L'alerte : alerter un service d'urgence.
Par cette action, la personne qui intervient s'assure qu'un renfort secouriste ou médical se mettra bien en route pour prendre en charge la victime. Pour savoir quel numéro appeler en fonction du pays et de la situation, voir l'article spécifique : numéro d'appel d'urgence.
porter secours à la victime avec des gestes simples, mais aussi prévenir les complications immédiates des lésions corporelles causées par l'accident – sans tenter néanmoins d'en réparer les conséquences ; garantir sa propre sécurité et celle des personnes présentes sur les lieux de l'accident.
On recommande souvent à l'inverse de tourner la personne, si possible, sur son côté gauche : cela a de l'importance dans le cas d'une femme enceinte ou d'une victime obèse (voir plus bas), et certains mettent en avant qu'en raison de la dissymétrie de l'estomac, cela serait plus efficace pour éviter les écoulements de ...
L'objectif de cette formation est d'empêcher l'aggravation de l'état de la victime et préserver son intégrité physique en attendant l'arrivée des secours.
Même si les victimes réclament de l'eau, il est interdit de leur en donner, car cela peut provoquer des étouffements et si une opération est nécessaire, elles devront être à jeun.
Serrez un poing et placez-le sur la moitié inférieure du sternum. Saisir le poing avec l'autre main. Délivre une compression ferme vers l'intérieur en tirant fortement les deux bras vers l'arrière. Répéter rapidement la compression 6 à 10 fois selon les besoins.
Commencez par 30 compressions thoraciques, puis 2 insufflations. Alternez ensuite les 2 actions et poursuivez la réanimation jusqu'à l'arrivée des secours d'urgence ou une reprise normale de la respiration.
Tournez la victime sur le côté en position latérale de sécurité ; Demandez à quelqu'un d'appeler les secours ou allez chercher de l'aide si vous êtes seul ; Vérifiez régulièrement la respiration de la victime jusqu'à l'arrivée des secours.
Penchez-la vers l'avant en soutenant sa poitrine d'une main, ce qui permettra à l'objet obstruant les voies aériennes de ne pas s'enfoncer davantage dans la trachée. Administrez un maximum de 5 claques entre les omoplates. Chaque claque a pour but de provoquer un mouvement de toux permettant de déloger l'objet.
Comment faire son plan d'évacuation
2 trajets par pièce pour se rendre aux sorties de secours; le point de rassemblement situé à l'extérieur de la maison et accessible en toutes saisons; l'emplacement des avertisseurs de fumée, de monoxyde de carbone (CO) et des extincteurs portatifs.
- Couvrir la victime, lui parler, la réconforter. - Demander aux autres passants d'aider. - Ne donner ni à manger ni à boire à un blessé. - Si la victime porte un casque, le lui laisser.
Appeler les secours
Si la situation l'impose, appelez immédiatement les pompiers (le 18) ou le SAMU (le 15). Bon à savoir : vous pouvez appeler gratuitement ces numéros d'urgence depuis n'importe quel téléphone, sans avoir besoin de le déverrouiller.
En cas d'hémorragie absolue, les colloïdes sont les solutés de choix dans l'attente de l'arrivée de culots globulaires ou du contrôle des lésions responsables de cette hémorragie, avec une préférence pour les HEA (minoration de réaction anaphylactique).
allonger la victime, surélever légèrement, si possible, la zone blessée, comprimer manuellement l'hémorragie, à l'aide de compresses ou de linge sec et non souillé : drap, torchon propre, serviette de toilette. Il faut exercer une compression suffisante pour arrêter le saignement.
Si le saignement est abondant, comprimer la plaie avec un tampon hémostatique. Cette compresse stérile va en effet favoriser la coagulation en retenant le sang au niveau de la plaie et absorber les éventuels exsudats.
Adopter les comportements qui sauvent, c'est être acteur de sa propre sécurité et de celle de ses proches : savoir éviter les dangers, réagir de façon adaptée face à une menace, connaître les bons réflexes et les bons gestes pour ne pas être démuni face à l'urgence, quelle qu'elle soit.
Victime consciente :
Une victime consciente est en mesure de répondre aux questions qu'on lui pose. Elle n'a pas tendance à s'assoupir et peut suivre votre regard. Elle est lucide et elle peut dialoguer.
"Si la personne est inconsciente et qu'elle ne respire pas ou de façon anormale, elle est considérée comme étant en arrêt cardiaque", insiste l'urgentiste. Il ne faut pas la mettre en PLS.
Pour cela, il faut contrôler que la poitrine se soulève et se rétracte régulièrement, on peut également mettre son oreille près de la bouche de la victime pour entendre des bruits de respirations. S'il s'avère que la victime respire encore, il n'est pas préconisé de réaliser un massage cardiaque.
Pourquoi ne faut-il pas laisser une personne en perte de connaissance allongée sur le dos ? Car elle risque un étouffement par : *Des liquides présents dans la gorge. *La chute de la langue en arrière.