La projection implique aussi la modification de la nuque, plus petite et plus épaisse, celle du crâne, ainsi que celle du cerveau. Une deuxième paupière mobile pourrait également se développer afin de protéger les yeux de la lumière des écrans.
L'homme du futur sera peut-être plus grand qu'aujourd'hui mais il aura moins de dents (alimentation plus molle, voire pilules) et un petit cerveau (devenu moins utile avec les ordinateurs), un quadruple menton et moins de poils (vie dans des habitats bien chauffés), des grands yeux (communication davantage visuelle qu' ...
L'augmentation de la taille du cerveau et la dextérité des mains ont l'une après l'autre contribué aux développements de caractéristiques typiques des humains, comme le langage complexe, l'art et l'agriculture. Ces trois caractéristiques sont apparues au cours des 100 000 dernières années.
Les mutations de l'être humain
Dans 900 ans, à force d'avoir ses yeux rivés vers le bas pour consulter son smartphone, l'être humain aurait le dos voûté et une bosse. Son coude serait naturellement plié à 90 degrés, car adapté à la position prise pour tenir le téléphone. Le Text Claw (griffe à texto) serait généralisé.
Selon Kasun Ratnayake de l'Université de Tolède cité par le DailyMail, les humains du futur pourraient développer une paupière interne plus grande pour se protéger de l'exposition excessive à la lumière, ou avoir un cristallin, à l'intérieur de l'oeil, adapté à la lumière bleue.
L'espèce humaine a 300 000 ans, et les paléontologues nous disent qu'une espèce de vertébré est morphologiquement stable dans le registre fossile durant un million d'années maximum. Par conséquent, même si l'humain se croit exceptionnel, deux destins peuvent s'offrir à lui.
Au lieu d'être 10 milliards en 2050, ce que prévoit l'ONU, on ne sera que 2 ou 3 milliards. Donc, soit on sera mort, soit on aura des proches, des amis morts. Ce sera une espèce de tristesse, de dépression mondiale. Tout cela à cause du réchauffement climatique ?
On sera assez cheum
Un phénomène qui commence déjà puisque de plus en plus d'enfants naissent sans dents de sagesse, ces dernières ne servant plus à rien. Il se peut également qu'on ait des super méga double-mentons, et beaucoup moins de poils et des bras et des doigts très longs.
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
Dans 1000 ans, les hommes seront davantage connectés à la technologie. De minuscules appareils électroniques seront implantés dans le corps humain pour en renforcer le système immunitaire. La solution faciliterait alors la lutte contre les maladies. La technologie des nanobots pourrait révolutionner la chirurgie.
Certaines évolutions sont génétiques, d'autres sont liées aux modes de vie. Actuellement, l'Homme retrouve peu à peu la stature qu'il avait avant la période du Néolithique, un gain de taille que l'on doit à la baisse des maladies infantiles, mais aussi à son alimentation.
Contrairement à une idée reçue, l'homme continue d'évoluer. Le corps et le cerveau de nos ancêtres étaient aussi différents des nôtres que le seront ceux de nos descendants.
Les ondes dégagées par les smartphones ne sont pas bonnes pour notre cerveau, et le corps pourrait réagir en développant une masse osseuse plus dense autour de celui-ci, afin de le protéger.
Il y a environ…
2 700 000 ans : Apparition de l'Homo habilis et premiers outils débités. Les plus anciens connus ont été découverts à Lokalalei (Afrique, Kenya). 1 700 000 ans : premiers hominidés connus hors d'Afrique : Homo georgicus, en Géorgie (Eurasie).
La biologie prouve que la vie d'un nouvel être humain débute lors de la fécondation, au moment de la fusion du spermatozoïde du mâle et de l'ovule de la femelle (gamètes). L'union de 23 chromosomes du gamète masculin avec 23 chromosomes du gamète féminin crée une nouvelle cellule de 46 chromosomes.
En 2070, en fonction de l'augmentation de la population et des émissions, entre un et 3 milliards de personnes pourraient se retrouver dans des conditions impropres à la survie des humains. Ces populations seraient soumises à des températures nettement plus chaudes que celles que nous connaissons à l'heure actuelle.
En 2100, nous vivrons dans des maisons sur l'eau et transportables par des drones géants. Nous mangerons des insectes, des algues, de la viande végétale. Les voitures seront volantes. Les robots seront là pour faire les choses à notre place.
plus généralement, changement climatique ; forte géoingénierie du Soleil ; explosion d'une supernova à faible distance du système solaire ; sursaut gamma orienté vers notre région de la galaxie.
La vie sur la terre s'arrêtera dans environ 2,8 milliards d'années, selon une étude menée par Jack o'Malley-James, astrobiologiste à l'université de St. -Andrews. Notre Soleil va lentement se réchauffer à mesure qu'il avancera en âge.
L'une des conséquences néfastes du réchauffement climatique sur les océans, mise à part la pollution globale et la hausse des températures de l'eau, c'est la désoxygénation.
L'éducation sera accessible à tous, n'importe où, en tous temps. Parce qu'elle sera essentiellement numérique, et donc décentralisée et démocratisée. Il n'y aura plus les contraintes physiques que nous connaissons aujourd'hui, comme le besoin de se réunir à plusieurs dans une même salle.
Selon le biologiste Luc Bussière, la principale cause d'une extinction prochaine de l'humanité est la guerre nucléaire. Avec la prolifération de ce type d'armes, un conflit d'ampleur mondiale déclencherait certainement un hiver nucléaire prolongé amenant à la disparition de la majorité des espèces animales sur Terre.
La sixième extinction de masse s'accélère et met en péril la survie de la population humaine : c'est ce qu'affirme une étude, publiée le 1 er juin dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences.
L'humain régresse sous l'effet des impératifs économiques, de la rivalité exacerbée entre les États et de l'emprise techno-administrative croissante.