Si malgré tout, le mal des transports se déclare, trouver un moyen de prendre l'air ou s'allonger quelques minutes avec un linge frais et humide sur le front peut vous permettre de vous sentir mieux. En cas de vomissements, il faut boire pour éviter de se déshydrater, de préférence des boissons sucrées.
- Ne pas consommer alcool, tabac, café avant et pendant le trajet. Eviter également les aliments gras et/ou épicés pendant le transport. - Si possible conduisez car cela permet d'anticiper les virages et d'être donc moins malade.
Le fait d'être malade lors d'un déplacement s'explique par la contradiction entre les données transmises par les yeux (qui perçoivent un mouvement, un virage par exemple) et les renseignements envoyés par le vestibule (organe de l'équilibre qui se situe dans l'oreille interne).
Privilégiez une nourriture solide plutôt que liquide. Renoncez à l'alcool, au tabac et au café, avant et pendant le voyage. Maintenez la tête droite, sans faire de mouvements brusques pendant le voyage. En voiture, installez-vous à l'avant à côté du conducteur, ou à l'arrière au milieu, et regardez loin devant vous.
Mangez légèrement avant de partir, et évitez l'alcool. Pendant le voyage il est préférable de regarder le paysage et d'éviter la lecture. Si vous vous sentez mal (étourdissements, accélération du pouls et de la respiration), allongez-vous et fermez les yeux. Respirez profondément et laissez votre corps se détendre.
Le mal des transports, ou cinépathie, survient en voiture, mais aussi en bateau (c'est le mal de mer) et en avion. Eh oui, quand il n'est pas immobile sur terre, l'organisme est chamboulé : le cerveau reçoit des informations contradictoires qu'il est incapable de trier. Et c'est la nausée.
Il réagit en déclenchant une nausée destinée à évacuer les toxines. Le conducteur est protégé dans la mesure où son cerveau est concentré sur la conduite. Paradoxalement, être malade en voiture signifie que le cerveau fonctionne bien.
Allongez-vous un peu ou allez vous promener. Dans certains cas, en respirant à fond et rapidement une dizaine de fois à la suite, l'envie de vomir peut s'atténuer, voire disparaître et éviter que le vomissement ne survienne. Après avoir vomi, ménagez votre estomac ; n'absorbez rien pendant quelques heures.
Remède de grand-mère. Certains remèdes de grand-mère peuvent s'avérer efficaces chez certaines personnes. Parmi eux, mettre un pansement (sparadrap) sur le nombril pour faire la route est une technique intéressante dans la mesure où elle fonctionne !
Plusieurs solutions pour travailler sa phobie de l'autoroute : La technique des TCC, Thérapies Cognitives et Comportementales, permet d'annuler les divers traumatismes vécus par le sujet pour lui permettre de reprendre la conduite.
Cinétose : traitements à suivre
Les anti-histaminiques : diménhydrinate (Nausicalm® ou Mercalm®), méclozine (Agyrax®). La scopolamine : Scoburen®, Scopoderm®. Les deux traitements sont contre-indiqués en cas de glaucome ou de troubles urinaires consécutifs à une atteinte de la prostate.
Le mal des transports (également appelé cinétose ou naupathie) peut accompagner un déplacement en mer (mal de mer), en avion (mal de l'air), en train ou en voiture. Ce problème est fréquent et habituellement bénin. Certaines mesures permettent de prévenir souvent sa survenue.
La meilleure pour lire sans être malade est celle du copilote, car on y sent moins les mouvements. Si vous êtes chanceux et que vous pouvez l'occuper, optez pour une position confortable en étant le plus allongé possible, avec les jambes surélevées.
Cette affection laisse aux patients la sensation d'être continuellement en mouvement, et survient le plus souvent un ou plusieurs jours après une croisière ou un voyage sur l'eau.
Dans le mal des transports : Comprimé : Adulte : 2 comprimés 3 fois par jour, à prendre la veille et le jour du voyage. 2 comprimés dès l'apparition des symptômes pendant le voyage, à renouveler si nécessaire.
Pourquoi est-t-on malade en voiture ou dans un autre moyen de transport ? Le mal des transports est dû à une réponse inadaptée du cerveau, liée à une opposition entre les informations fournies par les yeux et celles données par le vestibule (organe de l'équilibre situé dans l'oreille interne).
Les antihistaminiques : dimenhydrinate (Mercalm®, Nausicalm®) ou diphénhydramine (Nautamine®) Ces médicaments diminuent les risques de nausées.
Le mal de l'air se manifeste par des nausées (parfois avec vomissements), des maux de tête et des vertiges. La sécheresse de l'air peut entraîner une déshydratation et une sensation de peau très sèche. Les porteurs de lentilles de contact peuvent éprouver des sensations désagréables au niveau des yeux.
Les médicaments à base de dompéridone (Motilium®, Peridys®, Oroperidys®), métoclopramide (Anausin métoclopramide®, Primperan®, Prokinyl LP®) ou métopimazine (Vogalène®) et leurs génériques sont indiqués pour soulager les nausées et les vomissements dans les cas de gastro-entérite, infection virale…
Le coca permet de faire le plein de glucide
Par ailleurs, le Coca, comme toutes les boissons, permet au corps de se réhydrater en cas de vomissements et de diarrhée. Ça ne vous rappelle rien ? La gastro, bien sûr ! Et le sucre du Coca permet au corps de refaire le plein de glucides.
La camomille. La camomille est recommandée en cas de troubles du sommeil mais également en cas de problèmes digestifs tels que ballonnements, ulcères, nausées, vomissements ou gastro-entérite. En infusion, après le repas, elle soulagera les estomacs malmenés et réduira la sensation de nausées.
Limiter les mouvements
Veillez à être bien calé, en réduisant au minimum les mouvements de la tête et du corps ; Si le besoin s'en fait sentir, installez-vous en position semi-couchée et fermer les yeux ; Demandez au conducteur de conduire avec le moins d'accélérations ou de décélérations possibles.
Le syndrome du mal de débarquement (MdDS) est caractérisé par la persistance d'une sensation de mouvement (> 1 mois), souvent suite à un déplacement en moyen de transport. Les symptômes sont nettement diminués lors d'une nouvelle exposition à un mouvement passif. Les femmes sont plus fréquemment atteintes.
Un niveau de stress multiplié par deux ou par trois
Une étude britannique a montré par exemple que les personnes se rendant à leur travail en transport en commun ont un niveau de stress trois fois plus élevé que celles s'y rendant à pied.