Ce sont en réalité des signaux électriques, encore appelés influx nerveux, qui transitent de neurone en neurone. Et oui, le cerveau produit et fait circuler de l'électricité ! Ces impulsions électriques, captées par le neurone via les dendrites, naviguent jusqu'au corps cellulaire qui traite l'information.
Dans le cerveau, les informations circulent sous forme de messages électriques, appelés influx nerveux, de neurones en neurones. Depuis les dendrites, elles vont vers le corps cellulaire où elles sont traitées et naviguent jusqu'aux synapses via l'axone.
Comme nous l'avons vu précédemment, pour qu'un son arrive de l'oreille jusqu'au cerveau, l'oreille interne envoie l'onde sonore sous forme de décharges électriques jusqu'au cerveau par l'intermédiaire du nerf auditif (ou cochléo-vestibulaire) se trouvant dans le tronc cérébral.
La moelle épinière
Elle reçoit des informations sensorielles de toutes les parties du corps en dessous de la tête. Elle utilise ces informations pour générer les réflexes, par exemple, en réponse à une douleur, et elle transmet également les informations sensorielles au cerveau notamment dans le cortex cérébral.
C'est la structure particulière de ces cellules appelées neurones qui permet la propagation du message. De nature électrique le long des neurones, ce message est transmis de manière chimique d'un neurone à l'autre au niveau des synapses, par l'intermédiaire des neurotransmetteurs.
le neurone pyramidal ; le neurone bipolaire ; le neurone à orexineneurone à orexine.
Et c'est la synapse, soit la zone située entre deux cellules nerveuses, qui assure la transmission des informations entre ces deux cellules nerveuses. Et ainsi, la synapse est donc la structure histologique par laquelle l'axone d'un neurone s'articule avec les dendrites d'un autre neurone.
Hirsch conclut que le courant nerveux fait deux mètres en six centièmes de seconde ; sa vitesse est donc de 34 mètres par seconde.
Il est constitué de trois parties principales: Le cerveau proprement dit remplit une très grande partie de la boîte crânienne. Il contrôle la mémoire, la résolution de problèmes, la pensée, les sensations ainsi que les mouvements.
La propagation de l'influx nerveux
Dans le neurone, l'influx nerveux circule toujours dans le même sens. Il est d'abord reçu par les dendrites qui l'acheminent ensuite au corps cellulaire. De là, l'influx circule du corps cellulaire vers l'axone pour aboutir aux terminaisons nerveuses de l'axone.
Les fibres du nerf auditif transmettent au cerveau les messages codés dans la cochlée. Dans le cerveau, plusieurs relais (groupes de neurones) reçoivent ce message et le décodent (son fort ou faible, aigu ou grave, localisé dans l'espace, ...) pour en faire à l'arrivée une sensation ou une perception consciente.
La moelle épinière a donc 3 rôles: transmettre les messages nerveux moteurs commandées par le cerveau. transmettre les informations sensitives captées par la peau et les muscles jusqu'au cerveau.
Un message nerveux moteur emprunte la racine ventrale de la moelle épinière, puis circule dans un neurone moteur (ou motoneurone) jusqu'au muscle. Les terminaisons nerveuses de ce dernier sont en contact avec les fibres musculaires au niveau d'une plaque motrice.
La transmission du message nerveux d'un neurone à l'autre s'effectue au niveau d'une synapse. La nature et le codage du message sont alors modifiés. Une substance chimique, le neurotransmetteur, libérée en quantité plus ou moins importante va assurer la transmission du message dans l'espace synaptique.
On distingue deux types de synapses selon le mode de communication qu'elles utilisent : les synapses électriques et les synapses chimiques. Les synapses électriques permettent de transférer l'information de manière bidirectionnelle (chaque neurone reçoit et renvoie), rapide et fiable.
Les lieux de la mémoire
Mémoire sensorielle ou perceptive : elle implique différentes régions à proximité des aires sensorielles et le cortex préfrontal. Mémoire sémantique : elle fait intervenir des régions étendues comme les lobes pariétaux et temporaux mais aussi le néocortex, l'hippocampe et l'amygdale.
Âgé de 10 ans, Jean-Baptiste Franklin devient l'enfant le plus intelligent du monde. Grâce à une malformation de la naissance qui lui procure 3 cerveaux lui permettant d'atteindre un QI de 379. Ayant le double du quotient intellectuel d'Einstein, le jeune Franklin possède une super mémoire.
Pour comprendre la mélatonine, il faut passer par le cerveau, et plus précisément par sa base, là où est situé l'hypothalamus. C'est en effet dans cette partie du cerveau que le processus de veille et de sommeil est régulé.
Le quotient intellectuel normal d'un adulte est compris entre 90 et 110, Jean-Baptiste Franklin, un enfant de 10 ans a un QI de 319. Il entre ainsi dans l'histoire en devenant officiellement, en 2018, l'enfant le plus intelligent du monde.
Les bases pour améliorer la vitesse de traitement sont reliées au développement des stratégies métacognitives. La clé pour améliorer la vitesse de traitement consiste à réaliser des connexions très solides au niveau du cerveau, ce qui permet aux signaux cérébraux de voyager à une plus grande vitesse.
L'influx nerveux se propage le long des neurones à une vitesse comprise entre 1 et 100 m/seconde, et notamment aux alentours de 50m/s pour les nerfs des membres. Cette vitesse n'atteint pas celle de la lumière, de l'ordre de 300 000 km/s, ni même celle du son qui est d'environ 300 m/s.
La communication entre deux neurones se fait par l'intermédiaire de substances chimiques appelées neurotransmetteurs libérés dans la fente synaptique. Ces substances diffèrent suivant les synapses. Elles sont produites par le neurone qui envoie le message et elles sont reconnues par le neurone qui le reçoit.
La dopamine est l'une des nombreuses substances chimiques qui sert de neurotransmetteur dans le cerveau. Comme la noradrénaline, la dopamine est synthétisée à partir de l' acide aminé tyrosine. Elle est produite par les neurones dopaminergiques, peu nombreux dans le cerveau, et libérée dans le noyau accumbens.
Les différentes étapes de la transmission synaptique chimique comportent ainsi: La synthèse des neurotransmetteurs et leur incorporation dans les vésicules présynaptiques. La libération du contenu des vésicules dans l'espace synaptique en réponse à un PA présynaptique.
Comme la plupart des cellules, les neurones peuvent mourir de deux manières différentes : par nécrose ou par apoptose. La nécrose est produite par un traumatisme aigu, chimique ou mécanique. La cellule gonfle puis se détruit (lyse) et son contenu se disperse dans le milieu extracellulaire.