bouffon (n.m.) 1.au Moyen-âge, personne employée par un roi ou un noble pour le distraire ou l'amuser. 2.
Le bouffon, fou du roi, ou fou, est un personnage comique, dont la profession était de faire rire les gens. Les plus connus sont les fous des rois et les fous des seigneurs. Citons Triboulet, fou du roi François Ier . Il y a aussi des femmes « fous » ou « folles », par exemple Cathelot, folle de Catherine de Médicis.
burlesque, comique, extravagant, facétieux, grotesque. – Familier : cocasse. Contraire : austère, grave, précieux, puritain.
Le bouffon désignait autrefois une fonction très importante à la cour, d'un roi ou d'un seigneur : faire rire, distraire, par ses attitudes, par son langage. Et davantage : le bouffon du roi ou du seigneur est le vecteur d'une dérision, qui vise explicitement le pouvoir, et celui qui l'incarne.
Le sceptre grotesque étant l'attribut du fou du roi, la marotte (par extension figurée) prend aussi le sens de « objet d'une passion folle », attesté en 1618 et 1639.
À l'origine la marotte est un attribut des bouffons de cour et symbolise la folie. Par la suite elle est devenue un accessoire de déguisements de Carnaval.
niais, niaise
Qui est sot et gauche par excès de simplicité ou manque d'expérience : Son grand niais de fils.
Personne qui se fait remarquer par un comportement affecté, théâtral.
Personnage qui divertissait un seigneur. Personnage farceur. Personne ridicule.
1. Personne dont les plaisanteries font rire ; pitre : Le bouffon de la classe. 2. Personnage grotesque que les rois, les grands entretenaient autrefois pour se divertir de ses facéties.
L'histoire du rire aurait commencé il y a environ 14 millions d'années, chez un ancêtre commun à tous les primates, qui aurait émis par petites séries des cris prolongés et relativement lents. Ce rire aurait été assez monocorde, peut-être sur une note unique.
Personnage popularisé par le théâtre de marionnettes et caractérisé par deux bosses, l'une devant, l'autre derrière. 2. Marionnette, jouet en forme de Polichinelle.
D'un comique extravagant ; saugrenu, grotesque : Il n'a que des idées burlesques. 2. Se dit d'un spectacle, d'un film où l'humour et la caricature s'allient à un irrationnel échevelé.
En plus d'un film de super-héros, le premier volet est aussi une tragédie familiale : Norman « Bouffon vert » Osborn est le père du meilleur ami de Peter « Spider-Man » Parker.
Dispute et altercation, sont des mots synonymes.
Définition "cabotin"
n.m. Mauvais acteur qui surjoue.
Qui est gauche, maladroit, niais.
1. Qui manque par trop d'ouverture d'esprit, de finesse et qui se laisse facilement abuser : Une fille un peu simplette. 2. Se dit d'une idée, d'un jugement, etc., sans recherche ni finesse : Un raisonnement simplet.
niaise. niais/niaises. Un niais est un oiseau de proie que l'on élève dès le nid.
La mention « 10/6 » sur le chapeau du Chapelier signifie : dix shillings et six pence (ou une demi-guinée) le prix du chapeau en monnaie anglaise pré-décimale. Comme l'étiquette de prix du chapeau aurait normalement dû être retirée après l'achat, cela ajoute de la crédibilité au fait qu'il soit fou et/ou chapelier.
Le modiste est un créateur de chapeaux pour femmes à l'inverse du chapelier qui fabrique plutôt des chapeaux pour hommes. Au sein d'ateliers de fabrication artisanale, ces artisans confectionnent et réparent les chapeaux pour le compte de grands couturiers ou de créateurs de costumes de spectacles.
Lorsqu'une information censée être cachée est en réalité connue de tous, on dit parfois qu'il s'agit d'un «secret de Polichinelle». Une expression qui tire son origine du théâtre italien. Elle fait référence à un personnage de la commedia dell'arte : Polichinelle, inventé au XVIe siècle.
Étymologie. (1617) Emprunté à l'arabe طَبِیب , ṭabīb (« médecin »), via le maghrébin ṭbib. Terme d'argot militaire au XIX e siècle.