Le monde du travail en 2050 sera certainement dominé par la technologie, l'intelligence artificielle et les assistants intelligents, tandis que la réalité augmentée ne cessera de gagner du terrain. Nous serons toujours plus connectés et nous manipulerons de grandes quantités de données.
Comment imaginer le travail du futur ? Si l'on en croit les résultats d'une étude menée par Citrix sur la thématique du travail du futur, les nouvelles technologies ne vont avoir de cesse de gagner du terrain. En 2025, 42% des métiers et 3 millions d'emplois pourraient être remplacés par des machines.
Mondialisation et compétitivité internationale, restructuration et délocalisation d'entreprises, changements technologiques et organisationnels, tertiarisation de l'économie, vieillissement et féminisation de la main-d'œuvre sont au nombre des facteurs qui transforment le monde du travail.
L'évolution du monde du travail nécessitera de nouvelles compétences et mettra l'accent sur l'apprentissage tout au long de la vie. L'automatisation et la robotisation, par exemple, augmenteront la demande de compétences techniques dans la résolution des problèmes et l'innovation.
Près de 26 millions de personnes ont un emploi, soit 64 % des personnes en âge de travailler (de 15 à 64 ans). Le secteur tertiaire concentre aujourd'hui 79 % des emplois. Les autres secteurs d'emploi sont l'industrie (12 %), la construction (6 %) et l'agriculture (3 %).
Pourquoi les Français ne veulent plus travailler? La réponse donnée par l'enquête du «Figaro Magazine» est limpide: parce qu'ils n'y trouvent pas de satisfaction salariale, pas de perspective d'avenir, de réconfort ou de lien social.
En moyenne, une personne change d'emploi entre 5 et 13 fois au cours de sa carrière. La durée moyenne au même poste est d'environ 5 ans. Selon Pôle Emploi, les jeunes actifs d'aujourd'hui changeront en moyenne 13 à 15 fois d'emploi au cours de leur vie.
Les mutations de l'organisation du travail ont des effets significatifs sur les conditions de travail. Les NFOT ont permis de remédier à certaines limites du modèle taylorien, jugé déshumanisant, en permettant la participation des salariés et en introduisant un principe de polyvalence et de recomposition des tâches.
Le développement d'emplois atypiques et du chômage rendent plus floues les frontières entre emploi, chômage et inactivité. La diffusion des technologies numériques produit une polarisation des emplois mais transforme également le rapport à l'entreprise et au temps de travail et hors travail.
Le travail désigne au sens large toutes les activités de production de biens et de services. La notion d'emploi désigne la situation dans laquelle ce travail est déclaré et rémunéré.
Le développement durable et l'environnement sont au cœur des préoccupations de nos sociétés. Des réglementations sur l'hygiène et les économies d'énergies sont mises en place. Des opérations de rénovation urbaine sont mises en place un peu partout pour donner une nouvelle attractivité au territoire.
Le fait que le travail soit devenu l'instrument par lequel on « décroche » de l'espace commun n'est pas étranger à cette perception : le travail a non seulement légitimé la soumission totale à l'organisation capitaliste mais en a fait la condition de l'accès à une place dans la société organisée.
La réponse tient en quelques mots. On travaille pour gagner sa vie, pour exister socialement (être connu et reconnu), voir des gens et enfin pour faire des choses qui nous intéressent : soigner, enseigner, construire ou réparer, faire la cuisine, écrire, etc.
Quel doit être votre talent en tant que futurologue ? « Il faut être un bon penseur de systèmes, avoir une curiosité incroyablement grande et étendue, être bon dans la reconnaissance d'habitudes, et combiner la pensée analytique et logique à la créativité.
Avec la digitalisation, de nombreuses tâches peuvent être automatisées, ce qui fait craindre le retour d'un chômage technologique. Mais c'est surtout la structure des emplois qui est bouleversée : on assiste à une polarisation de l'emploi avec ses conséquences en termes d'inégalités.
L'évolution de l'organisation du travail
Chaque époque a vu se développer ses modes d'organisation. Lors de l'ère l'industrialisation, le taylorisme et le fordisme faisaient partie des systèmes d'organisation du travail qui permirent des productions à grande échelle dans l'industrie.
En effet, le développement des plateformes numériques qui mettent en relation directe des travailleurs et leurs clients, telles qu'Uber, modifie les relations d'emploi. Ce phénomène d'ubérisation, permis par le numérique, renforce le phénomène de polarisation des emplois.
Quels sont les éléments, qui, à leurs yeux, constituent de bonnes conditions de travail ? D'après cette étude, le bien-être au travail passe avant tout (64%) par le respect, suivi de près par la reconnaissance, sélectionnée à 58% par les salariés interrogés lors de l'enquête menée.
Pour l'entreprise, les enjeux d'une amélioration des conditions de travail sont de quatre ordres : économiques, organisationnels, humains et juridiques. b. Les enjeux pour les salariés Pour les salariés, les enjeux des conditions de travail concernent la santé et la sécurité et la motivation.
"Souvent, on ne progresse pas car on ne sait pas se rendre assez visible. Au-delà de la compétence, le savoir-être et l'intelligence relationnelle permettent en effet de valoriser et de savoir communiquer sur ses résultats. Il faut donc apprendre à se vendre.
Quels sont les deux types d'évolution professionnelle ? On peut distinguer : l'évolution liée au métier (en raison de l'intérêt que l'individu porte à son métier sans qu'il y ait forcément à la clé une évolution de carrière), et l'évolution liée au statut.
Vivre sans travailler au cas par cas
Il est en revanche possible de donner quelques indications chiffrées. Concrètement, pour obtenir une rente de 1 500 euros chaque mois pendant 40 ans à partir d'un capital ayant un rendement de 2%, il vous faudrait épargner environ 474 500 €.