Pratiquez le lâcher-prise : prenez des pauses, ce n'est pas plus compliqué que cela. Pour ceux/celles qui ne peuvent s'arrêter de penser, ou de souffrir d'angoisse, de stress ou de culpabilité qui vous empêchent de tranquiliser votre esprit, pratiquez aussi la méditation, la sophrologie ou encore le yoga.
Apprendre à bien respirer pour s'endormir
Disciplinez votre respiration pour mieux oxygéner votre cerveau et faire le vide dans votre tête. Répétez 3 fois de suite cet exercice : Inspirez lentement par le nez en comptant jusqu'à 4, bloquez l'air pendant 7 secondes et expirez-le en comptant jusqu'à 8.
La réflexion excessive peut avoir pour origine le doute de soi ou un manque d'estime de soi, elle peut être liée au stress et à l'anxiété, ou encore être le résultat de traumatismes passés ou d'expériences négatives dans la vie.
Prendre quelques minutes pour soi
Boire un thé, feuilleter un magazine, faire une séance de yoga ou encore ne rien faire est parfait pour la déconnexion professionnelle. Vous offrez à votre corps et à votre esprit un moment de lâcher-prise pour ensuite mieux vous consacrer à autre chose.
Une méthode efficace consiste à pratiquer la respiration profonde avec les poumons vides. Asseyez-vous confortablement et videz complètement vos poumons en expirant lentement par la bouche. Ensuite, inspirez profondément par le nez en sentant l'air remplir vos poumons.
DESSINER, GRIBOUILLER, CHANTER !
Ce sont ces moments de « flux », c'est-à-dire les instants où vous êtes tellement absorbé. e. par ce que vous faites que vous oubliez tout ce qui vous entoure.
La méditation vous exerce à libérer votre esprit des idées du passé et des soucis de l'avenir, à vous concentrer sur le moment présent comme sur votre respiration. Elle peut clarifier vos pensées et réduire votre stress. Rire fait toujours du bien : le corps libère de l'endorphine, comme lors de l'activité physique.
Ce problème courant peut être résolu grâce à quelques gestes apaisants qui permettent de détendre les tensions musculaires et d'aider l'esprit à s'apaiser. La respiration, les souvenirs heureux, l'écriture, les techniques visuelles ou quelques gouttes d'huile essentielle de lavande peuvent suffire.
Nous pouvons le vivre de multiples manières : prendre le temps de ne rien faire et laisser la fatigue se déverser doucement hors de soi, retrouver le plaisir des petites choses et les vivre en conscience, se faire du bien et prendre soin de soi, se balader et regarder le monde et les gens qui nous entourent avec un ...
Faire une séance de méditation, de yoga ou des étirements peut vous aider à vous reconnecter avec votre corps et votre esprit après le travail. 15 minutes peuvent suffire à vous détendre et aborder le reste de la soirée plus sereinement. Choisissez un espace calme de votre intérieur, où vous vous sentez bien.
des troubles du sommeil (insomnies) ; une perte de l'élan vital, un manque d'entrain, une démotivation ; une dégradation de l'état physique : diminution de l'appétit, douleurs multiples...
Faites du sport, allez marcher, lisez, peignez... Ou dormez, tout simplement. Peut-être pouvez-vous impliquer votre famille dans la propreté de la maison ou la préparation des repas, ou déléguer des tâches professionnelles à certains de vos collègues.
Pour ne pas vivre dans la projection future, il faut essayer de tout faire consciemment, manger, parler, marcher, observer. Je dirais même plus: CONTEMPLER. Prendre le temps de faire en pleine conscience, de s'étonner de la beauté qui nous entoure et ainsi apprécier le moment présent de façon exponentielle.
Pathologie identifiée et définie par la professeure de psychologie Susan Nolen-Hoesksema, l'overthinking est “la propension à ressasser en boucle, de façon obsessionnelle, un certain nombre de pensées ou de sentiments négatifs”.
Il s'agit d'un mécanisme central dans les troubles anxieux, fréquent chez les personnes anxieuses, bien sûr, et ayant une faible estime d'elles-mêmes. En écoutant (trop) leurs pensées, elles se persuadent de la forte probabilité d'occurrence de ce qu'elles imaginent, alors même que la réalité est toute autre.