En 2050, les logements sont modulables, conçus pour se transformer au gré des besoins, à géométrie variable, de leurs occupants. Ainsi, on peut regrouper ou diviser des pièces, grâce à des cloisons amovibles ; les maisons sont faciles à rehausser et on y crée des studios indépendants…
La maison du futur sera connectée
C'est une évidence : la maison du futur sera une maison connectée qui, grâce à la domotique, facilitera grandement votre quotidien. C'est une technologie qui se développe et se démocratise aujourd'hui et sera encore plus présente à l'avenir.
Pour la France, la maison de 2030 sera très similaire à celle d'aujourd'hui. Elle sera plus performante thermiquement, elle sera faite avec des matériaux naturels comme la pierre ou le bois (j'espère), elle sera plus compacte, les quartiers pavillonnaires seront beaucoup plus denses.
La maison de demain sera une maison sur mesure, mais évolutive. En réalité, on enregistrera une évolution importante des matériaux à utiliser pour la construction de la maison de demain. Le béton cellulaire sera privilégié. Les vitres seront exploitées et elles pourront changer de teinte en fonction du temps.
Intelligence Artificielle, voitures autonomes, couverture 5G mondiale, IoT sont autant de termes qui nous plongeraient dans le dernier film de science-fiction à la mode. C'est ce à quoi ressemblerait la ville du futur 2050, avec des technologies mises au service du citoyen afin d'améliorer leur cadre de vie.
La vie sur la terre s'arrêtera dans environ 2,8 milliards d'années, selon une étude menée par Jack o'Malley-James, astrobiologiste à l'université de St. -Andrews.
Des lieux de vie adaptés en 2050
Ils préféreront privilégier la partie nord de la France, aux côtés de Lille notamment, qui proposera des températures plus supportables. Il semble donc que la France qu'on connaît actuellement pourrait totalement changer dans les années à venir…
En 2050, les logements sont modulables, conçus pour se transformer au gré des besoins, à géométrie variable, de leurs occupants. Ainsi, on peut regrouper ou diviser des pièces, grâce à des cloisons amovibles ; les maisons sont faciles à rehausser et on y crée des studios indépendants…
Il s'agit d'une maison positive : la maison du futur va certainement produire plus d'énergie qu'elle en consomme, par exemple grâce à des panneaux solaires mais aussi et surtout grâce à une isolation optimale et à l'utilisation de matériaux capables de retenir la chaleur par inertie.
La maison de demain sera autonome et intelligente, mais devra aussi être plus économe en place, en énergie et en ressources. Pour un coût moins élevé...
En 10 ans, les prix moyens de l'immobilier ont largement progressé en France métropolitaine. Selon l'INSEE, l'indice des prix des logements a connu une hausse de près de 22% entre 2010 et 2020, pour l'ensemble du territoire métropolitain, tout type d'habitat confondus (maison et appartements, neufs et anciens).
L'immobilier s'oriente donc vers une réduction de l'espace individuel pour plus de sobriété, avec le choix de matériaux moins polluants et plus efficaces. Pour d'autres, la solution passera par la réhabilitation de zones oubliées pour les transformer en écolieu ou tiers-lieu.
2023 : L'immobilier reste une valeur refuge
Selon une étude réalisée par la FNAIM en janvier dernier et intitulée « Patrimoine, épargne et placements », l'immobilier continue d'occuper une place de choix dans le patrimoine des Français, puisqu'il représente 68 % de leur patrimoine net.
La maison de demain sera performante et écologique
Cela passe par des maisons orientées au Sud, par l'utilisation de matériaux et de systèmes de chauffage performants, ainsi que par la maîtrise des consommations énergétiques. En parallèle, l'impact de la construction d'une maison sur l'environnement est importante.
La maison de demain sera à énergie positive. Elle recyclera l'eau et grâce à une domotique ultra-sophistiquée son environnement - lumière, température, programmes culturels… - s'adaptera instantanément à la personnalité de l'usager.
Les maisons-arbres : l'habitat le plus écologique du monde. Le concept des maisons-arbres imaginées par un ingénieur écossais pourraient révolutionner le BTP et l'écologie dans son ensemble, parce qu'il est en mesure de réguler sa température.
Ce sera le cas du sud de l'Asie, du golfe Persique (Iran, Oman, Koweït), et des pays bordant la mer Rouge (Égypte, Arabie saoudite, Soudan, Éthiopie, Somalie, Yémen) dès 2050. L'est de la Chine, une partie de l'Asie du Sud et du Brésil devraient également dépasser régulièrement un indice wet bulb de 35 °C d'ici 2070.
« Au total, j'ai compilé environ 70 critères pour en déduire que Puy-de-Dôme, Creuse et Corrèze sont actuellement les territoires les plus adaptés pour les années à venir ».
Du côté du littoral méditerranéen, la Camargue et les villes de Sète, Marseille, Toulon et Nice, subiraient le même sort.
Par exemple, en 2050, l'océan Atlantique pourrait avoir grignoté les côtes de l'estuaire de la Gironde. Saint-Nazaire, Nantes et les rives de l'estuaire de la Loire risquent de ne pas être épargnées non plus, et Noirmoutier pourrait être engloutie.
Il y a de fortes chances pour qu'il n'y ait plus la moindre trace d'humanité puisque le réchauffement climatique aura rendu la planète si aride qu'on ne pourra plus survivre aux fortes chaleurs (et ça risque d'arriver un peu plus tôt que dans 3000 ans, mais bon finissez quand même votre tasse de café).
Les faits: la Terre est attirée par le Soleil; elle ne tombe pas dessus, mais tourne autour. C'est la même chose qu'un satellite artificiel qui tourne autour de la Terre: il est attiré par elle, mais ne tombe pas parce qu'il tourne.
En 2070, en fonction de l'augmentation de la population et des émissions, entre un et 3 milliards de personnes pourraient se retrouver dans des conditions impropres à la survie des humains. Ces populations seraient soumises à des températures nettement plus chaudes que celles que nous connaissons à l'heure actuelle.