Le traitement des TOC ou troubles obsessionnels compulsifs repose sur la prise d'antidépresseurs. Une psychothérapie, agissant sur les comportements et les pensées, est aussi possible (en particulier chez les enfants). Ces deux types de traitements peuvent être associés.
Une activité physique est recommandée ainsi que la relaxation. Après consultation d'un médecin, certains médicaments comme les neuroleptiques et les antidépresseurs peuvent réduire l'apparition d'obsessions. Des thérapies de groupe ou des produits de santé naturelle peuvent apaiser et réduire les obsessions.
L'obsession amoureuse se caractérise par une idéalisation de l'autre, une vision déformée de la réalité, un besoin maladif de voir l'être aimé, de s'imaginer en couple à ses côtés. Elle intervient dans une relation réelle ou imaginaire ou après une rupture.
Occupez plutôt votre cerveau à autre chose. Les jeux vidéo et les jeux de société sont très utiles pour cela. Vous pouvez également lire un livre, regarder la télévision ou téléphoner à un ami. Trouvez-vous quoi que ce soit qui requiert assez de concentration pour détourner votre pensée de ce que vous ruminez.
Moment présent. Une bonne solution pour faire le vide dans sa tête est de ralentir et de vivre le « moment présent », de vous permettre de vous détendre en focalisant votre esprit sur une chose en particulier, ce qui affûtera aussi votre conscience. Par exemple, prenez le temps d'apprécier votre repas.
Au moment où vous voulez bloquer la pensée, essayez de mettre une limite et de déplacer cette préoccupation à une certaine heure. Il peut être plus facile dans ces cas-là de déplacer son attention sur une autre activité : comme faire du sport, voir un ami, regarder un film ou une série, faire des courses ou cuisiner.
Il s'agit d'un manque de confiance en soi présent depuis toujours, ou qui était latent et le fait d'avoir été victime d'une trahison amoureuse. Les hommes et les femmes qui ont une pensée obsessionnelle ont souvent l'impression que la personne est meilleure qu'eux ou elles et qu'il est normal de se comporter ainsi.
Le manque d'estime de soi est souvent à l'origine de la dépendance affective. Il peut se traduire par un sentiment d'inutilité, d'échec, par un manque de confiance en soi et par des relations déséquilibrées. Les états anxieux, le repli sur soi, la dévalorisation sont alors symptomatiques du manque d'estime de soi.
Selon la psychologue Bluma Zeigarnik, le cerveau de l'être humain n'arrive pas à oublier les tâches qu'il a commencées et qu'il n'a pas pu achever. Même s'il en a accompli d'autres à côté, il va toujours avoir tendance à se focaliser sur ce qu'il n'a pas terminé.
Rester à l'écoute de ses émotions (positives).
Et lorsqu'on va les écouter, on sait qu'il se passe quelque chose en nous. Une fois qu'elles ont fait leur rôle, qu'on les a écoutées, elles vont se calmer naturellement. Et si une émotion se calme, les ruminations, les pensées liées vont également se passer.
Survenant à tout moment, elle se manifeste de différentes façons. Des peurs physiques : faisant l'objet d'interminables vérifications dans le miroir. Des pensées agressives : notamment des pensées de violence envers ses proches ou soi-même. Le patient instaure des rituels pour s'en protéger.
Elle est caractérisée par des symptômes spécifiques circonscrits essentiellement au niveau de la pensée, témoignant d'un conflit entre les pulsions sadiques et le surmoi. Ces symptômes sont dominés par des pensées (des obsessions) qui assaillent le patient contre sa volonté.
La réflexion excessive peut avoir pour origine le doute de soi ou un manque d'estime de soi, elle peut être liée au stress et à l'anxiété, ou encore être le résultat de traumatismes passés ou d'expériences négatives dans la vie.
La personnalité obsessionnelle compulsive se manifeste à travers plusieurs signes : Une incapacité à se séparer des objets usés ou inutiles, en dehors de toute valeur sentimentale. Des préoccupations pour les règles et les détails. Un entêtement, une rigidité
Les benzodiazépines sont les principales substances utilisées pour traiter l'anxiété aiguë (effet dit anxiolytique, voire sédatif). Le médicament agit après une seule prise, en 5 à 15 minutes environ, selon la dose absorbée et la sensibilité du patient.
Le traitement repose sur la psychothérapie psychodynamique, la thérapie cognitivo-comportementale et la prise d'inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine. (Voir aussi Revue générale des troubles de la personnalité en apprendre davantage .)
L'entourage doit donc les aider à se rendre compte que l'obsession est disproportionnée et qu'elle ne répond pas à des critères de normalité. Il faut aider les personnes à revenir à des choses cohérentes. L'entourage doit leur faire prendre conscience de cela.
Comme les personnes atteintes de trouble de la personnalité obsessionnelle compulsive ont besoin d'avoir le contrôle, elles ont tendance à faire les choses seules et à se méfier de l'aide des autres. Le trouble de la personnalité obsessionnelle compulsive est l'un des troubles de la personnalité les plus courants.
Pratiquez le lâcher-prise : prenez des pauses, ce n'est pas plus compliqué que cela. Pour ceux/celles qui ne peuvent s'arrêter de penser, ou de souffrir d'angoisse, de stress ou de culpabilité qui vous empêchent de tranquiliser votre esprit, pratiquez aussi la méditation, la sophrologie ou encore le yoga.
Tenter la méditation
Une fois au calme, installez-vous confortablement et respirez profondément. Pensez à une personne ou à un lieu que vous aimez et laissez votre esprit vagabonder. Après avoir fait le plein de pensées positives, cherchez à trouver la paix. Chassez le stress, les tensions, les rancœurs...