En outre, selon le rapport publié récemment par l'organisation EPM, 96% des nouveaux véhicules dans le monde seront dotés d'une connectivité intégrée, soit une multiplication par deux en 10 ans. La voiture de 2030 permettra la multiplication des interactions entre l'écosystème digital du véhicule et le vôtre.
Ce sont finalement les zones à faibles émissions, toujours plus nombreuses, qui risquent de poser le plus de problèmes aux utilisateurs français. Celle du Grand Paris, qui englobe la capitale et sa proche banlieue, prévoit ainsi l'interdiction de tous les véhicules essence et diesel à l'horizon 2030.
Sont concernés par la vignette CRIT'air 5, uniquement les véhicules diesel et assimilés dont la première immatriculation est comprise entre le 1er juillet 1997 et le 31 décembre 2000 inclus. « D'ici 2025 ces véhicules auront près de 30 ans, le volume devrait se réduire ».
L'acte est historique. Le Parlement européen a voté la fin du moteur thermique en 2035. Cela signifie que la vente de véhicules neufs essence, diesel ou encore hybrides et hybrides rechargeables ne sera plus autorisée sur le sol européen à cette date.
Au total, la voiture de demain, construite selon un nouveau modèle, sera à la fois électrique, autonome et connectée. Elle fournira des bénéfices pluriels à l'ensemble de la société : moins de pollution, plus de sécurité, plus de temps libre et de services.
En 2050, 30% les déplacements s'effectueront avec des véhicules partagés, 20% avec des véhicules individuels, 25% en transports collectifs, 15% à vélo et 10% en deux roues motorisés.
Nous nous déplacerons avec des voitures volantes. A l'école, nous aurons tous des ordinateurs pour travailler. Les maisons seront rondes et elles se tourneront vers le soleil. Les robots travailleront à la place des humains.
Pourquoi la fin des voitures essence et diesel ne signe pas la mort des moteurs thermiques. Le Parlement européen a voté, mercredi 8 juin 2022, la fin des ventes des véhicules essence et diesel neufs en 2035. Mais ce n'est pas pour autant la mort des véhicules thermiques, pour plusieurs raisons.
Les futurs e-3008, e-308 e-c3 et e-DS4 devraient pointer leur nez en 2022. L'ensemble de ces modèles est équipé d'une motorisation électrique comprise entre 110 et 136ch. Renault propose actuellement sa voiture Renault Zoé version restylée comme premier prix, qui devrait disparaitre d'ici 2024.
La fin des ventes de voitures thermiques aura bien lieu en 2035. Le projet du Parlement européen a été approuvé par le Conseil des ministres européens la semaine dernière. L'interdiction de vente des voitures essence et diesel deviendra donc bel et bien réalité dans une petite dizaine d'années.
Au mois de juin 2022, le Parlement européen a voté en faveur de l'interdiction des voitures thermiques, diesel et essence compris en 2035. Il ne s'agit pas réellement d'une interdiction totale des voitures thermiques. A partir de 2035, la vente de ces véhicules sera interdite.
Le cas où il faut encore acheter un diesel sans hésiter : si vous parcourez un fort kilométrage à l'année. Etant donné des consommations extrêmement faibles sur les voies rapides, autrement dit les plus empruntées par les “gros” rouleurs, c'est bien là que le mazout se révèle le plus pertinent.
À Nice, au 1er janvier 2023, les véhicules légers en Crit'air 5 (sauf les deux et trois roues motorisées ou encore les véhicules de collection) ne pourront pas rouler dans plusieurs secteurs.
Union européenne : vers l'interdiction de voitures neuves à moteur thermique dès 2035. Le Parlement européen a voté récemment en faveur de l'interdiction, à partir de 2035, de la vente de véhicules neufs à moteur essence ou diesel.
La réponse des autorités s'accélère. Depuis un an, la loi Climat et Résilience (loi n°2021-1104 du 22.8.21) a fixé un calendrier particulièrement contraignant pour bannir des centres-villes les véhicules Crit'Air 5 dès 2023, Crit'Air 4 (2024) et Crit'Air 3 (2025).
Résultat : il ne va pas être si facile de traverser la France avec par exemple une voiture particulière diesel Crit'Air 4 en 2022 : interdite de circulation dans Paris et le Grand Paris, autorisée à Lyon, Reims, Strasbourg… mais attention, pas à Rouen, à partir du 1er septembre 2022 !
Contre un surcoût à l'achat de 900 €, ce véhicule hybride permet donc d'économiser environ 175 € de carburant chaque année (20 000 km). L'investissement dans la voiture hybride devient rentable à partir de 5 années de possession.
Il n'y a donc aucun risque à acheter une voiture essence neuve en 2022, si ce n'est à faire exploser votre budget carburant si vous venez de lâcher une voiture diesel. Un paramètre à prendre en compte pour bien calculer votre budget.
Le diesel résiste, mais chute inexorablement
La part des voitures diesel dans les nouvelles immatriculations n'était que de 19,6 % en 2021, en 2020 elle était de 27,9 %, soit une baisse de 30 % par rapport à 2020.
La France identifie aussi le GNV comme un axe primordial dans la transition énergétique pour la croissance verte et se fixe les objectifs suivants : 10% de gaz renouvelable en 2030.
Quel voiture choisir en 2022 ? Ce jury, composé de journalistes sélectionnés de toute l'Europe, devra départager sept finalistes pour la sélection 2022 : Peugeot 308, Škoda Enyaq iV, Cupra Born, Hyundai Ioniq 5, Kia EV6, Renault Mégane E-Tech et Ford Mustang Mach-E.
Les voitures électriques ne sont peut-être pas la seule solution à long terme, mais il n'existe actuellement aucune meilleure alternative à court terme. Les moteurs à combustion ne le sont pas, et les carburants de synthèse et l'hydrogène sont nettement plus chers que l'électricité pour les voitures électriques.
Le climatologue et météorologue, Robert Vautard, a dressé un panorama des espaces habitables à l'horizon 2050 sur une planète plus chaude de 2°C. Les espaces habitables seront modelés par deux principaux facteurs : le changement climatique et les politiques publiques qui seront menées en conséquence ou en anticipation.
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].