Ce qu'il est possible de faire pour secourir les blessés : il faut s'assurer que la personne accidentée puisse respirer et que les voies respiratoires soient dégagées. il faut également rassurer la victime en lui parlant. Il faut également éviter de parler de ses blessures, pour ne pas la faire paniquer.
Couvrez le blessé : un blessé en état de choc a toujours froid ; Demandez aux badauds de vous aider... ou de s'éloigner. Si le blessé saigne abondamment : essayez d'arrêter l'hémorragie en comprimant la plaie avec un gros pansement (serviette par exemple)
➢ FAIRE ALERTER OU ALERTER, ➢ SECOURIR. Selon la nature de l'accident, le nombre de victimes ou l'état de la victime et le nombre de personnes présentes sur les lieux, l'ordre et le contenu de ces actions peuvent changer.
D'assurer les gestes de premiers secours. De savoir qui alerter et comment, qu'il soit à l'intérieur ou à l'extérieur de l'entreprise. De participer éventuellement à la mise en œuvre d'actions de prévention et de protection.
Même si les victimes réclament de l'eau, il est interdit de leur en donner, car cela peut provoquer des étouffements et si une opération est nécessaire, elles devront être à jeun.
Allongez la victime en position horizontale. Demandez à une personne présente d'alerter les secours ou faites-le vous-même si vous êtes seul. Si la plaie continue de saigner, comprimez-la encore plus fermement. Poursuivez la compression sur la plaie jusqu'à l'arrivée des secours.
Maintenez vos mains en position sur le sternum. La durée de la compression doit être égale à celle du relâchement de la pression de la poitrine. Effectuez 30 compressions thoraciques à une fréquence de 100 par minute, soit environ 2 compressions par seconde.
Contacter les numéros d'urgence (le 15, le 18 ou le 112) pour qu'une équipe médicale vienne le plus rapidement possible. En attendant l'arrivée des secours, parler à la victime pour la maintenir en état de conscience.
En premier lieu il faut toujours assurer sa propre sécurité : mettez un gilet jaune réfléchissant, descendez par la droite du véhicule, placez l'ensemble de vos passagers derrière la glissière de sécurité, si elle existe, ou le plus loin possible de la chaussée, allumez les feux de détresse.
Disposez le bras de la victime le plus proche de vous à angle droit de son corps. Pliez ensuite son coude tout en gardant la paume de sa main tournée vers le haut. Placez-vous à genoux ou en trépied à côté de la victime.
La femme enceinte doit être installée sur son côté gauche, pour éviter la compression de certains vaisseaux.
Si la victime est inconsciente et qu'elle ne respire pas, commencez tout de suite la réanimation cardio-respiratoire ou réanimation cardio-pulmonaire, c'est-à-dire le massage cardiaque en alternance avec la respiration artificielle.
Lorsqu'une personne tombe dans un coma plus ou moins profond, certains de ses muscles peuvent se relâcher, y compris ceux de la sphère orale tractant la langue vers l'avant. La PLS permet d'éviter à sa langue de chuter au fond de la cavité buccale (glossoptose), ce qui pourrait obstruer ses voies respiratoires.
A aucun moment, il ne faudra allonger la victime ou pencher sa tête en arrière. En effet, dans cette position, le sang coule dans l'arrière gorge ; ce qui peut provoquer des vomissements et ne permet pas la formation d'un caillot.
La compression se fait simplement avec la main, ou si possible avec des compresses stériles ou un pansement « américain ». Si la victime est sur le dos et que l'hémorragie siège sur un membre, on surélève le membre pour diminuer l'afflux sanguin.
repérer les situations dangereuses dans son entreprise et savoir à qui et comment relayer ces informations ; participer à la mise en œuvre d'actions de prévention et/ou de protection.