Il n'existe pas de traitement spécifique pour la mononucléose infectieuse. Comme elle est d'origine virale, les antibiotiques sont inutiles. Des antalgiques et antipyrétiques (paracétamol de préférence) peuvent vous être prescrits pour limiter la fièvre et soulager les douleurs liées à la mononucléose infectieuse.
Soulagez les symptômes de la mononucléose
Prenez de la vitamine C ou des complexes vitaminiques afin de remédier à l'abattement ressenti par le malade. Pour les maux de gorge : des pastilles au propolis, au miel, ou des collutoires anesthésiques et antiseptiques peuvent vous aider à supporter la douleur.
La mononucléose infectieuse peut entraîner les complications suivantes : ― Obstruction des voies respiratoires supérieures en raison d'une hypertrophie importante des amygdales. ― Atteintes neurologiques telles que méningite aseptique, encéphalite, syndrome de Guillain-Barré. ― Rupture splénique.
Très contagieuse, elle se transmet par la salive d'où son nom de « maladie du baiser ». Le plus souvent sans aucun signe, elle peut être responsable d'une fatigue intense, ou d'une angine avec de la fièvre et des ganglions du cou. Elle est provoquée par une infection à virus EBV : « Epstein-Barr Virus ».
Pour lutter contre la fatigue provoquée par la mononucléose, il est également possible de prendre de la vitamine C en complément du traitement. En cas de doutes (et pour éviter tout surdosage), demandez toujours conseil à votre médecin ou à votre pharmacien.
Pour les sports à risque de traumatisme du ventre (combat et sports de contact, football, ski, cyclisme...), l'interdiction de reprise du sport est absolue dans les 3 à 4 semaines suivant le début des symptômes de mononucléose infectieuse à EBV, car selon la littérature il y a un risque accru de rupture de rate.
Lorsque le malade est guéri, le virus reste toute sa vie dans ses ganglions, sans provoquer de récidive de la mononucléose. Après la mononucléose infectieuse, la personne a acquis une immunité prolongée. On estime que 90 % des adultes ont déjà été en contact avec le virus d'Epstein-Barr.
le virus Epstein-Barr reste « en sommeil » dans l'organisme toute la vie, sans poser de problème particulier dans la plupart des cas. Tout comme pour le virus de la varicelle, vous êtes immunisé(e) : impossible d'avoir deux fois la mononucléose ! près de 90% des adultes sont immunisés contre le virus.
Durée de la maladie : Les symptômes principaux disparaissent au bout de 2 à 3 semaines, mais l'état de fatigue dure parfois pendant quelques mois. Période de contagion : La mononucléose est contagieuse quelques jours avant l'apparition des symptômes, et plusieurs mois après sa guérison.
En effet, le virus profère à l'organisme une immunité qui empêche les risques de rechute de la mononucléose infectieuse (MNI). Mais il arrive que des réactivations surviennent chez les individus aux défenses immunitaires affaiblies.
Les autres signes sont extrêmement variés et nombreux : perte de l'appétit (anorexie), nausées, céphalées, rhinite, toux, courbatures, gonflement des paupières (œdèmes palpébraux), jaunisse (ictère).
Elle peut être mortelle et la chirurgie est nécessaire. Dans certains cas, le virus induit une augmentation importante du volume des amygdales, ce qui peut obstruer les voies respiratoires et causer d'importantes difficultés à respirer (détresse respiratoire).
posez deux gouttes d'HE de menthe poivrée sous la langue matin, midi et soir, vous pouvez aussi mélanger 2 gouttes d'HE d'épinette noire, 1 goutte d'HE de menthe poivrée et 1 goutte d'HE de pin sylvestre et appliquer ce mélanger sur le bas du dos (au niveau des reins) matin et soir pendant une semaine.
Éviter la transmission du virus de la mononucléose infectieuse par la salive. Apprenez à votre enfant ou votre adolescent à se couvrir la bouche et le nez avec un mouchoir jetable, lorsqu'il éternue ou tousse.
Le Monotest est un test sanguin rapide permettant de diagnostiquer la mononucléose infectieuse. Ce test est souvent prescrit chez les adolescents présentant les symptômes typiques de la mononucléose : fièvre, fatigue, mal de gorge, gonflement des ganglions, etc.
L'asthénie, communément appelée fatigue, est un symptôme fréquent. Elle devient anormale lorsqu'elle perdure malgré le sommeil et le repos. Elle peut être passagère et réactionnelle (après un surmenage, lors d'une infection brève…), ou durable, en lien avec une maladie chronique ou une souffrance psychique.
Les symptômes varient, mais les plus fréquents sont une fatigue extrême, une fièvre, des maux de gorge et une hypertrophie (gonflement) des ganglions. Pour confirmer le diagnostic, on fait un test sanguin. Le paracétamol ou les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) peuvent soulager la fièvre et la douleur.
Un résultat positif au MNI-test, associé aux symptômes de la mononucléose, sont les bases d'un diagnostic de mononucléose infectieuse. En plus d'une réaction positive au MNI-test, une personne infectée a un nombre de globules blancs plus élevé, avec un nombre plus élevé qu'à l'habitude de lymphocytes atypiques.
Scarlatine : définition, symptômes et modes de transmission. La scarlatine est une maladie infectieuse due à une bactérie : le streptocoque bêta-hémolytique du groupe A. Elle se manifeste par une forte fièvre, une angine et une éruption cutanée. Elle touche surtout les enfants de 5 à 10 ans, pendant l'hiver.
Les symptômes peuvent être plus forts et la fatigue peut persister pendant longtemps, allant de quelques semaines à plusieurs mois. La période de contagion de la mononucléose débute quelques jours avant l'apparition des symptômes et peut durer jusqu'à 20 mois après sa guérison.
Les syndromes douloureux abdominaux au cours de la mononucléose infectieuse sont rares et habituellement rapportés à une hépato- ou une splénomégalie.
Si un individu tousse, postillonne, éternue, il peut transmettre la maladie. La contagion est maximale durant la phase aiguë, notamment lorsque le patient a de la fièvre.
Le virus d'Epstein-Barr est un membre de la famille des virus herpes qui infecte les lymphocytes du système immunitaire et certaines cellules de la muqueuse de la bouche et du pharynx.
des nausées, vomissements ; une forte fièvre (vespérale) souvent supérieure à 39 °C. « Le patient peut présenter des frissons et souvent des courbatures pendant une à deux semaine(s) » ; une angine douloureuse avec des difficultés à déglutir.