Le virus HPV se transmet par contact des muqueuses ou de la peau, presque exclusivement lors des rapports sexuels, avec ou sans pénétration. Chacun, chacune peut être exposé(e) à une infection à HPV quelle que soit sa sexualité : hétérosexuelle comme homosexuelle, bisexuelle, transgenre (LGBT).
Elle se fait par l'intermédiaire d'objets souillés : vêtements, sous-vêtements en particulier, surfaces de contact... Ce type de transmission est possible mais reste rare. Elle est essentiellement périnatale. Cette contamination n'est possible que si l'infection à HPV est active chez la mère.
Est-ce que la femme peut transmettre les papillomavirus (HPV) à l'homme ? Oui, ces virus sont sexuellement transmissibles, dans les deux sens !
Comment savoir si j'ai un papillomavirus (HPV) à risque ? Le papillomavirus à risque étant asymptomatique, la seule façon de dépister précocement les lésions induites est de faire faire régulièrement, chez son gynécologue ou médecin traitant, un prélèvement cervico-utérin appelé "frottis".
Les HPV se transmettent presque exclusivement lors des rapports sexuels. L'homme tout comme la femme peut être porteur sain, c'est à dire potentiellement transmettre le virus sans qu'aucun symptôme extérieur visible n'indique sa présence.
En cas d'infection à HPV, vous pouvez continuer à avoir des rapports sexuels. L'infection à HPV est très fréquente et le plus souvent transitoire. La plupart du temps, le système immunitaire permet d'éliminer spontanément ces virus et les infections sont sans conséquence.
Contrairement à d'autres infections ou maladies sexuellement transmissibles, le Papillomavirus n'est pas présent dans la salive, le sang ou le sperme.
Les Human Papillomavirus (HPV) font partie des infections sexuellement transmissibles les plus répandues: environ 70 à 80% de la population sexuellement active sera en contact avec ces virus au cours de sa vie sexuelle.
La vaccination contre le PVH ainsi que le dépistage et le traitement des lésions précancéreuses sont un moyen efficace et économique de prévenir le cancer du col de l'utérus. Le cancer du col de l'utérus peut être guéri s'il est diagnostiqué à un stade précoce et traité rapidement.
Sans que ce soit lié à une nouvelle infection, le papillomavirus humain (HPV) peut se réactiver chez les femmes après la ménopause suite à une infection acquise des années auparavant, et ces infections peuvent rester ainsi, à l'état latent jusqu'à durant 2 ans, en dessous des limites de détection, un peu comme le virus ...
Il n'existe aucun médicament qui guérit le VPH, mais on peut se faire vacciner contre certaines souches du virus. L'usage régulier de condoms peut réduire, mais non éliminer le risque de contracter ou de transmettre le VPH lors des relations sexuelles.
La période la plus à risque de contamination par le papillomavirus chez l'homme et la femme se situe au tout début de la vie sexuelle. L'infection se transmet pendant les rapports sexuels, sans qu'il n'y ait pénétration, mais simplement par contact.
Comme le rappelle le spécialiste, par ailleurs président du Groupe de recherche en proctologie (GREP) de la Société nationale française en coloproctologie : « En fait, tout le monde est infecté par des HPV au niveau de l'anus, du pénis et du col, mais très peu vont développer un cancer car la plupart éliminent ...
Chances de guérison et cancer du col de l'utérus
Les taux de guérison sont élevés mais dépendent du stade. Lorsque le cancer du col de l'utérus est : microscopique (micro-invasif), il est proche de 100 % limité au seul col utérin, 80 à 85 % des malades peuvent être guéries.
Condylomes (symptômes d'infections par les VPH à faible risque de cancer) Les condylomes sont des verrues qui se manifestent sous forme de petites bosses sur la peau ou les muqueuses : des organes génitaux (pénis, scrotum, vulve, vagin, anus); parfois, de la gorge.
Les signes et symptômes du cancer du col de l'utérus comprennent ceux-ci : saignements vaginaux anormaux, entre autres entre les menstruations, après la ménopause et à la suite de relations sexuelles. pertes vaginales anormales ou plus abondantes. pertes vaginales malodorantes.
Des douleurs pelviennes peuvent être l'un des symptômes d'alerte d'un cancer du col de l'utérus. "Malheureusement le plus souvent, quand la femme a mal au niveau de la région pelvienne (partie basse du ventre), on est sur un cancer qui est déjà bien avancé", prévient le Pr Carcopino.
La plupart des infections à VPH sont asymptomatiques et disparaissent sans traitement en moins de deux ans.
Dans la majorité des cas, l'infection génitale à HPV apparaît dans les 5 à 10 ans après les premiers rapports sexuels. Elle est le plus souvent bénigne et va disparaître spontanément.
Les papillomavirus sont particulièrement contagieux. On estime que jusqu'à 80 % des hommes et femmes sexuellement actifs entrent en contact avec un papillomavirus une ou plusieurs fois au cours de leur vie. Les infections se transmettent aussi régulièrement via la main et la bouche.
Les papillomavirus humains (HPV) de type 16 et 18 sont responsables de 70% des cancers du col de l'utérus. La contamination se fait le plus souvent dans les premières années de la vie sexuelle et environ 80 % des femmes sont exposées à ces virus au cours de leur vie.
Est-il possible d'avoir un frottis normal et un test HPV positif ? Oui, en fonction de l'âge de la patiente, il est dans ce cas recommandé de répéter le test HPV. La persistance de cette infection au-delà de 12 mois impose de réaliser des investigations complémentaires (colposcopie, biopsie..).
Le risque de cancer varie suivant les génotypes : les génotypes 16, 18, 31, 33 et 35 sont les plus dangereux. D'autres HPV provoquent des dysplasies bénignes : les condylomes ano-génitaux.
Si vous remarquez des lésions ou des verrues sur la langue, le palais mou ou les amygdales, il est possible que vous soyez infecté par le virus du papillome humain (VPH).
La réponse de l'expert
Il n'y a aucune raison que la présence de papillomavirus entraîne de telles douleurs, surtout si votre col de l'utérus est sain. Les douleurs peuvent venir de votre colonne vertébrale ou bien de votre tube digestif, le Xanax n'étant pas connu pour provoquer de telles douleurs.