qu'on s'occupe d'elle…
Le problème vient de lui : il a peut-être des insécurités ou, tout simplement, il a pris peur. Ne remettez pas en question vos qualités ni la sincérité de votre relation. S'il s'est éloigné de vous, il a une bonne raison. Mais celle-ci n'a sûrement aucun lien avec vous.